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Peut-on parler d'une Europe des musées?

Carte de l'Europe
Sous-titre
Captations et podcasts
Contenu

Programme

Ouvertures

  • Charles Personnaz, directeur de l’Institut national du patrimoine
  • Juliette Raoul-Duval, présidente d’ICOM France
  • Terry Nyambe, vice-président d'ICOM international

Intervenants

  • Pauline Chassaing, responsable des relations internationales de l’Institut national du patrimoine;

  • Pierre Chotard, responsable des expositions du Château-musée d'histoire de Nantes

  • Audrey Doyen, docteure en muséologie, chercheuse associée au CERLIS - Université de Paris

  • Vincent Droguet, sous-directeur des collections, service des musées de France, Direction générale des patrimoines, ministère de la Culture

  • Bruno Maquart, président d'ECSITE (réseau européen des musées et centres de sciences) et président d'Universcience

  • Mikael Mohamed, responsable des relations internationales du Mucem - Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée

  • Pia Müller-Tamm, directrice de la Kunsthalle de Karlsruhe

  • Luís Raposo, président d'ICOM Europe;

  • David Vuillaume, président de NEMO (réseau des organisations muséales européennes) et directeur général de l'association allemande des musées

Rencontre animée par Alexandre Chevalier, président d'ICOM Belgique et Juliette Raoul-Duval et conclue par Christian Hottin, directeur des études, département des conservateurs de l'Institut national du patrimoine. 

Captations vidéos en français - Première partie

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Podcast en espagnol

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Accroche
Retrouvez les enregistrements du débat du 9 décembre 2021
Ordre
2
Archivé
Non

Peut-on parler d'une Europe des musées ?

Carte de l'Europe

Propos de la soirée

À quelques semaines de la présidence française de l’Union européenne, nous avons choisi d’inviter les professionnels de musées à débattre ensemble de ce que signifie aujourd’hui, pour un musée, « être européen ».

Ouvrir cette question, c’est s’interroger sur les valeurs que nous avons en commun - ou désirons partager - au sein d’une région du monde aussi variée sur le plan culturel, politique, économique…  La période se prête à cette réflexion pour les membres de l’ICOM, car notre organisation est traversée par des questionnements sur son identité – qu’est-ce qu’un musée, quels termes peuvent le définir de manière recevable et pertinente en tout point de la planète, en englobant tous ses domaines, de l’art à la science ? Cette aspiration à nommer - ou plutôt à renommer - est légitime tant les musées se sont multipliés et diversifiés en vingt ans ; et les crises de ces vingt derniers mois mettent déjà chacun en situation de penser ce que sera l’après : nous sommes conscients, à ICOM, que l’enjeu de se définir est celui de notre unité-même.

Le « modèle » des musées européens, dans ce contexte, est particulièrement interrogé. L’Europe se perçoit comme le berceau des musées – Krzysztof Pomian le fait naître à Rome au début du XVème siècle, d’autres rappellent que museion est le nom du temple dédié aux muses, bâti il y a plus de 2000 ans sur la colline de l’Helicon à Athènes – et notre propre organisation, créée il y a juste 75 ans conjointement par les Etats-Unis et la France, est aujourd’hui composée à 84 % de membres européens. Ce ratio impressionnant invite cependant à la prudence, car l’image des « musées européens » au sein du monde muséal n’est pas aussi consensuelle que nous le voudrions. Tout le secteur de la culture est bousculé par des questionnements sur ses fondements-mêmes et sur ses ressorts, celui des musées l’est notamment par les incitations pressantes à clarifier la provenance de ses collections. Les sociologues Vincenzo Cicchelli et Sylvie Octobre nous avertissent : « le monde culturel risque la marginalisation s’il se contente de brandir l’étendard de l’universalisme sans tenir compte des nouvelles préoccupations des jeunes »*. La place des communautés, l’appel à la décolonisation … s’imposent désormais dans toute vision prospective.

Les musées européens ont, dans leur ensemble, traversé la crise sanitaire avec plus de résistance qu’ailleurs. Leurs gouvernements ont pris des mesures protectrices, le « quoiqu’il en coûte » français et le plan de relance européen en sont deux exemples. Aujourd’hui, nombre de musées peuvent rouvrir et reprendre leur activité, alors que dans d’autres régions du monde, le manque de recettes et les départs de personnels entrainent des fermetures durables : en Amérique du Nord, ce sont 13 % des musées qui ne rouvriront pas. En outre, les professionnels européens ont rapidement adopté les innovations numériques émergentes. Sur le continent africain ou dans les petits états insulaires, le numérique est accessible à 5% de la population, rappelle souvent la directrice générale de l’UNESCO… 

