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Restitution et raptriement
L'UMAC, le Comité international de l'ICOM pour les musées universitaires et les collections, a entrepris en 2020 et 2021 une étude sur "l'éthique du rapatriement et de la restitution" en partenariat avec d'autres organisations en partenariat avec d'autres groupes de l'ICOM (ETHCOM, ICME et ICOM Australia), et avec UNIVERSEUM, le réseau européen des musées universitaires.
Ce projet s'inscrit dans le cadre de l'engagement de l'ICOM à rechercher et à traiter les questions de décolonisation. Le projet a impliqué un dialogue et des échanges internationaux considérables entre musées universitaires et les communautés sources. Il a abouti à un projet de lignes directrices destinées à aider les universités sur la question de la restitution et du rapatriement et à compléter le code d'éthique de l'ICOM.
Le projet a permis de découvrir de nombreux exemples intéressants de rapatriement dans le secteur de l'enseignement supérieur dans le cadre des stratégies de décolonisation des universités. Nous cherchons maintenant à les rassembler pour une édition thématique du University Museums and Collections Journal. Étant donné que la question du rapatriement va dominer la prochaine ou les deux prochaines générations de pratiques muséales, nous pensons qu'il est important de saisir les détails de certains des premiers efforts de rapatriement des universités.
Les universités doivent s'attaquer à la question du patrimoine souillé par des histoires de violence, d'occupation forcée, d'oppression, d'exploitation, de recherche non éthique et de guerre. Plus important encore, nous devons aller au-delà des musées universitaires, au plus profond de nos départements, laboratoires et instituts, qui regorgent d'objets incarnant des vérités inconfortables.
Les propositions sont à envoyer jusqu'au 31 décembre 2021 à umacjeditor@gmail.com
Restitution et rapatriement
L'UMAC, le Comité international de l'ICOM pour les musées universitaires et les collections, a entrepris en 2020 et 2021 une étude sur "l'éthique du rapatriement et de la restitution" en partenariat avec d'autres organisations en partenariat avec d'autres groupes de l'ICOM (ETHCOM, ICME et ICOM Australia), et avec UNIVERSEUM, le réseau européen des musées universitaires.
Ce projet s'inscrit dans le cadre de l'engagement de l'ICOM à rechercher et à traiter les questions de décolonisation. Le projet a impliqué un dialogue et des échanges internationaux considérables entre musées universitaires et les communautés sources. Il a abouti à un projet de lignes directrices destinées à aider les universités sur la question de la restitution et du rapatriement et à compléter le code d'éthique de l'ICOM.
Le projet a permis de découvrir de nombreux exemples intéressants de rapatriement dans le secteur de l'enseignement supérieur dans le cadre des stratégies de décolonisation des universités. Nous cherchons maintenant à les rassembler pour une édition thématique du University Museums and Collections Journal. Étant donné que la question du rapatriement va dominer la prochaine ou les deux prochaines générations de pratiques muséales, nous pensons qu'il est important de saisir les détails de certains des premiers efforts de rapatriement des universités.
Les universités doivent s'attaquer à la question du patrimoine souillé par des histoires de violence, d'occupation forcée, d'oppression, d'exploitation, de recherche non éthique et de guerre. Plus important encore, nous devons aller au-delà des musées universitaires, au plus profond de nos départements, laboratoires et instituts, qui regorgent d'objets incarnant des vérités inconfortables.
Focus sur la notion de plaisir dans les musées
A l'échelle d'un pays, les visiteurs des musées, nos visiteurs, se comptent en millions de personnes. Les chiffres sont éloquents : les grands musées représentent des centaines de milliers - parfois plus - de visiteurs par an. Pour être précis, il faut compter les "visites" plutôt que les "visiteurs". Cette nuance est importante, car elle prend en compte ceux qui qui viennent pour la première fois au musée ou à l'exposition, ainsi que ceux qui reviennent pour d'autres visites.
