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Concours - Histoires de billetterie
ICOM France relaie le concours “Histoires de billetterie”: Raconte-nous ton histoire, Céline Ena en fait une oeuvre d’art !
Tente de gagner ton histoire illustrée... Ce concours humoristique est organisé par BILL-A, dont le siège est situé à Salon-de-Provence.
Objet du concours
Ce concours a pour objectif de collecter des anecdotes vécues par les professionnel·le·s de la billetterie avec leurs publics, sousforme de récits courts et authentiques (drôles, touchants, cocasses…).
Conditions de participation
Le concours est ouvert à toutes les personnes majeures travaillant dans la billetterie (théâtre, musée, festival, loisirs, sport,etc.), à l’exclusion des membres du jury et des organisateurs du concours.Une seule participation par personne.L’envoi d’une anecdote vaut acceptation du présent règlement.
Modalités de participation
Le concours est ouvert du 15 mai au 15 juillet 2025. Toute candidature qui parviendra au-delà de cette date sera refusée.Pour participer, les candidats doivent envoyer le contexte de l’anecdote en 500 signes maximum et l’anecdote elle-même sousforme de dialogue à l’adresse numérique : concours@bill-a.fr ou via le formulaire en ligne.
Modalités du concours ci-contre
Les coordonnées du candidat (prénom et adresse email) sont obligatoires. L’établissement et la ville où s’est déroulée l’histoire sont facultatives.
Frais de participation
La participation au concours est gratuite.
Contact : concours@bill-a.fr
L'étude d'impact carbone des Frac
L'étude d'impact carbone des Frac
Au même titre que l’ensemble des labels de la création, les Frac ont bénéficié en 2024 d’une étude d’impact carbone d’un panel de 5 Frac financée par le ministère de la Culture et menée par le collectif Les Augures.
La méthodologie, les résultats et les plans d’action concrets découlant de cette étude vous seront présentés par Laurence Perrillat, consultante ayant piloté ce chantier, Keren Detton, directrice du Frac Grand-Large Hauts-de-France et Eric Mangion, directeur du Frac Occitanie Montpellier.
Synthèse de l'étude :
Transition écologique des FRAC
Rendez-vous le jeudi 26 juin 2025 à 12h30 pour la dernière séance des 52 minutes avant la pause estivale !
ID de réunion: 861 3373 1176
Code secret: 104553

Qui est Laurence Perrillat ?
Laurence Perrillat est consultante en transition écologique pour le secteur de la culture et co-fondatrice du collectif Les Augures. Elle accompagne les organisations du secteur des musées et des arts visuels dans leur démarche de transformation écologique en vue de réduire leurs impacts environnementaux et de s’adapter aux défis d’un monde qui change.
Qui est Keren Detton ?
Keren Detton est directrice du Frac Grand Large — Hauts-de-France et codirectrice artistique de la Triennale Art & Industrie de Dunkerque.
Qui est Eric Mangion ?
Eric Mangion est directeur du Frac Occitanie Montpellier et anciennement directeur du centre d'art de la Villa Arson à Nice.

Les liens avec ICOM international
Qu’est-ce que l’ICOM international ?
L’ICOM est l’organisation internationale des musées et des professionnels des musées vouée à la recherche, à la conservation, à la pérennité et à la transmission à la société, du patrimoine naturel et culturel mondial, présent et futur, matériel et immatériel.
Association de membres et organisation non gouvernementale, créée à Paris en 1946 sur une initiative franco-américaine en lien avec l'Unesco, elle établit des normes professionnelles et éthiques pour les activités des musées.
Elle se mobilise sur de grands enjeux comme le Code de déontologie des musées, la lutte contre le trafic de biens illicite, les programmes d'urgence pour les musées.
En tant que forum d’experts, elle formule des recommandations, promeut le renforcement des capacités professionnelles et le partage d'expertise et fait progresser la connaissance dans le domaine.
L’ICOM est le porte-parole des professionnels des musées sur la scène internationale et sensibilise le grand public à la culture par le biais de réseaux mondiaux et de programmes de coopération.
C’est la seule organisation internationale dans le domaine des musées.
L’ICOM international regroupe :
- 60 410 membres dans 139 pays et territoires,
- 120 Comités nationaux. ICOM France est l'un des principaux comités nationaux.
- 35 Comités internationaux.
L’action de l’ICOM international s’articule autour de 5 missions principales :
- Définir les standards d’excellence
- Conduire un forum diplomatique
- Développer un réseau professionnel
- Animer un centre de réflexion mondial
- Assurer les missions internationales
Les liens d'ICOM France avec ICOM international
ICOM France est l'instance représentative d'ICOM international en France.