Face à ces fractures, l’ICOM a mis en place un dispositif de solidarité et ICOM France a co-engagé un cycle de dialogue avec des partenaires d’Europe du Nord et du Sud. Nous le mesurons, le caractère d’organisation professionnelle de l’ICOM a prouvé ici tout sa pertinence. Ce qui lie ses membres, c’est l’aspiration à exercer un métier, leur métier, quelle que soit leur place dans leur organisation, la place de leur organisation dans le monde, le domaine muséal concerné. Ce lien, celui de la compétence et de la volonté d’exercer, c’est ce que reprend le Code de déontologie adopté par les 50 000 adhérents des 135 pays membres. De professionnalisme, les musées en Europe sont largement pourvus, du fait de systèmes de formations et de qualification de haut niveau, d’une place de la recherche en leur cœur et de l’excellence des pratiques de conservation et de restauration. Le débat de décembre, au sein et avec l’Inp, vise à le cerner et à renforcer les comparaisons internationales. Au sein de l’Europe, l’enjeu de mobilité est central ; à l’international, il s’agit de solidarité et de partage : les musées européens, leurs organismes de formation et associations professionnelles ont une force de mobilisation de plus en plus réactive lors par exemple d’événements climatiques, de conflits ou d’accidents.

Penser possible une « Europe des musées » est peut-être audacieux. Pourtant, après ces mois de crise sanitaire et un été d’incendies et d’inondations, la culture apparaît comme centrale pour réparer, reconstruire et redonner sens à la vie collective.  « Les musées sont parmi les lieux les plus crédibles », a affirmé le président de l’ICOM en juillet, lors de la réunion des ministres de la Culture préparatoire au G 20 et ses propos ont été retenus dans la déclaration finale. Ce message est encourageant, il est surtout un appel à notre sens des responsabilités. Oui, les musées sont crédibles. Cette confiance oblige les professionnels de musée à l’exemplarité et à la créativité en matière de pédagogie pour sensibiliser et former les citoyens aux enjeux du développement durable.

Le débat sur « l’Europe des musées » s’inscrit ainsi dans une double actualité pour les membres d’ICOM France et pour l’Inp :

  • D’une part, appréhender ensemble les enjeux européens,
  • D’autre part, se saisir de ce « moment politique » pour exprimer nos attentes en la matière aux dirigeants européens. 

* Une jeunesse crispée : le vivre ensemble face aux crises globales, ed. l’Harmattan, cité par Michel Guerrin dans le Monde, 6 novembre "le monde culturel au défi de la jeunesse".

Programme

Ouvertures

  • Charles Personnaz, directeur de l’Institut national du patrimoine
  • Juliette Raoul-Duval, présidente d’ICOM France
  • Terry Nyambe, vice-président d'ICOM international

Intervenants

  • Pauline Chassaing, responsable des relations internationales de l’Institut national du patrimoine;

  • Pierre Chotard, responsable des expositions du Château-musée d'histoire de Nantes

  • Audrey Doyen, docteure en muséologie, chercheuse associée au CERLIS - Université de Paris

  • Vincent Droguet, sous-directeur des collections, service des musées de France, Direction générale des patrimoines, ministère de la Culture

  • Bruno Maquart, président d'ECSITE (réseau européen des musées et centres de sciences) et président d'Universcience

  • Mikael Mohamed, responsable des relations internationales du Mucem - Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée

  • Pia Müller-Tamm, directrice de la Kunsthalle de Karlsruhe

  • Luís Raposo, président d'ICOM Europe;

  • David Vuillaume, président de NEMO (réseau des organisations muséales européennes) et directeur général de l'association allemande des musées

La rencontre sera animée par Alexandre Chevalier, président d'ICOM Belgique et Juliette Raoul-Duval.
Elle sera conclue par Christian Hottin, directeur des études, département des conservateurs de l'Institut national du patrimoine. 

Captation en français - Première partie

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Captation en anglais - Deuxième partie

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Podcast en anglais

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Podcast en espagnol

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Type de document
Captations
Date du document
jeu 16/12/2021 - 12:00
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Captations de la soirée-débat déontologie du 9 décembre 2021

L’entretien des salles d’exposition et le dépoussiérage des collections exposées

Sous-titre
pratiques et précautions
Contenu

Une œuvre exposée au public est aussi une œuvre exposée à la poussière, qu’elle soit conservée à l’air libre ou sous vitrine. Cette dernière est véhiculée par l’air ambiant et le public, provenant tant de l’extérieur que de l’intérieur du bâtiment. Si l’entretien des salles permet de limiter la circulation de la poussière, il peut également devenir agent de dégradation si les pratiques ou les produits utilisés ne sont pas adéquats. Comment concilier l’entretien des salles et la conservation des collections au quotidien ? C’est à cette question que se proposent de répondre les trois jours de cette formation qui mêlera théorie et pratique avec l’objectif de transmettre aux participants les bons gestes pour lutter contre l’empoussièrement sans mettre en péril les collections. Choix des produits d’entretien, bonne manière de les utiliser, dépoussiérage des pièces de la collection qui le permettent - autant de sujets pratiques pour améliorer la gestion des collections exposées.