La notion de plaisir est apparue si importante qu'elle a été incluse dans la définition de 2007 des des musées. En effet, le plaisir est le troisième et dernier objectif du musée, après les "études" et l'"éducation". Là encore, la traduction du mot dans les deux autres langues officielles de l'ICOM est un défi : "délectation" en français est un terme assez désuet avec une connotation de "plaisir". Le terme espagnol utilisé est "deleite". Bien qu'il s'agisse du dernier mot de la la définition de 2007, il a toujours été mal aimé - peut-être à cause des traductions insatisfaisantes. Il y a eu plus de moqueries que d'études sensées sur le plaisir. Améliorer les connaissances scientifiques ("études"), transmettre ces connaissances ("éducation"), sont considérés comme des tâches nobles. Mais le plaisir ?
C'est précisément cette notion de plaisir, de plaisir(s) de la visite d'un musée que nous avons l'intention d'explorer dans ce numéro d'ICOM Education. Afin de couvrir ce champ le plus largement possible, nous souhaitons recevoir des propositions d'articles qui éclairent les différents aspects du terme "plaisir" au musée et qui, rassemblés dans un tout dans la publication, brossent un tableau de ce qui fait de la visite un moment si agréable. une image de ce qui fait de la visite un moment merveilleux pour tant de publics différents.
Retrouvez la liste des sujets et l'appel complet
Si vous êtes intéressés à soumettre un article, vous pouvez contacter Stéphanie Wintzerith, swi@wintzerith.de
Les articles doivent être remis pour le 15 janvier 2022 au plus tard.
Habiller la pandémie
En 2020, la pandémie de la COVID-19 a contraint de fermer la plupart (si ce n’est la totalité) des musées du monde entier afin de répondre aux mesures sanitaires et de sécurité publique. Le comité international ICOM Costume conçut alors le projet d’une exposition virtuelle de masques afin de maintenir des liens entre les professionnels des musées et le public, et aussi d’encourager la collecte, l’interprétation et l’exposition d’objets relatifs à ce moment crucial de l’époque. Des musées en Europe, Asie, Afrique, Amérique du Nord, et Océanie ont été invités à rejoindre cette initiative, emportée par le Royal Ontario Museum (Toronto, Canada), co-organisation pilote. Les masques sont devenus le symbole de la pandémie, représentant la résilience de l’humanité, la communauté, et l’unité pendant cette tragédie mondiale. Cette exposition virtuelle met en lumière l’importance des collections muséographiques comme sources d’inspiration qui embrassent les évènements actuels et célèbrent la mode contemporaine et le design. Accessible gratuitement pour les visiteurs du monde entier, l’exposition présente des masques qui documentent les moments clefs de l’histoire contemporaine et saisissent le défi relevé mondialement contre le virus, ce qui résonnera pour les années à venir.
Découvrir l'exposition virtuelle
Le projet "Habiller la pandémie : Résilience, unité et communauté exprimés à travers un projet de collaboration internationale sur les masques Covid-19"
L’exposition virtuelle est financée par une bourse du fond ICOM Solidarité de l’appel à projet 2021, dans le cadre du projet d’ICOM Costume Clothing the Pandemic: Resiliency, Community & Unity Expressed Through an International Collaboration of the COVID-19 Facemask Project/Habiller la pandémie : Résilience, unité et communauté exprimés à travers un projet de collaboration internationale sur les masques Covid-19. D’autres volets du projet ont mis en œuvre des ateliers en ligne Documenting the Material Culture of the Pandemic: Strategies and Challenges/Documenter la culture matérielle de la pandémie : défis et stratégies, et une conférence internationale ayant pour résultat un ensemble de données accessibles en ligne pouvant permettre à d’autres de constituer leurs propres collections, et de procurer des ressources pédagogiques pour les éducateurs afin de parler de la pandémie à travers ces collections internationales.
Focus sur la notion de plaisir dans les musées
A l'échelle d'un pays, les visiteurs des musées, nos visiteurs, se comptent en millions de personnes. Les chiffres sont éloquents : les grands musées représentent des centaines de milliers - parfois plus - de visiteurs par an. Pour être précis, il faut compter les "visites" plutôt que les "visiteurs". Cette nuance est importante, car elle prend en compte ceux qui qui viennent pour la première fois au musée ou à l'exposition, ainsi que ceux qui reviennent pour d'autres visites.
