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CIPEG - Appel à communications // DUBAI 2025
Le CIPEG - Comité international pour l'égyptologie de l'ICOM - lance son appel à communication pour la Conférence générale de l'ICOM à DUBAI en novembre 2025
Session A : Patrimoine immatériel // 12 novembre 2025, 14:30-16:00
Nous explorerons le positionnement des musées possédant des collections égyptiennes et soudanaises en tant qu'entités dynamiques capables de sauvegarder le patrimoine immatériel dans un paysage mondial en constante évolution. Face aux transformations rapides induites par les progrès technologiques, les changements démographiques, les flux migratoires, les mutations des modèles sociaux et les changements environnementaux, la sauvegarde du patrimoine immatériel est une préoccupation majeure dans le monde entier.
Nous discuterons de la continuité et de la revitalisation du patrimoine immatériel, de la préservation du patrimoine immatériel et de la manière de sauvegarder l'héritage culturel collectif de l'Égypte ancienne et du Soudan pour aujourd'hui et pour demain.
Les thèmes du CIPEG à Dubaï suivent les trois sous-thèmes de la conférence générale de l'ICOM.
En fonction des inscriptions, les communications seront réparties entre les sessions A et B. La session C, en collaboration avec l'UMAC, englobera également les thèmes du pouvoir des jeunes et des nouvelles technologies. Pour le thème de la session A, Patrimoine immatériel en relation avec les collections égyptiennes et soudanaises, certains sujets possibles peuvent inclure l'artisanat, les arts et les rituels.
Les communications devraient durer 10 minutes et être suivies d'une discussion de 5 minutes. Plus de détails suivront.
Session B : Le pouvoir des jeunes et les nouvelles technologies // 12 novembre 2025, 16:30-18:00
Nous nous pencherons sur le rôle essentiel des jeunes dans la création des musées et des collections égyptiennes et soudanaises de demain. La jeunesse est le moteur nécessaire pour aller de l'avant et naviguer dans un monde en constante évolution, tandis que les musées, et notamment ceux qui abritent des collections égyptiennes et soudanaises, possèdent un potentiel unique, offrant aux jeunes une fenêtre sur le passé, un outil de réflexion sur le présent et une plateforme pour façonner l'avenir.
À l'heure où les communautés subissent des transformations rapides sous l'effet des avancées technologiques et de l'essor de l'apprentissage à distance, les musées ont la possibilité d'exploiter le potentiel des nouvelles technologies pour créer de nouvelles formes d'expression, renforcer l'engagement du public et l'expérience des visiteurs, et améliorer leur fonctionnement.
Nous lançons un appel à communications qui peuvent porter sur l'un ou l'autre des thèmes ou sur une combinaison des deux. Parmi les sujets possibles sont les suivants : Comment les musées peuvent-ils intégrer les nouvelles technologies de manière responsable ? Comment la technologie peut-elle améliorer la création et le partage de contenu tout en préservant l'authenticité ?
Comment la technologie peut-elle améliorer la création et le partage de contenu tout en préservant l'authenticité ? Quel est le rôle des
du jeune personnel et de la communauté dans le développement technologique ?
Nous visons des présentations de 10 minutes et des discussions de 5 minutes. Plus de détails suivront.
Session C : Civilisations anciennes et académie contemporaine // 13 novembre 2025, 14h30–16h00
Nous explorerons l’évolution de la compréhension de la matérialité des civilisations anciennes, en particulier l’Égypte antique, à travers l’académie contemporaine ainsi que d'autres formes de production et de consommation culturelles. Par « académie contemporaine », nous entendons une organisation moderne qui mène des recherches, qu’il s’agisse d’un musée ou d’une université. Nous souhaitons discuter de la manière dont les nouvelles technologies transforment la production et la transmission du savoir, et comment une nouvelle vague de recherches émergentes nécessite un cadre contemporain et éthique solide, tant pour la génération que pour la diffusion des connaissances.
Nous invitons des présentations portant sur l’évolution de notre compréhension et de notre engagement envers la matérialité de l’Égypte ancienne (et d’autres civilisations anciennes), et sur la façon dont cela se manifeste dans les musées universitaires et les musées publics. Voici quelques thèmes possibles : La nature de l’enseignement et de la recherche en égyptologie dans nos universités est-elle en train de changer ? Si oui, quels en sont les moteurs et quels sont les nouveaux paradigmes émergents ? Comment la technologie a-t-elle transformé la recherche et l'engagement du public avec la matérialité de l'histoire ancienne ? Cela modifie-t-il fondamentalement l’histoire de la réception dans nos académies et nos musées publics ?
Les communications devront durer 10 minutes, suivies de 5 minutes de discussion. Davantage d’informations seront communiquées ultérieurement.