 

Coordonnatrice : Florence Bertin, responsable du département des collections, musée des Arts décoratifs, Paris

Public concerné : régisseurs des collections, responsables de collections, attachés de conservation, assistants de conservation, adjoints du patrimoine, chargés de conservation préventive, agents techniques, agents d’entretien, personnels de l’Etat, des collectivités territoriales et du secteur privé.

Inscriptions

Prix : 690 euros (voir les conditions d’inscription) - Nombre de places : 15

Télécharger le bulletin d’inscription (PDF)

Bulletin d’inscription à envoyer à Nathalie Moulin (formation.permanente.conservateurs@inp.fr) – Institut national du patrimoine – 2 rue Vivienne, 75002 Paris. Renseignements au 01 44 41 16 14

Plus d'informations

Type d'événement
Formation
Type de partenaire
Partenaires
Lieu
Paris
Organisateur
INP
Date de début de l'événement
lun 28/02/2022 - 12:00
Date de fin de l'événement
mer 02/03/2022 - 12:00
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Off
Accroche
Formation continue de l'INP, 28 février et 1-2 mars 2022

Prix Michel Laclotte

Contenu

La Fondation pour l’Art et la Recherche, a créé en octobre 2021 le prix Michel Laclotte pour une période de cinq ans (2022-2026) et l’a placé sous l’égide du Comité français d’histoire de l’art (CFHA).

 Le prix Michel Laclotte a pour ambition d’encourager les jeunes conservateurs et attachés de conservation dans leurs travaux.

Il est décerné tous les ans.

Les modalités du prix

Le Prix Michel Laclotte est destiné aux conservateurs du patrimoine et aux attachés de conservation rattachés à des établissements français.

Il récompense une première réalisation qui s’inscrit dans les domaines de recherches et d’activités de Michel Laclotte (1929-2021) :

  • La peinture en France et en Italie de la fin du XIIIe au début du XVIe siècle, ainsi que la peinture en France au XVIIe siècle et en Europe au XIXe siècle ;
  • Les collections et les collectionneurs ;
  • Les rapports entre les arts des périodes passées et les arts des XXe et XXIe siècles ;
  • La muséologie : histoire des collections, des musées, de leur architecture, des expositions ;
  • Les activités des musées : études des fonds, présentation, publication (papier ou en ligne), liens avec le public…
  • La restauration des œuvres, y compris l’histoire de la restauration.

Cette réalisation peut prendre la forme d’une recherche d’une certaine ampleur (publiée ou non), d’un travail muséographique ou de valorisation patrimoniale, par exemple : nouvelle présentation, exposition, action en faveur du public, site internet, littérature grise…

Le prix récompense une réalisation achevée dans les cinq années précédant l’année du prix. Un candidat ne peut se présenter plus de deux fois.

Deux prix de 2 500 € sont attribués chaque année pour la période 2022-2026.

Une attention particulière sera accordée aux candidates et aux candidats en poste en province.

Candidature

Le dossier est constitué de :

  • Une lettre expliquant les liens entre la candidature et les domaines de recherche et d’activité de Michel Laclotte;
  • Un dossier développant le contenu de la réalisation (15 pages maximum, avec des illustrations) ou, le cas échéant, la publication;
  • Un bref CV du candidat ou des candidats (3 pages en tout maximum).

Le dossier sera enregistré en un seul document sous format PDF d’une taille inférieure à 10 Mo avec comme désignation « Nom_prix_M_Laclotte ».

Nous vous prions de bien vouloir adresser ce dossier sous format numérique à l’adresse suivante secretariat.cfha@gmail.com (avec copie à presidencecfha@gmail.com) avec comme objet du message : Prix Michel Laclotte.

Si l’objet principal du dossier est une publication imprimée, prière d’en envoyer un exemplaire à

Comité français d’histoire de l’art
Prix Michel Laclotte
Institut national d’histoire de l’art
2, rue Vivienne
75 002 Paris

Cet envoi ne sera pas retourné.

Le jury

Le jury est constitué de sept membres qui ont chacun une voix :

  • la Fondation pour l’Art et la Recherche, membre de droit

Et six membres nommés par le conseil exécutif du CFHA :

  • Olivier Bonfait, président du CFHA, professeur à l’université de Bourgogne et à l’École du Louvre
  • Jean-Pierre Cuzin, ancien conservateur général du patrimoine et directeur du département des Peintures du musée du Louvre
  • Ariane Dor, conservatrice des Monuments Historiques à la Direction régionale des affaires culturelles d’Occitanie,
  • Sylvie Ramond, conservatrice en chef du patrimoine, directrice du musée des beaux-arts de Lyon et du pôle des musées d’art de Lyon,
  • Neville Rowley, conservateur à la Gemäldegalerie et au Bode-Museum de Berlin,
  • Dominique Thiebaut, conservatrice générale honoraire au département des Peintures du musée du Louvre.

Jean-Pierre Cuzin et Olivier Bonfait sont coprésidents du jury.