ICOM France fait partie des 120* Comités nationaux qui regroupent les membres d’ICOM à un niveau national et veillent aux intérêts des musées et de leurs professionnels dans leurs pays respectifs.
Les comités nationaux représentent leurs membres au sein d’ICOM international et contribuent aux ressources, à la vitalité et à la diversité d’ICOM.
(*chiffre issu du rapport annuel 2024 d’ICOM international)
En savoir plus
La fermeture du Palais de la découverte ou sa réduction serait une perte pour l’ensemble de la communauté internationale
Tribune de soutien au Palais de la découverte publiée sur le site de l'Amcsti
Nous, professionnel·les de la culture scientifique technique et industrielle réunis au sein de l’Amcsti, réseau national et francophone, prenons acte et nous inquiétons vivement de la révocation du président d’Universcience en conseil des ministres du 12 juin 2025. Ce dernier événement s’inscrit dans une liste déjà longue d’annonces alarmantes et d’obstacles à la réinstallation du Palais de la Découverte dans l’ensemble patrimonial rénové du Grand Palais. Depuis 1937, le Palais de la Découverte partage les sciences en train de se faire avec le grand public dans le Palais d’Antin, l’aile ouest du Grand Palais.
Ce retour dans ses murs historiques devait débuter le 10 juin 2025, par le festival “Premières Ondes”, riche programme dédié aux sciences en société, avec la présentation d’une exposition sur l’Intelligence Artificielle jusqu’au mois d’octobre. Puis, le bâtiment devait refermer au public, afin de mettre en place une nouvelle scénographie originale, pour une ouverture définitive à la rentrée 2026. Aujourd’hui, seule l’ouverture du Palais des enfants, l’espace dédié aux 2-7 ans, a été confirmée, avec la présentation de l’exposition “Transparence”, coproduite par Universcience avec le Grand Palais RMN.
Le limogeage, hier, de Bruno Maquart, président d’Universcience, qui a porté avec ses équipes, depuis plus de 5 ans un ambitieux projet de rénovation du Palais de la Découverte en étroite relation avec les communautés scientifiques (dont le CNRS et l’Académie des sciences), semble mettre un terme final à cette dynamique pourtant essentielle aujourd’hui.
À un moment où nos sociétés ont plus que jamais besoin d’une pensée complexe et non simpliste, fondée sur l’esprit critique et la méthode scientifique, afin de relever les nombreux défis qui se présentent, depuis l’érosion de la biodiversité, la maîtrise et l’adaptation au changement climatique, l’irruption de l’IA dans tous les domaines, la désaffection progressive des femmes dans les filières scientifiques, jusqu’à la lutte contre la désinformation et les faits alternatifs, la disparition du Palais de la Découverte en plein de cœur de Paris serait gravement contre-productive.
Non seulement parce que cette institution historique a inspiré pendant des décennies nombre de nos concitoyennes et concitoyens vers les carrières scientifiques ou d’ingénieur·es, mais aussi parce que le Palais de la Découverte est l’une des références nationales et mondiales en matière de partage des savoirs avec le grand public, qui a inspiré de nombreuses institutions en France et sur tous les continents. Ensuite, parce que son nouveau projet s’inscrit en plein dans le 21ème siècle, en articulant découverte des sciences avec les enjeux sociétaux d’aujourd’hui et de demain, dans un dialogue ouvert des disciplines allant des sciences physiques et de la nature, aux sciences humaines et sociales, et jusqu’aux croisements entre arts et sciences. Enfin, parce qu’il est urgent de renforcer et non limiter la culture scientifique technique et industrielle auprès de toutes et tous, sur tout le territoire national comme en plein cœur de Paris.
Nous appelons les autorités concernées à garantir l’avenir du Palais de la Découverte, à s’assurer qu’il demeure dans son lieu historique du Palais d’Antin, et à réaffirmer leur engagement durable en faveur de sa mission, de ses équipes, ainsi que du rôle essentiel qu’il joue pour inscrire la science au cœur de notre patrimoine culturel commun.
Signataire : Amcsti
Dans une tribune au « Monde », une cinquantaine de représentants d’institutions scientifiques internationales appellent la France à garantir l’avenir du Palais de la découverte.
Nous, représentants d’institutions engagées dans le partage des sciences à travers l’Europe et le monde, exprimons notre profonde inquiétude face à l’avenir incertain du Palais de la découverte, à Paris.