Retrouvez l'appel à communications ci-contre
CIPEG - Appel à communications // DUBAI 2025
Le CIPEG - Comité international pour l'égyptologie de l'ICOM - lance son appel à communication pour la Conférence générale de l'ICOM à DUBAI en novembre 2025
Session A : Patrimoine immatériel // 12 novembre 2025, 14:30-16:00
Nous explorerons le positionnement des musées possédant des collections égyptiennes et soudanaises en tant qu'entités dynamiques capables de sauvegarder le patrimoine immatériel dans un paysage mondial en constante évolution. Face aux transformations rapides induites par les progrès technologiques, les changements démographiques, les flux migratoires, les mutations des modèles sociaux et les changements environnementaux, la sauvegarde du patrimoine immatériel est une préoccupation majeure dans le monde entier.
Nous discuterons de la continuité et de la revitalisation du patrimoine immatériel, de la préservation du patrimoine immatériel et de la manière de sauvegarder l'héritage culturel collectif de l'Égypte ancienne et du Soudan pour aujourd'hui et pour demain.
Les thèmes du CIPEG à Dubaï suivent les trois sous-thèmes de la conférence générale de l'ICOM.
En fonction des inscriptions, les communications seront réparties entre les sessions A et B. La session C, en collaboration avec l'UMAC, englobera également les thèmes du pouvoir des jeunes et des nouvelles technologies. Pour le thème de la session A, Patrimoine immatériel en relation avec les collections égyptiennes et soudanaises, certains sujets possibles peuvent inclure l'artisanat, les arts et les rituels.
Les communications devraient durer 10 minutes et être suivies d'une discussion de 5 minutes. Plus de détails suivront.
Session B : Le pouvoir des jeunes et les nouvelles technologies // 12 novembre 2025, 16:30-18:00
Nous nous pencherons sur le rôle essentiel des jeunes dans la création des musées et des collections égyptiennes et soudanaises de demain. La jeunesse est le moteur nécessaire pour aller de l'avant et naviguer dans un monde en constante évolution, tandis que les musées, et notamment ceux qui abritent des collections égyptiennes et soudanaises, possèdent un potentiel unique, offrant aux jeunes une fenêtre sur le passé, un outil de réflexion sur le présent et une plateforme pour façonner l'avenir.
À l'heure où les communautés subissent des transformations rapides sous l'effet des avancées technologiques et de l'essor de l'apprentissage à distance, les musées ont la possibilité d'exploiter le potentiel des nouvelles technologies pour créer de nouvelles formes d'expression, renforcer l'engagement du public et l'expérience des visiteurs, et améliorer leur fonctionnement.
Nous lançons un appel à communications qui peuvent porter sur l'un ou l'autre des thèmes ou sur une combinaison des deux. Parmi les sujets possibles sont les suivants : Comment les musées peuvent-ils intégrer les nouvelles technologies de manière responsable ? Comment la technologie peut-elle améliorer la création et le partage de contenu tout en préservant l'authenticité ?
Comment la technologie peut-elle améliorer la création et le partage de contenu tout en préservant l'authenticité ? Quel est le rôle des du jeune personnel et de la communauté dans le développement technologique ?
Nous visons des présentations de 10 minutes et des discussions de 5 minutes. Plus de détails suivront.
Session C : Civilisations anciennes et académie contemporaine // 13 novembre 2025, 14h30–16h00
Nous explorerons l’évolution de la compréhension de la matérialité des civilisations anciennes, en particulier l’Égypte antique, à travers l’académie contemporaine ainsi que d'autres formes de production et de consommation culturelles. Par « académie contemporaine », nous entendons une organisation moderne qui mène des recherches, qu’il s’agisse d’un musée ou d’une université. Nous souhaitons discuter de la manière dont les nouvelles technologies transforment la production et la transmission du savoir, et comment une nouvelle vague de recherches émergentes nécessite un cadre contemporain et éthique solide, tant pour la génération que pour la diffusion des connaissances.
Nous invitons des présentations portant sur l’évolution de notre compréhension et de notre engagement envers la matérialité de l’Égypte ancienne (et d’autres civilisations anciennes), et sur la façon dont cela se manifeste dans les musées universitaires et les musées publics. Voici quelques thèmes possibles : La nature de l’enseignement et de la recherche en égyptologie dans nos universités est-elle en train de changer ? Si oui, quels en sont les moteurs et quels sont les nouveaux paradigmes émergents ? Comment la technologie a-t-elle transformé la recherche et l'engagement du public avec la matérialité de l'histoire ancienne ? Cela modifie-t-il fondamentalement l’histoire de la réception dans nos académies et nos musées publics ?
Les communications devront durer 10 minutes, suivies de 5 minutes de discussion. Davantage d’informations seront communiquées ultérieurement.
