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Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Haïti

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Pourquoi une Liste rouge pour Haïti ?

La Liste Rouge d’urgence des biens culturels haïtiens en péril est conçue pour aider les douaniers, policiers et professionnels du patrimoine à identifier les catégories d’objets culturels qui sont les plus soumises au trafic illicite. Ces catégories sont protégées par une législation qui interdit leur commerce et leur exportation. Cependant la création artistique et artisanale contemporaine n’est pas protégée par les lois relatives au patrimoine culturel ; ces objets et œuvres de production contemporaine ont été inclus dans la Liste Rouge d’urgence car le séisme les a rendus vulnérables aux vols et aux pillages.

Il est conseillé aux acheteurs potentiels d’objets ressemblant à ceux décrits dans la Liste Rouge d’urgence, ainsi qu’aux agents des douanes et des forces de l’ordre, de soigneusement vérifier leur provenance et la documentation légale correspondante.

La Liste Rouge d’urgence des biens culturels haïtiens en péril n’étant en aucune manière exhaustive, tout objet provenant d’Haïti devra être examiné avec le plus grand soin. La Liste Rouge d’urgence ne vise cependant pas à entraver le commerce légal des biens culturels haïtiens, vital tant au maintien des traditions qu’à la survie des artistes et au redressement économique du pays.

Contexte

Le patrimoine culturel d’Haïti, d’une exceptionnelle richesse, comprend des vestiges des périodes précolombienne, coloniale et nationale, des productions artistiques contemporaines, des objets cultuels et artisanaux ; il joue un rôle central dans l’identité nationale du pays.

Bien que protégé par un corpus législatif national et international, le patrimoine culturel haïtien est sévèrement touché par le trafic illicite qui est stimulé à la fois par la demande internationale et l’extrême pauvreté du pays. Le séisme du 12 janvier 2010 a rendu la situation encore plus critique, laissant le patrimoine haïtien sans défense face aux pillages, vols et destructions.

La Liste Rouge d’urgence des biens culturels haïtiens en péril est la première réponse de l’ICOM au risque accru de trafic illicite et à la demande d’Interpol, de l’Organisation mondiale des douanes (OMD) et de l’UNESCO. Étant donné l’importance du patrimoine comme force fédératrice pour le peuple haïtien, empêcher la dispersion de ces biens culturels est un élément essentiel de l’effort de redressement du pays.

Attention

Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.

Fichiers joints
Haiti.pdf1.47 Mo
Type de document
Liste rouge
Date du document
lun 01/03/2010 - 12:00
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Le séisme de 2010 a rendu les objets et les œuvres de production contemporaines vulnérables aux vols et aux pillages.

Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Egypte

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Pourquoi une Liste rouge pour l’Egypte ?

La lutte contre le trafic illicite des biens culturels requiert l’amélioration des instruments légaux et des outils pratiques visant à disséminer l’information et susciter la prise de conscience du public.

La Liste Rouge d’urgence des biens culturels égyptiens en péril a pour but d’aider les professionnels de l’art et du patrimoine et les agents des forces de l’ordre à identifier les biens égyptiens qui sont protégés par les législations nationale et internationale. Afin de faciliter leur identification, la Liste Rouge d’urgence décrit les catégories ou les types d’objets culturels qui sont les plus susceptibles d’être achetés et vendus illégalement.

Musées, maisons de vente, marchands d’art et collectionneurs sont encouragés à ne pas acquérir ces objets sans avoir soigneusement et entièrement recherché leur origine et toute la documentation légale pertinente. En raison de la grande diversité d’objets, de styles et de périodes, la Liste Rouge d’urgence des biens culturels égyptiens en péril est loin d’être exhaustive. Tout bien culturel qui aurait pu provenir d’Egypte doit faire l’objet d’un examen minutieux et de mesures de précaution.

Contexte

L’Egypte abrite un patrimoine culturel varié et mondialement reconnu. La prévention de la contrebande et du trafic illicite des biens culturels de ce pays est une préoccupation constante. Néanmoins, face à une situation exceptionnelle, le patrimoine égyptien requiert une protection accrue.