La notion de plaisir est apparue si importante qu'elle a été incluse dans la définition de 2007 des des musées. En effet, le plaisir est le troisième et dernier objectif du musée, après les "études" et l'"éducation". Là encore, la traduction du mot dans les deux autres langues officielles de l'ICOM est un défi : "délectation" en français est un terme assez désuet avec une connotation de "plaisir". Le terme espagnol utilisé est "deleite". Bien qu'il s'agisse du dernier mot de la la définition de 2007, il a toujours été mal aimé - peut-être à cause des traductions insatisfaisantes. Il y a eu plus de moqueries que d'études sensées sur le plaisir. Améliorer les connaissances scientifiques ("études"), transmettre ces connaissances ("éducation"), sont considérés comme des tâches nobles. Mais le plaisir ?
C'est précisément cette notion de plaisir, de plaisir(s) de la visite d'un musée que nous avons l'intention d'explorer dans ce numéro d'ICOM Education. Afin de couvrir ce champ le plus largement possible, nous souhaitons recevoir des propositions d'articles qui éclairent les différents aspects du terme "plaisir" au musée et qui, rassemblés dans un tout dans la publication, brossent un tableau de ce qui fait de la visite un moment si agréable. une image de ce qui fait de la visite un moment merveilleux pour tant de publics différents.
Retrouvez la liste des sujets et l'appel complet
Si vous êtes intéressés à soumettre un article, vous pouvez contacter Stéphanie Wintzerith, swi@wintzerith.de
Les articles doivent être remis pour le 15 janvier 2022 au plus tard.
Habiller la pandémie
En 2020, la pandémie de la COVID-19 a contraint de fermer la plupart (si ce n’est la totalité) des musées du monde entier afin de répondre aux mesures sanitaires et de sécurité publique. Le comité international ICOM Costume conçut alors le projet d’une exposition virtuelle de masques afin de maintenir des liens entre les professionnels des musées et le public, et aussi d’encourager la collecte, l’interprétation et l’exposition d’objets relatifs à ce moment crucial de l’époque.
Des musées en Europe, Asie, Afrique, Amérique du Nord, et Océanie ont été invités à rejoindre cette initiative, emportée par le Royal Ontario Museum (Toronto, Canada), co-organisation pilote. Les masques sont devenus le symbole de la pandémie, représentant la résilience de l’humanité, la communauté, et l’unité pendant cette tragédie mondiale. Cette exposition virtuelle met en lumière l’importance des collections muséographiques comme sources d’inspiration qui embrassent les évènements actuels et célèbrent la mode contemporaine et le design.
Accessible gratuitement pour les visiteurs du monde entier, l’exposition présente des masques qui documentent les moments clefs de l’histoire contemporaine et saisissent le défi relevé mondialement contre le virus, ce qui résonnera pour les années à venir.
Découvrir l'exposition virtuelle
Le projet "Habiller la pandémie : Résilience, unité et communauté exprimés à travers un projet de collaboration internationale sur les masques Covid-19"
L’exposition virtuelle est financée par une bourse du fond ICOM Solidarité de l’appel à projet 2021, dans le cadre du projet d’ICOM Costume Clothing the Pandemic: Resiliency, Community & Unity Expressed Through an International Collaboration of the COVID-19 Facemask Project/Habiller la pandémie : Résilience, unité et communauté exprimés à travers un projet de collaboration internationale sur les masques Covid-19. D’autres volets du projet ont mis en œuvre des ateliers en ligne Documenting the Material Culture of the Pandemic: Strategies and Challenges/Documenter la culture matérielle de la pandémie : défis et stratégies, et une conférence internationale ayant pour résultat un ensemble de données accessibles en ligne pouvant permettre à d’autres de constituer leurs propres collections, et de procurer des ressources pédagogiques pour les éducateurs afin de parler de la pandémie à travers ces collections internationales.