Calendrier

Pour le prix 2022, les dossiers sont à envoyer avant le 15 février 2022. Les lauréats seront choisis avant la fin du mois de mars 2022.

Règlement du prix Michel Laclotte

Le règlement de ce prix a été établi par un groupe de réflexion composé de personnes proches de Michel Laclotte et de membres du bureau du CFHA : Sébastien Allard, Olivier Bonfait, Jean-Pierre Cuzin, Judith Kagan, Sylvie Ramond, Nathalie Volle.

Il a été validé par le comité exécutif de la Fondation pour l’Art et la Recherche et par le conseil exécutif du CFHA.

La Fondation pour l’art et la recherche et le CFHA se réservent tous les droits sur l’attribution du prix et sur la publicité accordée à ce prix.

Plus d'informations

Type d'événement
Financements / Bourses
Type de partenaire
Partenaires
Lieu
Paris
Organisateur
CFHA
Date de début de l'événement
jeu 16/12/2021 - 12:00
Date de fin de l'événement
mar 15/02/2022 - 12:00
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Prix Michel Laclotte 2022-2026

Inventaire et récolement dans les musées

Contenu

Cette formation en ligne a pour objectif de vous permettre d’acquérir les bases essentielles de l’inventaire et du récolement des collections, à partir de l’expertise des musées de France dans ce domaine, afin de mieux maîtriser leur mise en œuvre et d’optimiser vos pratiques professionnelles.

Ce parcours de formation est personnalisé et adapté aux spécificités de votre collection, aux questionnements et aux cas que vous rencontrez quotidiennement. Alternant théorie et pratique, votre parcours de formation individualisé s’appuie sur des cas concrets et sur un échange continu avec vos tuteurs pédagogiques experts de l’inventaire et du récolement au ministère de la culture. 

A l’issue de la formation, vous serez capable de :

  • connaître pleinement le cadre juridique et les axes fondamentaux de l’inventaire et du récolement afin de mieux maîtriser leur mise en œuvre,
  • développer des réflexes afin de mieux gérer les chantiers de collections du point de vue du récolement,
  • maîtriser les modalités du dialogue avec l’Etat,
  • appréhender les évolutions récemment intervenues à partir d’exemples concrets et d’études de cas,
  • avoir les bons réflexes dans la gestion informatisée du récolement, qu’il s’agisse de mettre en place des procédures ou de sécuriser l’existant.

Ressources et méthodes pédagogiques :

Chaque apprenant dispose d’un accès individualisé à la plateforme pédagogique sur le site plateforme-pedagogique.inp.fr spécialement conçue pour le e-learning.

Le parcours de formation comprend :

  • plusieurs séquences pédagogiques (cours-vidéos de 20 minutes, textes, liens) organisées sur cinq semaines et regroupées en différents modules de formation à l’intérieur de chaque semaine ;
  • des activités pédagogiques pour tester vos connaissances, de type QCM, contextuelles aux notions abordées semaine après semaine ;
  • trois devoirs corrigés individuellement vous permettant dans un premier temps d’exposer l’état des inventaires dans votre établissement, dans un deuxième temps de mettre en regard les connaissances théoriques acquises et votre pratique professionnelle pour réfléchir aux étapes de la mise en place d’un plan de récolement de vos collections et, dans un troisième temps, d’étudier l’opportunité et la faisabilité d’ un projet d’informatisation réglementaire des collections dans votre établissement ;
  • un forum de discussion pour échanger avec les autres apprenants et les tuteurs pédagogiques autour des questions que vous rencontrez et des problématiques métiers.

A l’issue de la formation, l’INP transmet une attestation de suivi de la formation.

 

Coordonnateur : Institut national du patrimoine

Intervenant(s) : François Augereau, adjoint au chef du bureau de l'inventaire des collections et de la circulation des biens culturels, sous-direction des collections, service des musées de France, direction générale des patrimoines et de l’architecture, ministère de la culture ; Philippe Saunier, conservateur en chef du patrimoine, chef du bureau de l'inventaire des collections et de la circulation des biens culturels, sous-direction des collections, service des musées de France, direction générale des patrimoines et de l’architecture, ministère de la culture ; Carine Prunet, adjointe au chef du bureau de la diffusion numérique des collections, service des musées de France, bureau de la diffusion numérique des collections ; Muriel Barbier, conservateur du patrimoine, Mobilier national, au titre de son ancien poste au Musée national de la Renaissance - château d'Ecouen ; Lola Fournier, adjointe à la directrice des collections, Musée Yves Saint Laurent Paris ; Laurence Isnard, cheffe du bureau des acquisitions, de la restauration, de la conservation préventive et de la recherche à la sous-direction des collections de la direction générale des patrimoines et de l’architecture, service des musées de France ; Véronique Milande, responsable de la COARC (Conservation des Œuvres d'Art Religieuses et Civiles) de la Ville de Paris 

Tuteurs pédagogiques : 