Depuis plus de huit décennies, le Palais de la découverte est une institution phare de la médiation scientifique – non seulement en France, mais aussi à l’international –, un modèle de médiation exigeante, accessible et inspirante. Son approche distinctive et reconnue a inspiré des générations de scientifiques, d’enseignants et de citoyens en rendant accessibles des idées complexes, ainsi qu’en éveillant un intérêt durable pour les sciences. Il a été – et reste – un acteur essentiel de notre domaine.
La fermeture ou la réduction définitive de cette institution ne représenterait pas seulement une perte pour Paris et pour la France, mais pour l’ensemble de la communauté internationale qui défend l’accès ouvert au savoir et à la culture scientifique.
Nous appelons les autorités concernées à garantir l’avenir du Palais de la découverte, à s’assurer qu’il demeure dans son lieu historique du palais d’Antin, et à réaffirmer leur engagement durable en faveur de sa mission, de ses équipes, ainsi que du rôle essentiel qu’il joue pour inscrire la science au cœur de notre patrimoine culturel commun.
Signataires :
Marianne Achiam, professeure agrégée en communication scientifique, université de Copenhague, Danemark ; Bärbel Auffermann, directrice du Musée de Neandertal, Allemagne ; Andrea Bandelli, président exécutif de la Woven Foundation for Creative Climate Communication, Pays-Bas ; Silvina Basile, coordinatrice du programme de vulgarisation scientifique de l’université nationale de La Plata, Argentine ; Martin W. Bauer, professeur de psychologie sociale, London School of Economics ; Stéphane Berghmans, PDG, Technopolis, Belgique ; Maria Emilia Beyer, administratrice, Universum, Science Museum UNAM, Mexico ; Sir Ian Blatchford, administrateur et directeur général du Science Museum Group, Royaume-Uni ; Marjolein van Breemen, directrice du centre de biodiversité Naturalis, Leyden, Pays-Bas ; Martha Cambre, coordinatrice générale du Musée des sciences Espacio Ciencia à Montvideo, Uruguay ; Antonia Caola, responsable de la communication du Musée des sciences, Trente, Italie ; Andréa Fernandes Costa, présidente de l’Association brésilienne des musées et centres scientifiques, Brésil ; Lavinia Del Longo, responsable du bureau technique du Musée des sciences, Trente, Italie ; Alessandra Drioli, ambassadrice, Fondazione IDIS - Cité de la Science, Italie ; Cyril Dworsky, coordinateur des relations internationales, réseau européen des universités pour enfants EUCU. net, Vienne, Autriche ; Sigrid Falla, directrice de l’architecture des expériences, Maloka Science Center, Bogota, Colombie ; Robert Firmhofer, directeur général du centre scientifique Copernicus, Varsovie, Pologne ; docteur Derek Fish, directeur du Centre Unizulu des sciences, Afrique du Sud ; Michele Fontana, cofondateur et directeur artistique, KOI Public Engagement, Belgique ; Fiorenzo Marco Galli, directeur général de la Fondation du Musée national des sciences et des technologies Leonardo da Vinci, Italie ; Maria Isabel Garcia, directrice-conservatrice du Musée des sciences The Mind, Philippines ; Kim Gladstone Herlev, directeur général d’Experimentarium, centre scientifique danois, Danemark ; Diego Golombek, université de San Andrés-CONICET, Argentine ; Michael John Gorman, directeur du Musée du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et professeur de pratique des sciences, technologies et société au MIT ; Clayton Micallef Grimaud, directeur principal, National Skills Council, Malte ; Miguel Garcia Guerrero, directeur exécutif du Réseau pour la vulgarisation des sciences et des technologies en Amérique latine et dans les Caraïbes, Mexique ; docteur Andreas Gundelwein, PDG, Experimenta GmbH, Allemagne ; Mairéad Hurley, professeure adjointe en éducation scientifique et sociale, Trinity College Dublin, Irlande ; Karoline Iber, présidente du réseau européen des universités pour enfants EUCU. net, Vienne, Autriche ; Colin Johnson OBE, chercheur honoraire du Réseau européen des centres et musées scientifiques Ecsite, université de Cardiff, Royaume-Uni ; Ulrike Kastrup, directrice du centre scientifique focusTerra, ETH Zurich, Suisse ; docteur Ulrich Kernbach, directeur des expositions et des collections, Deutsches Museum, Munich, Allemagne ; docteur Stuart Kohlhagen, fondateur de The Science Nomad, Australie ; docteur Miha Kos, PDG de La Maison des expériences (Hisa eksperimentov), Centre scientifique slovène (depuis 1996), Slovénie ; Thorsten-D. Künnemann, directeur général du Centre scientifique suisse