Les principaux dossiers ICOM de 2021
CONSULTATIONS SUR LA DÉFINITION DU MUSEÉ ET LE CODE DE DÉONTOLOGIE
Après le grand succès du webinaire ICOM Define du 10 décembre 2020, le Comité permanent pour la définition des musées est heureux d’annoncer le début de la troisième étape de la méthodologie : Consultation 2, une phase qui se déroulera entre le 11 janvier et le 20 avril 2021.
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JOURNÉE INTERNATIONALE DES MUSÉES 2021 – “L’AVENIR DES MUSÉES : SE RÉTABLIR ET SE RÉINVENTER”
La crise du COVID-19 a balayé le monde entier de manière abrupte, affectant tous les aspects de nos vies, des interactions avec nos proches à la façon dont nous percevons nos foyers et nos villes, en passant par notre travail et son organisation. Certains problèmes déjà pressants ont été exacerbés, remettant en cause la structure même de nos sociétés : l’appel à l’égalité est plus fort que jamais.
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SYMPOSIUM INTERNATIONAL ICOM PRAGUE 2021
Le Symposium international ICOM Prague 2021 a donné un aperçu de la prochaine conférence générale de l’ICOM Prague 2022, des axes du programme scientifique à la nouvelle infrastructure hybride.
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ICOM MOOC : CRÉER DES PRATIQUES MUSÉALES SIGNIFICATIVES ET INCLUSIVES
Le 29 novembre, le premier MOOC de l’ICOM a été lancé. Le cours “Creating Meaningful and Inclusive Museum Practices” encourage les professionnels des musées à explorer une série de méthodologies et de stratégies pour l’inclusion sociale et la construction de communautés qui peuvent être mises en œuvre pour soutenir une participation culturelle plus large.
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MUSÉES, PROFESSIONNELS DES MUSÉES ET COVID-19 : L’ICOM ET L’UNESCO PUBLIENT LEURS RAPPORTS COMPLETS
Afin de recueillir des informations sur la façon dont l’épidémie actuelle de COVID-19 affecte et affectera le secteur culturel à court et à long terme, l’ICOM a lancé une enquête mondiale pour analyser l’impact des lockdowns. L’enquête couvrait 5 thèmes : la situation actuelle pour les musées et le personnel, l’impact économique prévu, le numérique et la communication, la sécurité des musées et la conservation des collections, les professionnels indépendants des musées.
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LES MUSÉES ET COVID-19 : 8 ÉTAPES POUR SOUTENIR LA RÉSILIENCE DES COMMUNAUTÉS
Les secteurs culturels et créatifs sont parmi les plus touchés par la crise actuelle du coronavirus (COVID-19), et les musées ne font pas exception. Nous reconnaissons les nombreux défis auxquels sont confrontés les musées et les professionnels des musées pendant cette période et nous demandons instamment aux responsables politiques et aux décideurs d’allouer rapidement des fonds de secours pour assurer la durabilité des musées.
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GESTION DE LA DURABILITÉ DANS LES MUSÉES : UNE NOUVELLE APPROCHE POUR LA MISE EN ŒUVRE DES OBJECTIFS DE DÉVELOPPEMENT DURABLE
Lors de la conférence générale de l’ICOM à Kyoto en 2019, l’assemblée générale a adopté la résolution ” Transformer notre monde : Le programme 2030 pour le développement durable’. Avec cette décision historique, l’ICOM a engagé l’ensemble de la communauté à mettre en œuvre les objectifs de l’Agenda 2030. Mais comment traduire ces objectifs mondiaux au niveau institutionnel ?
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DÉCLARATION CONCERNANT LA SITUATION DU PATRIMOINE CULTUREL EN AFGHANISTAN
L’ICOM – ainsi que la communauté internationale – a suivi avec inquiétude les événements qui se sont déroulés en Afghanistan. Nous avons été particulièrement alarmés par les menaces qui pèsent sur la population civile, ainsi que sur les hommes et les femmes d’Afghanistan qui consacrent leur vie à protéger le patrimoine culturel riche et diversifié de cette nation historique.