  • François Augereau, adjoint au chef du bureau de l'inventaire des collections et de la circulation des biens culturels, sous-direction des collections, service des musées de France, direction générale des patrimoines et de l’architecture, ministère de la culture ;
  • Philippe Saunier, conservateur en chef du patrimoine, chef du bureau de l'inventaire des collections et de la circulation des biens culturels, sous-direction des collections, service des musées de France, direction générale des patrimoines et de l’architecture, ministère de la culture ;
  • Carine Prunet, adjointe au chef du bureau de la diffusion numérique des collections, service des musées de France, bureau de la diffusion numérique des collections

Public concerné : cette formation s’adresse à toute personne désireuse de comprendre les fondements juridiques de l’inventaire et du récolement et de savoir mettre en œuvre un récolement respectant les directives juridiques dans un cadre professionnel. Il est ouvert à tous sans prérequis.

Inscriptions

Prix : 450 euros (voir les conditions d’inscription). Le régime d’exonération en vigueur pour les formations inscrites au catalogue de formation de l’Institut national du patrimoine ne sera pas appliqué pour cette formation spécifique (voir les conditions d’inscription)

Nombre de places : 30

Télécharger le bulletin d’inscription (PDF)

Bulletin d’inscription à envoyer à Sandrine Erard (formation.permanente.conservateurs@inp.fr) – Institut national du patrimoine – 2 rue Vivienne, 75002 Paris. Renseignements au 01 44 41 16 51

Plus d'informations

Type d'événement
Formation
Type de partenaire
Partenaires
Lieu
Distanciel
Organisateur
INP
Date de début de l'événement
lun 07/03/2022 - 12:00
Date de fin de l'événement
ven 08/04/2022 - 12:00
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Formation continue de l'INP, 7 mars - 8 avril

Principes de base pour une chimie appliquée en conservation- restauration

Contenu

Au cours du XXème siècle, les sciences naturelles ont acquis un rôle majeur dans la professionnalisation du métier de restaurateur intervenant sur le patrimoine culturel. En effet, les paradigmes et méthodologies propres à la physique, la chimie et la biologie permettent de comprendre la matière constitutive des objets à conserver/restaurer ainsi que ses transformations. Les objets étudiés par le biais de cette approche scientifique deviennent des « objets documents » capables de livrer des informations indispensables aux restaurateurs ainsi qu’aux professions pour lesquelles les objets culturels sont au centre de leurs études (archéologues, historiens de l’art, anthropologues, etc.). 

Actuellement, être capable d’étudier la dimension matérielle d’une œuvre, établir un diagnostic correct ainsi que proposer et exécuter les traitements de restauration les plus adaptés, sont des compétences attendues de tout restaurateur d’œuvre d’art professionnel. Néanmoins, celles-ci dépendent toutes, de façon très particulière, de connaissances chimiques spécifiques, complexes et variées.

La formation aura pour objectif de revoir des principes fondamentaux de chimie permettant aux restaurateurs de comprendre les interactions intermoléculaires qui agissent au sein de la matière. Elles sont responsables en grande partie des propriétés physicochimiques des matériaux. De ce fait, les définir, les reconnaître et appréhender leur impact permettra aux restaurateurs de mieux comprendre les mécanismes sous-jacents à certaines interventions de restauration (par exemple nettoyage avec solvants) ainsi que de prédire leur issue.

 

Intervenant : Dr. Francisco Mederos-Henry, chimiste et restaurateur, professeur de sciences appliquées à l'ENSAV La Cambre et chercheur aux laboratoires de l'Institut Royal du Patrimoine Artistique (IRPA), Belgique

Coordonnatrice : Nathalie Palmade-Le Dantec, restauratrice, consultante en conservation préventive, adjointe au directeur des études du département des restaurateurs, chargée de la formation continue, Inp

Public concerné : professionnels de la conservation-restauration du patrimoine

Inscriptions

Prix : 690 euros (voir les conditions d’inscription) - Nombre de places : 20

Télécharger le bulletin d’inscription (PDF)

Bulletin d’inscription à envoyer à Laetitia Létendard (formation.permanente.restaurateurs@inp.fr) - Institut national du patrimoine département des restaurateurs – 124, rue Henri Barbusse 93300 Aubervilliers. Renseignements au 01 49 46 57 04

 

Plus d'informations

Type d'événement
Formation
Type de partenaire
Partenaires
Lieu
INP
Organisateur
INP
Date de début de l'événement
mer 09/03/2022 - 12:00
Date de fin de l'événement
ven 11/03/2022 - 12:00
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Formation continue de l'INP, 9-11 mars 2022

La conservation préventive : principes fondamentaux

Contenu

La conservation préventive est un plan concerté d’actions destinées à ralentir la vitesse de détérioration et à réduire les risques pour les collections. 

Ces deux journées ont pour objectif de poser les principes fondamentaux de la conservation préventive et de donner aux participants les connaissances de base pour entamer une réflexion et une sensibilisation nécessaires à l’ensemble des équipes patrimoniales. Seront exposés tout d’abord les principaux facteurs d’altération pour les collections, comme les effets d’une humidité relative inadaptée, ceux de la lumière sur les collections sensibles, les insectes et les moisissures… puis les modes et méthodes pour s’en protéger et améliorer les conditions de conservation. 