Retrouvez l'appel à communications ci-contre
L'étude d'impact carbone des Frac
L'étude d'impact carbone des Frac
Au même titre que l’ensemble des labels de la création, les Frac ont bénéficié en 2024 d’une étude d’impact carbone d’un panel de 5 Frac financée par le ministère de la Culture et menée par le collectif Les Augures.
La méthodologie, les résultats et les plans d’action concrets découlant de cette étude vous ont été présentés par Laurence Perrillat, consultante ayant piloté ce chantier, Keren Detton, directrice du Frac Grand-Large Hauts-de-France et Eric Mangion, directeur du Frac Occitanie Montpellier.
Synthèse de l'étude :
Captation
La fermeture du Palais de la découverte ou sa réduction serait une perte pour l’ensemble de la communauté internationale
Tribune de soutien au Palais de la découverte publiée sur le site de l'Amcsti
Nous, professionnel·les de la culture scientifique technique et industrielle réunis au sein de l’Amcsti, réseau national et francophone, prenons acte et nous inquiétons vivement de la révocation du président d’Universcience en conseil des ministres du 12 juin 2025. Ce dernier événement s’inscrit dans une liste déjà longue d’annonces alarmantes et d’obstacles à la réinstallation du Palais de la Découverte dans l’ensemble patrimonial rénové du Grand Palais. Depuis 1937, le Palais de la Découverte partage les sciences en train de se faire avec le grand public dans le Palais d’Antin, l’aile ouest du Grand Palais.
Ce retour dans ses murs historiques devait débuter le 10 juin 2025, par le festival “Premières Ondes”, riche programme dédié aux sciences en société, avec la présentation d’une exposition sur l’Intelligence Artificielle jusqu’au mois d’octobre. Puis, le bâtiment devait refermer au public, afin de mettre en place une nouvelle scénographie originale, pour une ouverture définitive à la rentrée 2026. Aujourd’hui, seule l’ouverture du Palais des enfants, l’espace dédié aux 2-7 ans, a été confirmée, avec la présentation de l’exposition “Transparence”, coproduite par Universcience avec le Grand Palais RMN.
Le limogeage, hier, de Bruno Maquart, président d’Universcience, qui a porté avec ses équipes, depuis plus de 5 ans un ambitieux projet de rénovation du Palais de la Découverte en étroite relation avec les communautés scientifiques (dont le CNRS et l’Académie des sciences), semble mettre un terme final à cette dynamique pourtant essentielle aujourd’hui.
À un moment où nos sociétés ont plus que jamais besoin d’une pensée complexe et non simpliste, fondée sur l’esprit critique et la méthode scientifique, afin de relever les nombreux défis qui se présentent, depuis l’érosion de la biodiversité, la maîtrise et l’adaptation au changement climatique, l’irruption de l’IA dans tous les domaines, la désaffection progressive des femmes dans les filières scientifiques, jusqu’à la lutte contre la désinformation et les faits alternatifs, la disparition du Palais de la Découverte en plein de cœur de Paris serait gravement contre-productive.
Non seulement parce que cette institution historique a inspiré pendant des décennies nombre de nos concitoyennes et concitoyens vers les carrières scientifiques ou d’ingénieur·es, mais aussi parce que le Palais de la Découverte est l’une des références nationales et mondiales en matière de partage des savoirs avec le grand public, qui a inspiré de nombreuses institutions en France et sur tous les continents. Ensuite, parce que son nouveau projet s’inscrit en plein dans le 21ème siècle, en articulant découverte des sciences avec les enjeux sociétaux d’aujourd’hui et de demain, dans un dialogue ouvert des disciplines allant des sciences physiques et de la nature, aux sciences humaines et sociales, et jusqu’aux croisements entre arts et sciences. Enfin, parce qu’il est urgent de renforcer et non limiter la culture scientifique technique et industrielle auprès de toutes et tous, sur tout le territoire national comme en plein cœur de Paris.
Nous appelons les autorités concernées à garantir l’avenir du Palais de la Découverte, à s’assurer qu’il demeure dans son lieu historique du Palais d’Antin, et à réaffirmer leur engagement durable en faveur de sa mission, de ses équipes, ainsi que du rôle essentiel qu’il joue pour inscrire la science au cœur de notre patrimoine culturel commun.
Signataire : Amcsti
Dans une tribune au « Monde », une cinquantaine de représentants d’institutions scientifiques internationales appellent la France à garantir l’avenir du Palais de la découverte.
Nous, représentants d’institutions engagées dans le partage des sciences à travers l’Europe et le monde, exprimons notre profonde inquiétude face à l’avenir incertain du Palais de la découverte, à Paris.
Depuis plus de huit décennies, le Palais de la découverte est une institution phare de la médiation scientifique – non seulement en France, mais aussi à l’international –, un modèle de médiation exigeante, accessible et inspirante. Son approche distinctive et reconnue a inspiré des générations de scientifiques, d’enseignants et de citoyens en rendant accessibles des idées complexes, ainsi qu’en éveillant un intérêt durable pour les sciences. Il a été – et reste – un acteur essentiel de notre domaine.