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LA NOUVELLE LISTE ROUGE DE L’ICOM SE CONCENTRE SUR LES OBJETS D’EUROPE DU SUD-EST
En se concentrant sur 10 pays d’Europe du Sud-Est, l’ICOM a travaillé avec des experts et des coordinateurs de toute la région pour créer une Liste rouge qui comprend 119 objets provenant de 45 musées d’Albanie, de Bosnie-Herzégovine, de Bulgarie, de Croatie, du Monténégro, de Macédoine du Nord, de la République de Moldavie, de Roumanie, de Serbie et de Slovénie.
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COMMENT ATTEINDRE – ET ENGAGER – VOTRE PUBLIC À DISTANCE ?
Bien que cet isolement forcé limite les possibilités pour les musées d’atteindre leur public, plusieurs institutions dans le monde font preuve d’une grande créativité et d’une grande résilience en exploitant le pouvoir des médias sociaux. Nous avons préparé une courte liste d’études de cas et de bonnes pratiques en matière de sensibilisation numérique qui peuvent inspirer les musées face à cette situation. Voici ce que vous pouvez faire pour atteindre – et engager – votre public à distance.
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Autochtonisation des pratiques muséales
Ce webinaire a porté sur la décolonisation des expositions muséales, des métadonnées (archives), des collections et des techniques de conservation (entretien et manipulation) des trésors culturels.
Sean Young, conservateur/curateur des collections et du laboratoire d’archéologie de Saahlinda Naay “Saving Things House” (Haida Gwaii Museum) à Kay Llnagaay, Canada, effectue une visite virtuelle du musée, tout en se concentrant sur ses approches décolonisatrices, pour offrir des expériences de la culture Haida Gwaii par ceux qui la connaissent le mieux.
Intervenant :
Sean Young s’appelle Gid yahk’ii. Il est un fier membre de la nation haïda. Il fait partie du clan du Corbeau Gaag’yals KiiGwaay de K’uuna Llnagaay (Skedans). Il est actuellement le conservateur/curateur des collections et du laboratoire d’archéologie de Saahlinda Naay ” Saving Things House ” (musée Haida Gwaii) à Kay Llnagaay. Il est également archéologue de terrain instruit et formé et travaille dans ce domaine depuis 1995. Il est instructeur et conférencier invité pour le semestre d’études sur les ressources naturelles et la conservation marine de l’Institut Haida Gwaii depuis trois ans. Il travaille également pour le programme Haida Gwaii Watchmen depuis 2004 en tant qu’ambassadeur culturel et gardien vivant chaque été dans d’anciens villages et sites culturels haïdas situés dans la réserve de parc national Gwaii Haanas, site du patrimoine haïda.
Bibliothèque en ligne
Fruit du travail de plusieurs générations de documentalistes depuis 1948, mais longtemps réservée à elles seules, la base de données Bibliothèque est désormais directement consultable par tous, dans son intégralité, dans les trois langues officielles de l’ICOM.
On y trouve en premier lieu toutes les publications de l’ICOM et de son réseau de comités internationaux, comités nationaux, alliances régionales et organismes associés depuis leur création, mais aussi de très nombreuses références d’ouvrages, revues, articles, guides et manuels, répertoires, actes de conférences, études et rapports, dans les domaines qui intéressent l’ICOM comme la protection du patrimoine en danger, la lutte contre le trafic illicite de biens culturels, le rôle social des musées, l’éducation ou la déontologie.

Base de données de la bibliothèque
PETITE HISTOIRE DE LA BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE DE L’ICOM
1948 : Yvonne Oddon crée le Centre de documentation muséologique UNESCO-ICOM
1981 : La première base données bibliographique informatisée de l’ICOM voit le jour. Partagée avec l’ICOMOS jusqu’en 1999, elle est hébergée par l’UNESCO. En 1989, les 27400 fiches cartonnées qui constituaient le catalogue bibliographique manuel antérieur sont converties en notices électroniques et intégrées dans la base.