Technorama, Winterthur, Suisse ; Dobrivoje Lale Eric, responsable de la coopération internationale du Centre pour la promotion des sciences, Serbie ; Dee Laval, direction de Culture Instable Ltd et responsable éditorial chez V !VANT, Royaume-Uni ; Lars Leegaard Maroy, directeur général du Centre scientifique VilVite de Bergen, Norvège ; Bruce V. Lewenstein, professeur au département de communication et d’études scientifiques et technologiques, Cornell University, Etats-Unis ; Elisabeth Limbeck-Lilienau, responsable des expositions, Technisches Museum Wien, Vienne, Autriche ; Amparo Leyman Pino, directrice et fondatrice de Yellow Cow Consulting LLC, Etats-Unis ; Sebastian Martin, docteur, consultant en centres scientifiques, San Francisco, Californie, Etats-Unis ; Luisa Massarani, coordinatrice de l’Institut national de communication publique en science et technologie, chercheuse à la Casa de Oswaldo Cruz, Fiocruz, Brésil ; Vanessa Mignan Jenkins, consultante indépendante, Croatie ; Mikko Myllykoski, directeur général de Heureka, centre scientifique finlandais, Finlande ; Michael Oettli, président de la Société des sciences naturelles et de l’Université des enfants de Winterthur, Suisse ; Maarten Okkersen, conseiller principal en développement et conception d’expériences, Museon-Omniversum, La Haye, Pays-Bas ; Elise Raphael, codirectrice du Geneva Mathematical Escapes, université de Genève ; Elaine Reynoso Haynes, Université nationale autonome du Mexique, Mexique ; Paola Rodari, étudiante en muséologie, master en communication scientifique, SISSA, Italie ; Andrés Roldan, PDG du parc Explora Medellin, Colombie ; Pedro Russo, professeur associé en communication scientifique et société à l’université de Leyden, Pays-Bas ; Wendy Sadler, professeure en communication scientifique, université de Cardiff ; Michael Seifert, fondateur de l’Université des enfants de Tubingue, Allemagne ; Fiorella Silveira, coordinatrice pédagogique du Musée des sciences Espacio Ciencia du laboratoire technologique d’Uruguay, Uruguay ; Silvia Singer, directrice générale du Musée interactif de l’économie, Mexico, Mexique ; Walter Staveloz, fondateur et président de MuseumExpert.org, Etats-Unis ; Harry White, consultant en centres scientifiques, HWConsult, Pays de Galles, Royaume-Uni.
Face à la crise - Des musées investis et innovants
A VOS AGENDAS !
ICOM France annonce son congrès 2025 le vendredi 3 octobre prochain au Château de Versailles - Pavillon Dufour. Cette journée sera suivie de visites professionnelles le matin du samedi 4 octobre à Versailles.
Le thème abordé lors de cette journée sera : Face à la crise - Des musées investis et innovants
Propos
Ces derniers mois, nombreuses ont été les annonces de restrictions et de baisses budgétaires dans le secteur culturel, et les musées ne sont évidemment pas épargnés. Face à cette situation, les effets sont nombreux, impactant autant la programmation, la nature de l’activité, les priorisations que la gestion des ressources humaines des musées. Revalorisation à la baisse des projets engagés, obligation de renoncer à certains projets nouveaux, risque de diminution du service public, postes gelés voire supprimés, recrutements reportés, injonction à trouver de nouvelles ressources propres… Une liste qui ressemble sinon à un catalogue des désillusions, du moins à une nouvelle étape dans l’évolution d’un mouvement qui a commencé il y a quelques années déjà et qui s’annonce, il faut bien l’admettre, malheureusement persistant.
Il ne s’agit plus seulement, pour nos musées, de « passer » un moment difficile mais d’apprendre à faire avec et surtout autrement. Comment dès lors s’adapter ? Depuis plusieurs années, les musées ont tenté d’inventer de nouveaux modèles, notamment de nouveaux modes de financement, pour essayer de développer leurs ressources propres et être moins uniquement dépendant des financements publics. Mais les ressources externes ne sont pas pléthoriques et inépuisables, les difficultés économiques ne touchant pas que le secteur public.
Face à cette situation, les imaginations sont à l’œuvre pour conduire un changement réel, pérenne et durable. Comment continuer à répondre à la nécessité de conserver et de diffuser avec des moyens plus restreints ? Comment continuer à « être musée » dans un contexte économique défavorable et en totale transformation ? Source d’interrogation et de remise en question, la situation que nous connaissons aujourd’hui oblige les professionnels de musée à penser leurs métiers et leurs missions différemment.