La fermeture ou la réduction définitive de cette institution ne représenterait pas seulement une perte pour Paris et pour la France, mais pour l’ensemble de la communauté internationale qui défend l’accès ouvert au savoir et à la culture scientifique.
Nous appelons les autorités concernées à garantir l’avenir du Palais de la découverte, à s’assurer qu’il demeure dans son lieu historique du palais d’Antin, et à réaffirmer leur engagement durable en faveur de sa mission, de ses équipes, ainsi que du rôle essentiel qu’il joue pour inscrire la science au cœur de notre patrimoine culturel commun.
Signataires :
Marianne Achiam, professeure agrégée en communication scientifique, université de Copenhague, Danemark ; Bärbel Auffermann, directrice du Musée de Neandertal, Allemagne ; Andrea Bandelli, président exécutif de la Woven Foundation for Creative Climate Communication, Pays-Bas ; Silvina Basile, coordinatrice du programme de vulgarisation scientifique de l’université nationale de La Plata, Argentine ; Martin W. Bauer, professeur de psychologie sociale, London School of Economics ; Stéphane Berghmans, PDG, Technopolis, Belgique ; Maria Emilia Beyer, administratrice, Universum, Science Museum UNAM, Mexico ; Sir Ian Blatchford, administrateur et directeur général du Science Museum Group, Royaume-Uni ; Marjolein van Breemen, directrice du centre de biodiversité Naturalis, Leyden, Pays-Bas ; Martha Cambre, coordinatrice générale du Musée des sciences Espacio Ciencia à Montvideo, Uruguay ; Antonia Caola, responsable de la communication du Musée des sciences, Trente, Italie ; Andréa Fernandes Costa, présidente de l’Association brésilienne des musées et centres scientifiques, Brésil ; Lavinia Del Longo, responsable du bureau technique du Musée des sciences, Trente, Italie ; Alessandra Drioli, ambassadrice, Fondazione IDIS - Cité de la Science, Italie ; Cyril Dworsky, coordinateur des relations internationales, réseau européen des universités pour enfants EUCU. net, Vienne, Autriche ; Sigrid Falla, directrice de l’architecture des expériences, Maloka Science Center, Bogota, Colombie ; Robert Firmhofer, directeur général du centre scientifique Copernicus, Varsovie, Pologne ; docteur Derek Fish, directeur du Centre Unizulu des sciences, Afrique du Sud ; Michele Fontana, cofondateur et directeur artistique, KOI Public Engagement, Belgique ; Fiorenzo Marco Galli, directeur général de la Fondation du Musée national des sciences et des technologies Leonardo da Vinci, Italie ; Maria Isabel Garcia, directrice-conservatrice du Musée des sciences The Mind, Philippines ; Kim Gladstone Herlev, directeur général d’Experimentarium, centre scientifique danois, Danemark ; Diego Golombek, université de San Andrés-CONICET, Argentine ; Michael John Gorman, directeur du Musée du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et professeur de pratique des sciences, technologies et société au MIT ; Clayton Micallef Grimaud, directeur principal, National Skills Council, Malte ; Miguel Garcia Guerrero, directeur exécutif du Réseau pour la vulgarisation des sciences et des technologies en Amérique latine et dans les Caraïbes, Mexique ; docteur Andreas Gundelwein, PDG, Experimenta GmbH, Allemagne ; Mairéad Hurley, professeure adjointe en éducation scientifique et sociale, Trinity College Dublin, Irlande ; Karoline Iber, présidente du réseau européen des universités pour enfants EUCU. net, Vienne, Autriche ; Colin Johnson OBE, chercheur honoraire du Réseau européen des centres et musées scientifiques Ecsite, université de Cardiff, Royaume-Uni ; Ulrike Kastrup, directrice du centre scientifique focusTerra, ETH Zurich, Suisse ; docteur Ulrich Kernbach, directeur des expositions et des collections, Deutsches Museum, Munich, Allemagne ; docteur Stuart Kohlhagen, fondateur de The Science Nomad, Australie ; docteur Miha Kos, PDG de La Maison des expériences (Hisa eksperimentov), Centre scientifique slovène (depuis 1996), Slovénie ; Thorsten-D. Künnemann, directeur général du Centre scientifique suisse Technorama, Winterthur, Suisse ; Dobrivoje Lale Eric, responsable de la coopération internationale du Centre pour la promotion des sciences, Serbie ; Dee Laval, direction de Culture Instable Ltd et responsable éditorial chez V !VANT, Royaume-Uni ; Lars Leegaard Maroy, directeur général du Centre scientifique VilVite de Bergen, Norvège ; Bruce V. Lewenstein, professeur au département de communication et d’études scientifiques et technologiques, Cornell University, Etats-Unis ; Elisabeth Limbeck-Lilienau, responsable des expositions, Technisches Museum Wien, Vienne, Autriche ; Amparo Leyman Pino, directrice et fondatrice de Yellow Cow Consulting LLC, Etats-Unis ; Sebastian Martin, docteur, consultant en centres scientifiques, San Francisco, Californie, Etats-Unis ; Luisa Massarani, coordinatrice de l’Institut national de communication publique en science et technologie, chercheuse à la Casa de Oswaldo Cruz, Fiocruz, Brésil ; Vanessa Mignan Jenkins, consultante indépendante, Croatie ; Mikko Myllykoski, directeur général de Heureka, centre scientifique finlandais, Finlande ; Michael Oettli, président de la Société des sciences naturelles et de l’Université des enfants de Winterthur, Suisse ; Maarten Okkersen, conseiller principal en développement et conception d’expériences, Museon-Omniversum, La Haye, Pays-Bas ; Elise Raphael, codirectrice du Geneva Mathematical Escapes, université de Genève ; Elaine Reynoso Haynes, Université nationale autonome du Mexique, Mexique ; Paola Rodari, étudiante en muséologie, master en communication scientifique, SISSA, Italie ; Andrés Roldan, PDG du parc Explora Medellin, Colombie ; Pedro Russo, professeur associé en communication scientifique et société à l’université de Leyden, Pays-Bas ; Wendy Sadler, professeure en communication scientifique, université de Cardiff ; Michael Seifert, fondateur de l’Université des enfants de Tubingue, Allemagne ; Fiorella Silveira, coordinatrice pédagogique du Musée des sciences Espacio Ciencia du laboratoire technologique d’Uruguay, Uruguay ; Silvia Singer, directrice générale du Musée interactif de l’économie, Mexico, Mexique ; Walter Staveloz, fondateur et président de MuseumExpert.org, Etats-Unis ; Harry White, consultant en centres scientifiques, HWConsult, Pays de Galles, Royaume-Uni.
Élections des conseils d’administration des Comités Internationaux d'ICOM
La prochaine 26e Conférence générale de l’ICOM à Dubaï qui aura lieu du 11 au 17 novembre 2025 sera l'occasion du renouvellement des conseils d’administration des comités internationaux d'ICOM.
ICOM France encourage ses membres à saisir cette opportunité pour rejoindre les bureaux des comités internationaux d'ICOM.
Retrouvez ci-dessous les dates, procédures et appels à candidature de chaque comité international, en vue des prochaines élections !
Cette liste sera complétée au fur et à mesure de la publication des informations par chaque comité.
AVICOM (Audiovisuel et nouvelles technologies)
Cette année, de nouvelles élections pour notre conseil d'administration sont prévues, qui seront confirmées par les membres de l'AVICOM en novembre lors de la conférence générale de l'ICOM à Dubaï. Le processus de candidature pour ces élections est maintenant ouvert.
Toute personne souhaitant se présenter au nouveau conseil d'administration doit être consciente que le travail au sein du conseil d'administration implique un engagement personnel important. En outre, malgré l'augmentation des communications et des réunions en ligne, les candidats doivent être prêts à assister en personne à des événements clés dans la mesure du possible (tels que la conférence annuelle d'AVICOM avec l'assemblée générale et les réunions du conseil d'administration).
Pour vous envoyer les documents et le formulaire de candidature : avicom@icom.museum.
CAMOC (Musée des villes)
L'appel à candidatures pour 11 postes au sein du Conseil d'administration du CAMOC pour le mandat 2025-2028 est maintenant ouvert. Si vous avez l'intention d'être candidat au nouveau conseil d'administration du CAMOC (ou de suggérer un collègue), veuillez noter que la préparation de la candidature demande un certain temps car elle comprend l'appui de deux membres du CAMOC, une déclaration de motivation et des documents à l'appui.
La commission des élections du CAMOC recueillera les candidatures jusqu'au 15 septembre 2025 et organisera le vote par le biais d'une plateforme en ligne au mois d'octobre.
Les candidats, y compris les membres actuels du Conseil d'administration qui sont éligibles et souhaitent se présenter à ces élections, doivent remplir le formulaire de nomination et l'envoyer avec les documents justificatifs à la Commission des élections par courrier électronique au plus tard le 15 septembre 2025.
CECA (Éducation et action culturelle)
Un nouveau Bureau est élu tous les trois ans à l’occasion de la conférence triennale de l’ICOM.
Les membres du CECA, intéressés par la collaboration aux travaux du Bureau, sont invités à faire acte de candidature.