Les objets égyptiens vulnérables vont de ceux qui relèvent de la vie quotidienne à ceux d’une nature religieuse ou cérémonielle. Ils peuvent être prélevés sur des sites archéologiques, dans des musées ou dans des institutions similaires. Les objets égyptiens remontant à n’importe quelle période historique du pays sont vivement recherchés, notamment ceux datant des époques pharaonique et nubienne, mais aussi ceux des périodes gréco-romaine, copte et islamique.

L’Egypte reconnaît que les fouilles illicites des sites archéologiques détruisent le contexte d’un objet et réduisent sa signification culturelle et historique. Les connaissances lacunaires résultant de cette situation appauvrissent la compréhension du riche passé de l’Egypte et, par conséquent, d’importantes étapes de l’histoire de l’humanité. Depuis 1869, l’Egypte a créé puis amélioré le cadre légal protégeant son patrimoine culturel. Le gouvernement égyptien a multiplié les efforts visant à contrer le trafic illicite, démontrant ainsi son engagement sur le long terme pour la protection du patrimoine national.

En dépit de ces efforts, le vol, le pillage et l’exportation illégale demeurent des menaces constantes. Combattre le trafic illicite des biens culturels relève de la responsabilité de tous afin de protéger et de préserver le riche patrimoine de l’Egypte, un patrimoine qui offre un aperçu de l’évolution culturelle, artistique, scientifique et historique de l’humanité.

Attention

Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.

Fichiers joints
Egypte.pdf3.69 Mo
Type de document
Liste rouge
Date du document
sam 01/01/2011 - 12:00
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La Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril pour l’Egypte est un outil pratique destiné aux forces de l’ordre et aux professionnels du patrimoine.

Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Colombie

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Pourquoi une Liste rouge pour la Colombie ?

Cette Liste Rouge a été conçue afin d’aider les musées, marchands d’art, collectionneurs, fonctionnaires des douanes et de police, à identifier des objets qui sont susceptibles d’être exportés illégalement de Colombie. En vue de faciliter leur identification, la Liste Rouge décrit plusieurs catégories de biens culturels qui peuvent faire l’objet de transactions illicites.

La législation colombienne interdit l’exportation et le commerce de ces biens culturels. Les musées, maisons de ventes aux enchères, marchands d’art et collectionneurs sont donc exhortés à ne pas en faire l’acquisition sans avoir vérifié au préalable et de façon irréfutable leur provenance ainsi que la documentation légale correspondante.

En raison de la grande diversité d’objets, de styles et de périodes, la Liste Rouge des biens culturels colombiens en péril n’est pas exhaustive. Toute antiquité susceptible de provenir de Colombie devra faire l’objet d’une attention toute particulière et de mesures de précaution renforcées.

Contexte

L’État colombien, par le biais de ses institutions, a développé et renforcé le cadre légal pour la protection du patrimoine culturel de la nation. Cependant, en dépit de tels efforts, les biens culturels et en particulier ceux hérités des époques préhispanique et coloniale, continuent de faire l’objet de trafic illicite à l’échelle nationale et internationale.

Le vol, le pillage, le commerce et l’exportation illicites sont des menaces constantes à la préservation du patrimoine culturel. La lutte contre le trafic illicite de biens culturels est de ce fait une priorité de la politique menée par l’Etat colombien.

Le patrimoine archéologique, y compris subaquatique, est la catégorie la plus vulnérable, notamment dans les régions isolées de Colombie. Les fouilles clandestines et la contrebande répondent à une demande sur le marché international des antiquités, qui s’est accrue ces derniers temps en raison, entre autres, des ventes sur Internet.

Les biens à caractère religieux et documentaire, également menacés, sont fréquemment volés dans des églises, musées, archives et bibliothèques.

Le trafic illicite des biens culturels porte irréparablement atteinte à l’identité du peuple colombien et constitue une perte importante pour la mémoire de l’humanité.