La dernière demi-journée de travaux pratiques permettra de mettre en œuvre les parties théoriques.

 

Intervenantes : Patricia Leclerc, restauratrice, consultante en conservation préventive ; Nathalie Palmade - Le Dantec, restauratrice, consultante en conservation préventive, adjointe au directeur des études du département des restaurateurs, chargée de la formation continue, INP

Coordonnatrice : Nathalie Palmade-Le Dantec, restauratrice, consultante en conservation préventive, adjointe au directeur des études du département des restaurateurs, chargée de la formation continue, Inp

Public concerné : professionnels de la conservation-restauration, professionnels du patrimoine d'Etat et des collectivités territoriales, restaurateurs

Inscriptions

Prix : 460 euros (voir les conditions d’inscription) - Nombre de places : 16

Télécharger le bulletin d’inscription (PDF)

Bulletin d’inscription à envoyer à Charles Brun (formation.permanente.restaurateurs@inp.fr) Institut national du patrimoine département des restaurateurs – 124, rue Henri Barbusse 93300 Aubervilliers. Renseignements au 01 49 46 57 92

 

Plus d'informations

Type d'événement
Formation
Type de partenaire
Partenaires
Lieu
Paris
Organisateur
INP
Date de début de l'événement
lun 14/03/2022 - 12:00
Date de fin de l'événement
mar 15/03/2022 - 12:00
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Accroche
Formation continue de l'INP, 14-15 mars 2022

Participation des citoyens aux politiques du patrimoine

Contenu

La direction générale des patrimoines et de l’architecture organise les 18 janvier et 1er février prochains un colloque en deux temps sur le bénévolat et la participation de la société civile aux politiques patrimoniales.

Le patrimoine, sous toutes ses formes, n’est pas, en effet, l’exclusivité des pouvoirs publics et des experts ; il ne saurait exister sans l’apport des citoyens. A la suite du rapport sur ce sujet remis par l’Inspection des patrimoines au directeur général, le colloque approfondira les questions posées par le diagnostic. Il permettra de proposer collectivement des pistes d’évolution des pratiques.

Il se déroulera en deux temps :

  • une première journée, le mardi 18 janvier, en distanciel et sous formes d’ateliers destinés à travailler sur plusieurs thèmes, tels que « intérêt général/intérêt particulier », « formes et outils de la participation », « professionnalisation des métiers du patrimoine »... ;
  • une seconde journée, le mardi 1er février, sera hybride - en distanciel et en présentiel - au musée du Quai-Branly-Jacques-Chirac à Paris, ce sera une journée de restitution des ateliers suivie d’échanges.

Programme S'inscrire

Type d'événement
Rencontre
Type de partenaire
Partenaires
Lieu
En ligne / Musée du quai Branly-Jacques Chirac
Organisateur
Direction générale des patrimoines et de l'architecture
Date de début de l'événement
mar 18/01/2022 - 12:00
Date de fin de l'événement
mar 01/02/2022 - 12:00
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Programme Colloque Participation des citoyens
Accroche
Colloque // 18 janvier et 1er février 2022

Edito de décembre 2021

Musée du Louvre
Sous-titre
Une année charnière
Contenu
Photo de Juliette Raoul-Duval, présidente d'ICOM France

Chers membres d’ICOM France,
Chers collègues.

L’année 2021 s’achève.

Ces douze derniers mois auront été vraiment singuliers. La longue crise sanitaire, dont l’issue est encore éloignée, nous aura tour à tour obligés à fermer puis à rouvrir, à travailler à distance autant qu’en « présentiel », à inventer des nouvelles formes de liens avec les publics et entre professionnels… En début d’année, beaucoup prédisaient que le monde d’après serait frugal. Mais le nombre de musées qui ont vu le jour depuis janvier (le musée d’art moderne de Fontevraud et Narbo Via) , la quantité d’exposition temporaires inaugurées cet automne, les innovations toujours plus techniques voire immersives de certaines d’entre elles  … témoignent que les musées sont toujours autant - si ce n’est plus - mobilisés et structurés autour de projets d’envergure. Cela peut réjouir ou interroger. Réjouissant est l’appétit des publics, ceux-ci sont au rendez-vous, parfois même plus encore qu’avant : l’intense présence numérique aura, on peut le penser, suscité de nouveaux désirs. Déroutant serait l’oubli des bonnes résolutions, celles de tendre vers un modèle moins « productiviste », plus attentif à la valorisation du permanent et du durable.