Tous les membres du CECA sont invités à voter pour élire les membres qui vont les représenter au sein de ce comité international, l’un des plus nombreux et des plus actifs de l’ICOM
Calendrier :
Candidatez : 20 Avril - 12 Juin 2025
Votez : 15 Août – 15 Septembre 2025
Le Bureau du CECA 2025-2028, compte tenu de ses nombreuses activités, comprendra environ quinze membres :
un président et douze autres membres, parmi lesquels le conseil choisit le secrétaire, le trésorier, cinq coordinateurs régionaux, le coordinateur du site web et toutes autres fonctions nécessaires.
CIDOC (Documentation)
Le conseil d'administration d'ICOM Documentation est composé de cinq membres du bureau (président, vice-président, secrétaire, trésorier et rédacteur), de quatre membres ordinaires et de membres cooptés. Les membres du bureau et les membres ordinaires sont élus pour un mandat de trois ans. Ils peuvent exercer une fonction spécifique pendant deux mandats consécutifs au maximum. Un membre du conseil d'administration peut ensuite être élu président.
Tous les postes sont à pourvoir.
Si vous êtes un membre votant, vous êtes invité à vous présenter en tant que membre du bureau ou membre du conseil d'administration. Veuillez envoyer votre candidature par courrier électronique ou postal au professeur Monika Hagedorn-Saupe avant la date limite de 23h59 (BST) le 15 août 2025 :
Les détails concernant les candidats seront diffusés avant le 30 septembre 2025. Si nécessaire, une élection sera organisée, avec une date limite fixée au 31 octobre.
CIMCIM (Instruments de musique)
CIMUSET (Sciences et techniques)
Calendrier
Candidatures : Début juin - 31 juillet 2025
Présentation des candidats : 1er août - 14 septembre 2025. Les présentations sont diffusées via le site web, le bulletin d'information et les médias sociaux.
Vote en ligne : 15 - 21 septembre 2025. Le vote aura lieu via une plateforme en ligne (qui sera annoncée ultérieurement).
Annonce des résultats : 10 octobre 2025. Les résultats seront publiés sur le site web, la newsletter et les médias sociaux.
Installation du nouveau Bureau du CIMUSET : pendant la conférence générale de l'ICOM lors de l'assemblée générale du CIMUSET - 15 novembre 2025 (sur place).
Procédure :
Documents requis pour les candidatures : Mini biographie et lettre de motivation (max. 600 mots) : Présentez-vous, décrivez votre expérience dans les musées/institutions scientifiques et technologiques et expliquez pourquoi vous souhaitez rejoindre le conseil d'administration du CIMUSET.
Pour les membres actuels du conseil d'administration qui souhaitent être réélus : Une lettre de soutien d'un membre actuel du conseil d'administration du CIMUSET confirmant votre engagement et votre soutien.
Pour les nouveaux candidats : Une lettre de soutien de votre musée ou institution d'origine, confirmant votre soutien institutionnel et votre capacité à contribuer à la mission du CIMUSET.
Photo portrait (format .jpg, minimum 500 kB)
Formulaire de candidature au CIMUSET 2025-2028.
CIPEG (Égyptologie)
COMCOL (Développement des collections)
COSTUME
DEMHIST (Demeures historiques-musées)
Les élections se tiendront en 2026.
GLASS (Verre)
ICMEMOHRI (Musées commémoratifs)
ICAMT (Architecture et techniques muséographiques)
ICDAD (Arts décoratifs et design)
ICEE (Échanges d'expositions)
Les élections pour le nouveau bureau d'ICEE auront lieu avant la conférence générale de Dubaï, en ligne.
ICethics
Les élections ouvriront en juin 2025 et les résultats seront annoncés le 15 novembre 2025 à Dubaï.
ICFA (Beaux-arts)
ICLM (Musées littéraires)
ICMAH (Archéologie et histoire)
ICME (Ethnographie)
ICMS (Sécurité dans les musées)
ICOFOM (Muséologie)
ICOM-CC (Conservation)
L' appel à candidature ouvrira au début de l'année 2026. Les candidatures seront partagées aux membres d'ICOM-CC au mois de mars 2026. Les résultats seront annoncés lors de la Conférence Triennale d'ICOM-CC en septembre 2026.
ICOMAM (Armes et histoire militaire)
ICOMON (Musées bancaires et monétaires)
ICR (Musées régionaux)
ICTOP (Formation du personnel)
INTERCOM (Gestion des musées)
INTERCOM accepte les nominations pour le nouveau conseil d'administration à compter de juillet 2025. Les élections auront lieu lors de la Conférence générale à Dubaï.
Postes à pourvoir :
Président
Secrétaire
Trésorier
Membres ordinaires du conseil d'administration (5 maximum)
MPR (Marketing et relations publiques)
NATHIST (Sciences naturelles)
UMAC (Musées universitaires)
STORAGE (Réserves)
Comment devenir membre d'ICOM France ?
L’adhésion à ICOM France fonctionne en année civile.