Les initiatives permettant de tester de nouveaux modes de fonctionnement sont nombreuses sur le territoire français et à l’étranger : mutualisation, coproductions, partenariats économiques conçus à l’échelle d’un territoire, nouveaux programmes de fidélisation, construction de meilleure intégration au tissu local, cercles de mécènes privilégiés, campagnes de financement participatif, mécénats innovants… Cette journée d’échanges permettra de mettre en avant ces expériences, qui croisent d’ailleurs souvent des préoccupations relatives à la durabilité écologique et à un meilleur engagement sociétal de l’action des musées. Comment penser le musée dans un équilibre avec son environnement social et économique ? Comment imaginer des musées plus intégrés à la société où le récit porté par l’institution trouve un écho chez ses partenaires et permettent un lien solide et stable, un attachement ?
Émilie Girard, présidente d’ICOM France, Juin 2025

CIPEG - Appel à communications // DUBAI 2025
Le CIPEG - Comité international pour l'égyptologie de l'ICOM - lance son appel à communication pour la Conférence générale de l'ICOM à DUBAI en novembre 2025
Session A : Patrimoine immatériel // 12 novembre 2025, 14:30-16:00
Nous explorerons le positionnement des musées possédant des collections égyptiennes et soudanaises en tant qu'entités dynamiques capables de sauvegarder le patrimoine immatériel dans un paysage mondial en constante évolution. Face aux transformations rapides induites par les progrès technologiques, les changements démographiques, les flux migratoires, les mutations des modèles sociaux et les changements environnementaux, la sauvegarde du patrimoine immatériel est une préoccupation majeure dans le monde entier.
Nous discuterons de la continuité et de la revitalisation du patrimoine immatériel, de la préservation du patrimoine immatériel et de la manière de sauvegarder l'héritage culturel collectif de l'Égypte ancienne et du Soudan pour aujourd'hui et pour demain.
Les thèmes du CIPEG à Dubaï suivent les trois sous-thèmes de la conférence générale de l'ICOM.
En fonction des inscriptions, les communications seront réparties entre les sessions A et B. La session C, en collaboration avec l'UMAC, englobera également les thèmes du pouvoir des jeunes et des nouvelles technologies. Pour le thème de la session A, Patrimoine immatériel en relation avec les collections égyptiennes et soudanaises, certains sujets possibles peuvent inclure l'artisanat, les arts et les rituels.
Les communications devraient durer 10 minutes et être suivies d'une discussion de 5 minutes. Plus de détails suivront.
Session B : Le pouvoir des jeunes et les nouvelles technologies // 12 novembre 2025, 16:30-18:00
Nous nous pencherons sur le rôle essentiel des jeunes dans la création des musées et des collections égyptiennes et soudanaises de demain. La jeunesse est le moteur nécessaire pour aller de l'avant et naviguer dans un monde en constante évolution, tandis que les musées, et notamment ceux qui abritent des collections égyptiennes et soudanaises, possèdent un potentiel unique, offrant aux jeunes une fenêtre sur le passé, un outil de réflexion sur le présent et une plateforme pour façonner l'avenir.
À l'heure où les communautés subissent des transformations rapides sous l'effet des avancées technologiques et de l'essor de l'apprentissage à distance, les musées ont la possibilité d'exploiter le potentiel des nouvelles technologies pour créer de nouvelles formes d'expression, renforcer l'engagement du public et l'expérience des visiteurs, et améliorer leur fonctionnement.
Nous lançons un appel à communications qui peuvent porter sur l'un ou l'autre des thèmes ou sur une combinaison des deux. Parmi les sujets possibles sont les suivants : Comment les musées peuvent-ils intégrer les nouvelles technologies de manière responsable ? Comment la technologie peut-elle améliorer la création et le partage de contenu tout en préservant l'authenticité ?
Comment la technologie peut-elle améliorer la création et le partage de contenu tout en préservant l'authenticité ? Quel est le rôle des
du jeune personnel et de la communauté dans le développement technologique ?
Nous visons des présentations de 10 minutes et des discussions de 5 minutes. Plus de détails suivront.
Session C : Civilisations anciennes et académie contemporaine // 13 novembre 2025, 14h30–16h00
Nous explorerons l’évolution de la compréhension de la matérialité des civilisations anciennes, en particulier l’Égypte antique, à travers l’académie contemporaine ainsi que d'autres formes de production et de consommation culturelles. Par « académie contemporaine », nous entendons une organisation moderne qui mène des recherches, qu’il s’agisse d’un musée ou d’une université. Nous souhaitons discuter de la manière dont les nouvelles technologies transforment la production et la transmission du savoir, et comment une nouvelle vague de recherches émergentes nécessite un cadre contemporain et éthique solide, tant pour la génération que pour la diffusion des connaissances.