1994-1995 : L’ICOM confie en dépôt une grande partie de sa collection de livres et revues de muséologie et sa collection de catalogues de musées et d’expositions à la Direction des Musées de France et à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris.
Dans l’actuelle Bibliothèque en ligne, les notices des documents concernés portent la mention Localisation : DMF (Dépôt ICOM) ou Localisation : ENSBA – Dépôt ICOM.
Les documents confiés à la DMF sont également référencés dans la base de données Capadoce, consultable via le Moteur Collections des Musées de France
2010 : la refonte du site internet de l’ICOM est l’occasion de la création, sous la rubrique Ressources, d’une Base de données des publications qui permet de consulter les notices bibliographiques d’une sélection d’ouvrages, revues, articles et documents divers publiés par l’ICOM et son réseau. Les deux bases ne sont pas interconnectées.
2021 : Une nouvelle plateforme documentaire est créée pour permettre l’accès en ligne à l’ensemble des ressources documentaires de l’ICOM : les publications de l’ICOM et de son réseau, les collections de la bibliothèque, les fonds d’archives.
Les bases « Archives » et « Images », dédiées aux archives écrites et multimedia (photographies, affiches et vidéos) sont réservées aux adhérents et consultables via l’espace membre.
QUELQUES CONSEILS POUR LA RECHERCHE
La langue du portail est celle que vous avez choisie pour votre navigateur si vous êtes anglophone, francophone ou hispanophone, et l’anglais par défaut pour les autres. Vous ne trouverez pas de bouton pour naviguer d’une langue à l’autre, mais il est possible de modifier ce critère en passant par les paramètres du navigateur.
Deux types de recherche sont possibles :
La recherche libre : chaque page du portail propose dans sa partie supérieure une ligne permettant d’interroger tous les champs de la base à la fois avec vos propres mots. Dans le cas où l’interrogation porte sur plusieurs mots à la fois, ce sont les notices comportant tous les mots demandés qui sortiront (opérateur booléen ET).
La recherche avancée : plus précise, elle offre un grand choix de critères que l’on peut croiser entre eux : Titres, auteurs, mots-clés, année d’édition, type et nature de document, langue du texte ou du résumé…
Plusieurs outils sont à disposition pour optimiser la recherche et en conserver les résultats.
Lexiques : chacun des champs de la recherche avancée est doté d’une icône permettant d’accéder au lexique correspondant
Si l’on choisit de saisir directement un mot au choix, en recherche libre ou sans utiliser le lexique proposé dans les lignes des champs de la recherche avancée, il est possible d’utiliser la troncature * au début et/ou à la fin de ce mot pour élargir la recherche.
Ex : en zone de titre, le mot « concept » donne 53 résultats. Le mot concept* donne 137 résultats, car il inclut concepts, conception, concepteur…
Panier : Chaque notice peut être enregistrée dans un panier pour constituer une bibliographie sélective à partir des résultats obtenus.
Tri : La liste des résultats peut être triée au choix par
– date de saisie de la notice dans la base (de la plus récente à la plus ancienne)
– date de publication du document (du plus récent au plus ancien)
– Auteur collectif (organisme, institution ou musée auteur du texte)
– Type de document (livre ou monographie, chapitre de livre, périodique, article de périodique, document, site internet)
Filtrage : Pour affiner les résultats d’une recherche, un filtrage – réversible – peut être appliqué pour en réduire la liste, selon 5 critères au choix :
– par mot-clés
– par pays ou zone géographique
– par type de document
– par nature de document :
– par localisation du document : document source consultable à l’ICOM, version numérique disponible en ligne, dépôt à la DMF ou à l’ENSBA
Attention ! Dans les cas où une recherche à la portée un peu trop large produit un nombre de résultats supérieur à 1000 références, la page affichera « 1000 résultats pour votre sélection » quel que soit le nombre réel de notices répondant aux critères de recherche. Une recherche plus précise, par croisement d’au moins 2 critères par exemple, est alors recommandée.
Pour plus d'informations contacter la documentaliste à l'adresse mail suivante : agnes.roche@icom.museum
Vœux du président de l'ICOM, Alberto Garlandini