La campagne de primo-adhésion au titre de l'année 2026 débute à l’automne 2025 et se termine au printemps 2025.
Cette année, quatre commissions examinerons les candidatures :
- La première en octobre 2025 - date limite de dépôt des candidatures : à venir
- La seconde en / - date limite de dépôt des candidatures : /
- La troisième en / - date limite de dépôt des candidatures : /
- La quatrième en / - date limite de dépôt des candidatures : /
Types d’adhésions
Il existe cinq types de primo-adhésions à ICOM France
- Membre individuel en activité (tout personnel employé par un musée ou professionnel indépendant exerçant son activité principale comme prestataire de musée)
- Membre individuel étudiant
- Membre individuel retraité
- Membre individuel bienfaiteur
- Membre institutionnel
Tarifs 2025
ATTENTION : Le paiement de la cotisation est exigible seulement après acceptation du dossier.
MEMBRES INDIVIDUELS
Catégories de membre | Montant de l'adhésion |
En activité | 88 € |
Retraité | 63 € |
Etudiant de - de 30 ans (non votant) | 41 € |
Etudiant de + de 31 ans (non votant) | 88 € |
Bienfaiteur (non votant) | à partir de 460 € |
MEMBRES INSTITUTIONNELS
Catégorie de membre | Cotisation | Nombre de cartes |
Actifs I (Budget* < 30 000 €) | 355 € | 3 cartes |
Actifs II (Budget* entre 30 000 € et 100 000 €) | 460 € | 4 cartes |
Actifs III (Budget* entre 100 000 € et 1 000 000 €) | 650 € | 5 cartes |
Actifs IV (Budget* entre 1 000 000 € et 5 000 000 €) | 800 € | 6 cartes |
Actifs V (Budget* entre 5 000 000 € et 10 000 000 €) | 1000 € | 7 cartes |
Actifs VI (Budget* > 10 000 000 €) | 1 500 € | 8 cartes |
De soutien (non-votants) | 3 000 € | 8 cartes |
* Budget de fonctionnement de l'institution hors salaires
Pour information : Les montants des cotisations à l’ICOM se composent d’une première part fixée annuellement par notre organisation internationale et reversée au Secrétariat général, ainsi que d’une seconde part conservée par le Comité français pour assurer ses missions et son fonctionnement.
Date limite de dépôt de la commission d'octobre 2025 :
à venir / 2025
MERCI DE NE PAS DÉPOSER DE CANDIDATURE AVANT LE 21 JUILLET
Formulaires
Pour rappel, L'ICOM est le réseau des professionnels de musées. Les personnes étudiant ou exerçant dans les secteurs d'activités suivants : MARCHÉ DE L'ART, HISTOIRE DE L'ART, ARCHÉOLOGIE, HISTOIRE, LITTÉRATURE, ARCHIVES & BIBLIOTHÈQUE ne sont pas acceptés au sein de notre institution.
Ainsi, avant de remplir votre formulaire de demande d'adhésion en ligne, veuillez absolument prendre connaissance des conditions d'adhésion individuelle et des catégories de membres l'ICOM, et vous rapporter ensuite au formulaire vous correspondant.
Candidature pour une adhésion individuelle - Formulaire membre en activité - votant
Candidature pour une adhésion individuelle - Formulaire membre étudiant - non votant
Candidature pour une adhésion individuelle - Formulaire membre retraité - votant
Candidature pour une adhésion individuelle - Formulaire membre bienfaiteur - non votant
Candidature pour une adhésion institutionnelle - Formulaire adhésion institutionnelle - votant
Contact
Pour toute information complémentaire ou aide au dépôt des candidatures en ligne, merci de contacter : icomfrance.musees(a)gmail.com
Face à la crise - Des musées investis et innovants
A VOS AGENDAS !
ICOM France annonce son congrès 2025 le vendredi 3 octobre prochain au Château de Versailles - Pavillon Dufour. Cette journée sera suivie de visites professionnelles le matin du samedi 4 octobre à Versailles.
Le thème abordé lors de cette journée sera : Face à la crise - Des musées investis et innovants
Propos
Ces derniers mois, nombreuses ont été les annonces de restrictions et de baisses budgétaires dans le secteur culturel, et les musées ne sont évidemment pas épargnés. Face à cette situation, les effets sont nombreux, impactant autant la programmation, la nature de l’activité, les priorisations que la gestion des ressources humaines des musées. Revalorisation à la baisse des projets engagés, obligation de renoncer à certains projets nouveaux, risque de diminution du service public, postes gelés voire supprimés, recrutements reportés, injonction à trouver de nouvelles ressources propres… Une liste qui ressemble sinon à un catalogue des désillusions, du moins à une nouvelle étape dans l’évolution d’un mouvement qui a commencé il y a quelques années déjà et qui s’annonce, il faut bien l’admettre, malheureusement persistant.