Nous invitons des présentations portant sur l’évolution de notre compréhension et de notre engagement envers la matérialité de l’Égypte ancienne (et d’autres civilisations anciennes), et sur la façon dont cela se manifeste dans les musées universitaires et les musées publics. Voici quelques thèmes possibles : La nature de l’enseignement et de la recherche en égyptologie dans nos universités est-elle en train de changer ? Si oui, quels en sont les moteurs et quels sont les nouveaux paradigmes émergents ? Comment la technologie a-t-elle transformé la recherche et l'engagement du public avec la matérialité de l'histoire ancienne ? Cela modifie-t-il fondamentalement l’histoire de la réception dans nos académies et nos musées publics ?
Les communications devront durer 10 minutes, suivies de 5 minutes de discussion. Davantage d’informations seront communiquées ultérieurement.
Retrouvez l'appel à communications ci-contre
CIPEG - Appel à communications // DUBAI 2025
Le CIPEG - Comité international pour l'égyptologie de l'ICOM - lance son appel à communication pour la Conférence générale de l'ICOM à DUBAI en novembre 2025
Session A : Patrimoine immatériel // 12 novembre 2025, 14:30-16:00
Nous explorerons le positionnement des musées possédant des collections égyptiennes et soudanaises en tant qu'entités dynamiques capables de sauvegarder le patrimoine immatériel dans un paysage mondial en constante évolution. Face aux transformations rapides induites par les progrès technologiques, les changements démographiques, les flux migratoires, les mutations des modèles sociaux et les changements environnementaux, la sauvegarde du patrimoine immatériel est une préoccupation majeure dans le monde entier.
Nous discuterons de la continuité et de la revitalisation du patrimoine immatériel, de la préservation du patrimoine immatériel et de la manière de sauvegarder l'héritage culturel collectif de l'Égypte ancienne et du Soudan pour aujourd'hui et pour demain.
Les thèmes du CIPEG à Dubaï suivent les trois sous-thèmes de la conférence générale de l'ICOM.
En fonction des inscriptions, les communications seront réparties entre les sessions A et B. La session C, en collaboration avec l'UMAC, englobera également les thèmes du pouvoir des jeunes et des nouvelles technologies. Pour le thème de la session A, Patrimoine immatériel en relation avec les collections égyptiennes et soudanaises, certains sujets possibles peuvent inclure l'artisanat, les arts et les rituels.
Les communications devraient durer 10 minutes et être suivies d'une discussion de 5 minutes. Plus de détails suivront.
Session B : Le pouvoir des jeunes et les nouvelles technologies // 12 novembre 2025, 16:30-18:00
Nous nous pencherons sur le rôle essentiel des jeunes dans la création des musées et des collections égyptiennes et soudanaises de demain. La jeunesse est le moteur nécessaire pour aller de l'avant et naviguer dans un monde en constante évolution, tandis que les musées, et notamment ceux qui abritent des collections égyptiennes et soudanaises, possèdent un potentiel unique, offrant aux jeunes une fenêtre sur le passé, un outil de réflexion sur le présent et une plateforme pour façonner l'avenir.
À l'heure où les communautés subissent des transformations rapides sous l'effet des avancées technologiques et de l'essor de l'apprentissage à distance, les musées ont la possibilité d'exploiter le potentiel des nouvelles technologies pour créer de nouvelles formes d'expression, renforcer l'engagement du public et l'expérience des visiteurs, et améliorer leur fonctionnement.
Nous lançons un appel à communications qui peuvent porter sur l'un ou l'autre des thèmes ou sur une combinaison des deux. Parmi les sujets possibles sont les suivants : Comment les musées peuvent-ils intégrer les nouvelles technologies de manière responsable ? Comment la technologie peut-elle améliorer la création et le partage de contenu tout en préservant l'authenticité ?
Comment la technologie peut-elle améliorer la création et le partage de contenu tout en préservant l'authenticité ? Quel est le rôle des du jeune personnel et de la communauté dans le développement technologique ?
Nous visons des présentations de 10 minutes et des discussions de 5 minutes. Plus de détails suivront.
Session C : Civilisations anciennes et académie contemporaine // 13 novembre 2025, 14h30–16h00
Nous explorerons l’évolution de la compréhension de la matérialité des civilisations anciennes, en particulier l’Égypte antique, à travers l’académie contemporaine ainsi que d'autres formes de production et de consommation culturelles. Par « académie contemporaine », nous entendons une organisation moderne qui mène des recherches, qu’il s’agisse d’un musée ou d’une université. Nous souhaitons discuter de la manière dont les nouvelles technologies transforment la production et la transmission du savoir, et comment une nouvelle vague de recherches émergentes nécessite un cadre contemporain et éthique solide, tant pour la génération que pour la diffusion des connaissances.