A ICOM France, nous avons engagé avec vous un important chantier sur le développement durable : d’abord une enquête pour mieux saisir la place que cette préoccupation occupe dans vos établissements et repérer certaines actions phares, puis rassembler des volontaires pour construire des outils utiles à tous : guides, chartes, plateforme d’échange…

2021 a été l’année d’un dialogue régulier avec vous, autour notamment de nos débats sur plate-forme et de leurs publications, et de l’enrichissement continu de notre site internet. Certains d’entre vous nous en remercient et croyez que nous sommes sensibles à vos encouragements. Concrètement, en fin d’année, nous observons au rythme des adhésions et ré-adhésions que le lien s’est maintenu et même resserré : être membre d’ICOM France n’est pas seulement disposer d’une carte d’entrée au musée, c’est bien appartenir à un réseau où circulent amplement les idées, les projets, les compétences. Chiffrer cela n’a pas grand sens, mais prendre la mesure de nos connections est quand même intéressantes : 3416 connections en direct, 3338 vues des replays des rencontres organisées en 2021, 43000 consultations du site depuis 2021.

Au cours des mois écoulés, nous vous avons souvent consultés par questionnaire, à notre initiative propre ou pour contribuer activement à la démarche « participative » développée par ICOM International et qui se poursuivra dans les mois à venir : sur la définition des musées, le plan stratégique, la gouvernance, le code de déontologie...  votre avis compte.

L’ICOM fête en ce moment ses 75 ans. Notre organisation, créée avec 14 partenaires est aujourd’hui présente dans le monde entier, dans 134 pays et frôle les 50 000 membres. Quelle fierté nous pouvons légitimement ressentir à penser que sa création s’est passée à Paris, au Louvre ! Vous pouvez voir sur vos réseaux la vidéo qui retrace les grands moments de sa naissance et adresse un message de reconnaissance à ses illustres fondateurs. Il nous appartient de donner à l’ICOM les moyens de poursuivre son œuvre. Participer à la réflexion prospective et démontrer toujours davantage le rôle décisif que les musées jouent pour maintenir la cohésion sociale et la paix. Dans une période où l’avenir est si incertain, les musées sont «crédibles ». Ce qualificatif, prononcé par le président de l’ICOM international et retenu dans la déclaration des ministres de la culture du G20, est un message pour tous : l’activité que nous menons relie par la connaissance et l’émotion partagées les générations, les hommes et les femmes d’où qu’ils viennent, les « communautés » disent certains pour évoquer l’importance de se reconnaitre par la culture. Surtout, les musées crédibles ont une responsabilité pour éclairer sur les enjeux réels de l’avenir. Sans doute faudra-t-il encore du temps pour en construire le récit et l’exposer au musée.

L’année 2022 qui s’annonce est une année charnière pour l’ICOM. 

Année d’élection, comme il y en a tous les trois ans. En août, la conférence générale se tiendra à Prague et là, nous y voterons pour renouveler les instances : conseil d’administration, conseil consultatif.

Nous serons appelés à nous prononcer sur une nouvelle proposition de définition des musées.

Nous élirons aussi les boards de comités internationaux. Dès le premier trimestre, je vous invite à guetter les informations que nous diffuserons largement, car vous pouvez participer à ce processus et ce sera le moment de vous mobiliser, si vous avez envie d’être actif dans un comité international. C’est une très grande chance de pouvoir être relié avec des homologues dans tous les continents qui travaillent sur les mêmes champs thématiques. Nous incitons nos membres à adhérer et cela porte ses fruits puisque les membres français sont les plus nombreux à appartenir à des comités internationaux. J’ai adressé il y a quelques semaines un courrier aux dirigeants de nos institutions-membres pour les sensibiliser et faciliter votre participation éventuelle. Le choix d’un comité international nécessite parfois d’être éclairé, nous sommes à votre disposition pour cela, n’hésitez pas à nous contacter.

Revenons au comité national français de l’ICOM : 2022 sera aussi l’année de renouvellement d’une partie des membres du Conseil d’administration, l’élection aura lieu en septembre après la conférence générale de Prague. Vous recevrez toutes les informations sur ce site.

D’ici là, l’année sera riche en débats : nous avons ouvert celui de l’Europe sans attendre le passage du nouvel an, puisque la France prend la présidence de l’Union dans quelques jours. « Peut-on parler d’une Europe des musées » ? a suscité de riches échanges qui seront édités dans quelques semaines : vous pouvez déjà re-visionner la séance de décembre sur notre chaine Youtube. Dès le mois de février, nous aborderons en soirée-débat déontologie la question du « développement durable », puis nous parlerons des métiers des restaurateurs en mars. 2022 est aussi le 20ème anniversaire de la loi relative aux musées de France, moment pour nous concentrer sur certains de ces point sensibles, l’inaliénabilité, la démocratisation... Nous prendrons l’initiative de discussions, à partir de notre place dans un réseau international, et nous impliquerons autant qu’on nous le demandera dans les débats nationaux

À Prague du 22 au 26 août, nous serons très présents. Nous espérons que nombre d’entre vous suivrons la conférence, soit sur place soit, sur plateforme, car elle aura un format hybride. D’ores et déjà, nous avons pris l’initiative, en coopération avec d’autres comités nationaux et internationaux, de tenir une session sur le multilingue. Plus que jamais, il est indispensable de mobiliser toute l’intelligence des musées, et essentiel que chacun puisse s’exprimer dans la langue qui lui est la plus familière. C’est la meilleure garantie d’une pensée diversifiée. À cet égard, d’ailleurs, nous avons soutenu la demande de certains pays d’ouvrir une 4 ème langue officielle au sein de l’ICOM.