Il ne s’agit plus seulement, pour nos musées, de « passer » un moment difficile mais d’apprendre à faire avec et surtout autrement. Comment dès lors s’adapter ? Depuis plusieurs années, les musées ont tenté d’inventer de nouveaux modèles, notamment de nouveaux modes de financement, pour essayer de développer leurs ressources propres et être moins uniquement dépendant des financements publics. Mais les ressources externes ne sont pas pléthoriques et inépuisables, les difficultés économiques ne touchant pas que le secteur public.
Face à cette situation, les imaginations sont à l’œuvre pour conduire un changement réel, pérenne et durable. Comment continuer à répondre à la nécessité de conserver et de diffuser avec des moyens plus restreints ? Comment continuer à « être musée » dans un contexte économique défavorable et en totale transformation ? Source d’interrogation et de remise en question, la situation que nous connaissons aujourd’hui oblige les professionnels de musée à penser leurs métiers et leurs missions différemment.
Les initiatives permettant de tester de nouveaux modes de fonctionnement sont nombreuses sur le territoire français et à l’étranger : mutualisation, coproductions, partenariats économiques conçus à l’échelle d’un territoire, nouveaux programmes de fidélisation, construction de meilleure intégration au tissu local, cercles de mécènes privilégiés, campagnes de financement participatif, mécénats innovants… Cette journée d’échanges permettra de mettre en avant ces expériences, qui croisent d’ailleurs souvent des préoccupations relatives à la durabilité écologique et à un meilleur engagement sociétal de l’action des musées. Comment penser le musée dans un équilibre avec son environnement social et économique ? Comment imaginer des musées plus intégrés à la société où le récit porté par l’institution trouve un écho chez ses partenaires et permettent un lien solide et stable, un attachement ?
Émilie Girard, présidente d’ICOM France, Juin 2025

Face à la crise - Des musées investis et innovants
A VOS AGENDAS !
ICOM France annonce son congrès 2025 le vendredi 3 octobre prochain au Château de Versailles - Pavillon Dufour. Cette journée sera suivie de visites professionnelles le matin du samedi 4 octobre à Versailles.
Le thème abordé lors de cette journée sera : Face à la crise - Des musées investis et innovants
Propos
Ces derniers mois, nombreuses ont été les annonces de restrictions et de baisses budgétaires dans le secteur culturel, et les musées ne sont évidemment pas épargnés. Face à cette situation, les effets sont nombreux, impactant autant la programmation, la nature de l’activité, les priorisations que la gestion des ressources humaines des musées. Revalorisation à la baisse des projets engagés, obligation de renoncer à certains projets nouveaux, risque de diminution du service public, postes gelés voire supprimés, recrutements reportés, injonction à trouver de nouvelles ressources propres… Une liste qui ressemble sinon à un catalogue des désillusions, du moins à une nouvelle étape dans l’évolution d’un mouvement qui a commencé il y a quelques années déjà et qui s’annonce, il faut bien l’admettre, malheureusement persistant.
Il ne s’agit plus seulement, pour nos musées, de « passer » un moment difficile mais d’apprendre à faire avec et surtout autrement. Comment dès lors s’adapter ? Depuis plusieurs années, les musées ont tenté d’inventer de nouveaux modèles, notamment de nouveaux modes de financement, pour essayer de développer leurs ressources propres et être moins uniquement dépendant des financements publics. Mais les ressources externes ne sont pas pléthoriques et inépuisables, les difficultés économiques ne touchant pas que le secteur public.
Face à cette situation, les imaginations sont à l’œuvre pour conduire un changement réel, pérenne et durable. Comment continuer à répondre à la nécessité de conserver et de diffuser avec des moyens plus restreints ? Comment continuer à « être musée » dans un contexte économique défavorable et en totale transformation ? Source d’interrogation et de remise en question, la situation que nous connaissons aujourd’hui oblige les professionnels de musée à penser leurs métiers et leurs missions différemment.
Les initiatives permettant de tester de nouveaux modes de fonctionnement sont nombreuses sur le territoire français et à l’étranger : mutualisation, coproductions, partenariats économiques conçus à l’échelle d’un territoire, nouveaux programmes de fidélisation, construction de meilleure intégration au tissu local, cercles de mécènes privilégiés, campagnes de financement participatif, mécénats innovants… Cette journée d’échanges permettra de mettre en avant ces expériences, qui croisent d’ailleurs souvent des préoccupations relatives à la durabilité écologique et à un meilleur engagement sociétal de l’action des musées. Comment penser le musée dans un équilibre avec son environnement social et économique ? Comment imaginer des musées plus intégrés à la société où le récit porté par l’institution trouve un écho chez ses partenaires et permettent un lien solide et stable, un attachement ?
Émilie Girard, présidente d’ICOM France, Juin 2025