Nous invitons des présentations portant sur l’évolution de notre compréhension et de notre engagement envers la matérialité de l’Égypte ancienne (et d’autres civilisations anciennes), et sur la façon dont cela se manifeste dans les musées universitaires et les musées publics. Voici quelques thèmes possibles : La nature de l’enseignement et de la recherche en égyptologie dans nos universités est-elle en train de changer ? Si oui, quels en sont les moteurs et quels sont les nouveaux paradigmes émergents ? Comment la technologie a-t-elle transformé la recherche et l'engagement du public avec la matérialité de l'histoire ancienne ? Cela modifie-t-il fondamentalement l’histoire de la réception dans nos académies et nos musées publics ?
Les communications devront durer 10 minutes, suivies de 5 minutes de discussion. Davantage d’informations seront communiquées ultérieurement.
Retrouvez l'appel à communications ci-contre
Conserver les restes humains - Colloque international organisé au musée du Quai Branly
ICOM France relaie l'appel à communication du colloque co-organisé par le musée du Quai Branly - Jacques Chirac et la Villa Médicis
Ces rencontres autour des nouvelles approches en conservation et du soin apporté aux restes humains présents dans les institutions visent à mettre en avant et à discuter des pratiques professionnelles à la lumière des enjeux contemporains autour de cet héritage à part.
Ces deux journées, organisées en sessions thématiques et tables-rondes, se présentent comme un temps d’échange et de partage autour des usages, des ressentis, des interrogations, des difficultés mais aussi des perspectives dans le domaine de la conservation au sens large.
Comment les institutions endossent-elles aujourd’hui leur rôle de garant de l’attention et du respect requis à l’endroit des individus dont elles ont la responsabilité ? Comment les différents professionnels impliqués donnent corps aux recommandations formulées dans les codes d’éthique et de déontologie ? Comment améliorer les pratiques pour aller dans ce sens ?
Destinées à un public professionnel et étudiant, ces journées s’adressent également à toute personne sensibilisée ou curieuse de ce sujet.
Présentation des thèmes
Quatre sessions thématiques sont ouvertes dans le cadre de cet appel à communications, permettant une approche plus ciblée des problématiques et des enjeux conservatoires spécifiques liés à la diversité des matérialités, des contextes d’origine, des trajectoires de provenance ainsi que des conditions d’acquisition et d’usage institutionnels. À titre indicatif, peuvent être abordés les sujets suivants : prélèvements sur le terrain, traitements primaires en post-fouille, manipulations et stockage, soutien conservatoire aux études, examens et analyses, conservation préventive, curative ou de restauration, co-gestion en lien avec les communautés d’origine, rapport aux interventions antérieures, traitements sur site (monuments, cimetières, catacombes…), mise en œuvre de dispositifs de présentation spécifiques…. Les propositions centrées sur des objets ou œuvres d’art constitués pour tout ou partie de restes humains ainsi que les produits du corps humain (sang, fluides corporels…) peuvent s’intégrer dans l’une ou l’autre des sessions en fonction de leur nature ou de leur contexte.
Thème 1 - LE CORPS ARCHÉOLOGIQUE Typologies concernées : ensembles ostéologiques, corps ou fragments préservés de manière naturelle ou artificielle, fossiles préhistoriques…
Thème 2- LE CORPS COMPARÉ Typologies concernées : ensembles anthropobiologiques, corps ou fragments témoins de pratiques funéraires, rituelles ou autres considérés comme présentant un intérêt culturel…
Thème 3- LE CORPS ANATOMIQUE Typologies concernées : Ostéologie, écorchés, coupes histologiques, préparations en fluide…
Thème 4- LE CORPS SACRÉ / SACRALISÉ / MÉMORIEL Typologies concernées : reliques, fragments corporels conservés à des fins mémorielles (souvenirs en cheveux, dents…), ossuaires, mémoire traumatique…
Date limite de réception des résumés de 2000 signes maximum : 15 septembre 2025
Validation du programme définitif en octobre 2026.
Les communications pourront faire l’objet d’une publication en ligne à l’issue des journées d’étude.