Toute l’équipe d’ICOM France vous souhaite un joyeux Noël et de bonnes fêtes de fin d’année.

Carte de voeux ICOM France
ICOM France vous souhaite une bonne année 2022

 

Date de début de l'actualité
mar 21/12/2021 - 12:00
Identité actualité
ICOM France
Accroche
par Juliette Raoul-Duval, présidente
Ordre
2
Archivé
Non

Les musées font équipe

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La journée 2021 de débats professionnels a été organisée en collaboration avec le musée national du Sport, les musées d'archéologie de la ville de Nice et les musées nationaux du XXe siècle des Alpes-Maritimes. Elle s'est tenue à la fois au musée national du Sport à Nice et en ligne.

Thématique de la journée

Le musée national du Sport, lieu culturel et sportif, a inspiré la thématique du colloque : Les musées font équipe ! 
Oui les musées ont fait équipe tout au long de la pandémie : c’est à la fois un constat et une espérance pour l’avenir. Et nous en sommes, à ICOM France, les témoins et la mémoire.

Cette journée a proposé une réflexion autour des concepts de solidarité, d'entraide et de combativité. Elle a permis de souligner les points de force révélés dans la difficulté partagée durant la crise mais aussi les soutiens dont les musées ont besoin pour se relever, se reconstruire, se renouveler.

La matinée a été scindée en deux temps consacrés d’une part, à l’expression par les professionnels de musées (nationaux comme territoriaux, de statut public comme privé) des enjeux nouveaux que la pandémie a mis en évidence et d’autre part, à la présentation des politiques publiques destinées aux musées : ministère français de la Culture, ICOM international ; UNESCO ; Europe…
L’après-midi a abordé la problématique du rôle social du musée.

Session 1 -  Une grande unité dans une grande diversité - modérée par Céline Chanas, présidente de la FEMS, avec :

  • Bruno Ely, directeur du musée Granet.
  • Anne-Sophie de Gasquet, directrice générale de Paris Musées.
  • Emilie Girard, directrice scientifique et des collections du Mucem.
  • Jérôme Magail, chargé de Recherche, musée d’anthropologie préhistorique de Monaco & secrétaire d’ICOM  Monaco.
  • Leisa Paoli, directrice du musée d’art classique de Mougins.
  • Marie-Pierre Bathany, directrice du Fonds Hélène & Edouard Leclerc pour la culture.

Session 2 - De quelle politique culturelle les musées ont-ils besoin ? -  modérée par Juliette Raoul-Duval, président d'ICOM France, avec :

  • Sunna Altnoder, cheffe d’Unité du patrimoine mobilier et des musées, Secteur de la Culture, Unesco.
  • Céline Chanas, présidente de la FEMS.
  • Jérôme Farigoule, service des musées de France - Direction générale des patrimoines.
  • Alberto Garlandini, président de l’ICOM.
  • Catherine Magnan, cheffe de l’Unité « Politique en matière de culture », direction générale de l’éducation, la  jeunesse, du sport et de la culture, Commission européenne.
  • Jacques Sallois, président de Chambre honoraire à la Cour des Comptes, ancien directeur des musées de France.

Session 3  - Le rôle social des musées : les enseignements d'une crise majeure - modérée par Bertrand Roussel, directeur du musée d'archéologie à Nice, avec :

  • Anne Dopffer, directrice des musées nationaux du XXe siècle des Alpes-Maritimes.
  • Bruno Girveau, directeur du Palais des Beaux-Arts et du musée de l’Hospice Comtesse de Lille.
  • Marie Grasse, directrice générale du musée national du Sport.
  • Estelle Guille des Buttes, conservatrice en chef chargée des musées d'art moderne et contemporain, ministère de la Culture, direction générale des patrimoines et de l’architecture, directrice du musée de Pont-Aven de 2006 à 2020.
  • & Sophie Kervran, directrice du musée de Pont-Aven et du musée de la Pêche de Concarneau.
  • Pap Ndiaye, directeur général du Palais de la Porte Dorée.
  • Laure Pressac, directrice de l’ingénierie culturelle à Beaux-Arts Consulting & professeure à Sciences Po.

Retrouvez la synthèse des tables rondes et des conférences.

Fichiers joints
brochure_Les musées font équipes A5_numerique.pdf1.17 Mo
Type de document
Rencontre
Date du document
mer 22/12/2021 - 12:00
Couverture de la publication
Accroche
Actes de la journée professionnelle d'ICOM France - 24 septembre 2021

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