COMITE D'ORGANISATION
- Laure Cadot, conservatrice-restauratrice indépendante, pensionnaire 2023-2024, Académie de France à Rome - Villa Médicis
- Eléonore Kissel, responsable du pôle Conservation, Restauration, Analyses, musée du quai Branly - Jacques Chirac
- Anna Gianotti Laban, responsable des manifestations scientifiques, département de la Recherche et de l’Enseignement, musée du quai Branly - Jacques Chirac
- Anne-Solène Rolland, directrice du département du patrimoine et des collections, musée du quai Branly - Jacques Chirac
- Benoît de L'Estoile, directeur du département de la recherche et de l’enseignement, musée du quai Branly - Jacques Chirac
Lieu : Théâtre Claude Lévi-Strauss
Dates : le jeudi 22 janvier 2026 de 09:30 à 20:30 & le vendredi 23 janvier 2026 de 09:30 à 20:30
Gratuit (dans la limite des places disponibles). Colloque bilingue français /anglais en traduction simultanée.
Ces rencontres internationales sont co-produites par le musée du quai Branly - Jacques Chirac et l'Académie de France à Rome - Villa Médicis, dans le cadre de la bourse Fondation Louis Roederer.
Retrouvez l'appel à contribution ci-contre
"Design Collection Displays Reassessed"
En plus de sa conférence annuelle à Dubaï, ICOM-DESIGN organise un symposium international en 2025 sur le thème « Design Collection Displays Reassessed » au nouveau Musée national d'art, d'architecture et de design d'Oslo (Nasjonalmuseet), du 28 au 30 octobre 2025.
Le symposium « Design Collection Displays Reassessed » se penchera sur la présentation des collections en tant que lieu d'échange de connaissances et d'engagement actif.
D'une présentation traditionnellement linéaire et encyclopédique aux approches plus narratives d'aujourd'hui, les présentations historiques et contemporaines des arts décoratifs et du design ont changé radicalement au cours des dernières décennies, en réponse à une variété de forces, y compris la réévaluation des priorités institutionnelles, la mise en avant des publics, et l'inclusion de voix différentes. Le symposium s'interrogera sur la manière dont les objets de design et les intérieurs sont exposés, discutés et interprétés, et pour qui.
- Que représente et signifie aujourd'hui la conservation de ces types d'expositions de collections ?
- Et comment cette pratique pourrait-elle se présenter à l'avenir ?
- Quelles sont les nouvelles approches muséologiques nécessaires ?
Le nouveau Musée national d'art, d'architecture et de design d'Oslo, issu de la fusion de quatre musées auparavant indépendants, est un lieu approprié pour un symposium sur ce thème. Il a ouvert sa nouvelle exposition de collections à grande échelle en 2022, comprenant des arts décoratifs, du design, des intérieurs, de la mode et de l'artisanat d'atelier des années 1100 à nos jours. Cette réinstallation de la collection permanente, la première depuis 2005, a été l'occasion de repenser la conservation de l'exposition sur le design et les arts décoratifs.
Ce programme, organisé par le conservateur en chef du Nasjonalmuseet et membre du conseil d'administration d'ICOM-DESIGN, le Dr. Denise Hagströmer, sera suivi d'une tournée spéciale post-symposium vers des destinations locales, du 30 octobre au 1er novembre.
"Design Collection Displays Reassessed"
En plus de sa conférence annuelle à Dubaï, ICOM-DESIGN organise un symposium international en 2025 sur le thème « Design Collection Displays Reassessed » au nouveau Musée national d'art, d'architecture et de design d'Oslo (Nasjonalmuseet), du 28 au 30 octobre 2025.
Le symposium « Design Collection Displays Reassessed » se penchera sur la présentation des collections en tant que lieu d'échange de connaissances et d'engagement actif.
D'une présentation traditionnellement linéaire et encyclopédique aux approches plus narratives d'aujourd'hui, les présentations historiques et contemporaines des arts décoratifs et du design ont changé radicalement au cours des dernières décennies, en réponse à une variété de forces, y compris la réévaluation des priorités institutionnelles, la mise en avant des publics, et l'inclusion de voix différentes. Le symposium s'interrogera sur la manière dont les objets de design et les intérieurs sont exposés, discutés et interprétés, et pour qui.
- Que représente et signifie aujourd'hui la conservation de ces types d'expositions de collections ?
- Et comment cette pratique pourrait-elle se présenter à l'avenir ?
- Quelles sont les nouvelles approches muséologiques nécessaires ?
Le nouveau Musée national d'art, d'architecture et de design d'Oslo, issu de la fusion de quatre musées auparavant indépendants, est un lieu approprié pour un symposium sur ce thème. Il a ouvert sa nouvelle exposition de collections à grande échelle en 2022, comprenant des arts décoratifs, du design, des intérieurs, de la mode et de l'artisanat d'atelier des années 1100 à nos jours. Cette réinstallation de la collection permanente, la première depuis 2005, a été l'occasion de repenser la conservation de l'exposition sur le design et les arts décoratifs.