Attention

Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.

Fichiers joints
Colombie.pdf1.46 Mo
Type de document
Liste rouge
Date du document
lun 01/02/2010 - 12:00
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L’État colombien, par le biais de ses institutions, a développé et renforcé le cadre légal pour la protection du patrimoine culturel de la nation.

Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Cambodge

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Pourquoi une Liste rouge pour la Cambodge ?

Cette Liste Rouge a pour vocation de faciliter aux musées, aux collectionneurs, aux marchands d’art et d’antiquités, aux fonctionnaires des douanes et à la police, l’identification des vestiges susceptibles d’avoir été pillés et exportés illégalement du Cambodge. Pour ce faire, la liste illustre et décrit diverses catégories d’artéfacts susceptibles de faire l’objet de transactions illicites sur le marché des antiquités. Ces objets sont protégés par la législation cambodgienne, qui en interdit la vente et l’exportation. Par conséquent, l’ICOM invite les parties intéressées à ne procéder à aucune transaction sans avoir auparavant minutieusement vérifié l’origine des pièces et la documentation attestant de leur provenance.

Au vu de la grande diversité des objets cambodgiens, la Liste Rouge des antiquités cambodgiennes en péril n'est pas exhaustive; tout objet ancien susceptible de provenir du Cambodge devra faire l’objet d’une attention toute particulière ainsi que de mesures de précaution.
Aujourd’hui au Cambodge, l’artisanat est un secteur florissant. Les artisans réalisent des textiles, des laques et des gravures sur pierre et sur bois qui rivalisent avec les pièces des temps anciens. La publication de cette liste ne prétend aucunement entraver un tel commerce, essentiel au développement continu des traditions artisanales cambodgiennes.

Contexte

Le gouvernement cambodgien prend des mesures drastiques pour protéger l'héritage culturel du pays. En dépit de ces mesures, le pillage généralisé et la destruction des sites archéologiques se poursuivent. Depuis des décennies, les pilleurs ciblent les objets en métal et les éléments sculpturaux en pierre des périodes angkorienne et post-angkorienne. Récemment, le pillage des cimetières préhistoriques situés à travers le pays a marqué le début d’une nouvelle vague de destruction.

La recherche d’antiquités cambodgiennes est motivée par la demande locale ainsi que le marché international. Le trafic illicite d’objets de tous types et de tous matériaux, datant de la période préhistorique jusqu’au 19e siècle, prive le pays de son riche héritage culturel. Sculptures, éléments architecturaux, documents religieux antiques, bronzes, artéfacts en fonte, objets en bois et céramiques continuent d’être exportés illégalement à une vitesse alarmante.

Les ressources culturelles du Cambodge revêtent une importance toute particulière pour la population. La fierté que les Cambodgiens tirent de leur héritage est symbolisée par le choix de représenter le temple antique d’Angkor Wat sur le drapeau de la nation. En outre, les sites, très appréciés par les touristes du monde entier, tels que le Parc Angkor, constituent une ressource économique pour le Cambodge. Par conséquent, les menaces qui pèsent sur l’héritage du Cambodge sont prises extrêmement au sérieux par la communauté.

Attention

Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.

Fichiers joints
Cambodge.pdf2.36 Mo
Type de document
Liste rouge
Date du document
dim 01/02/2009 - 12:00
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Depuis des décennies, les pilleurs ciblent les objets en métal et les éléments sculpturaux en pierre des périodes angkorienne et post-angkorienne.

Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Syrie

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Pourquoi une Liste rouge pour la Syrie ?

La lutte contre le trafic illicite des biens culturels nécessite le renforcement des instruments juridiques et l'utilisation d'outils pratiques permettant de diffuser l'information, de sensibiliser le public et d'empêcher les exportations illégales.

Suite à des rapports faisant état de dommages et de pillages sur de nombreux sites patrimoniaux en Syrie, l'ICOM a décidé de publier la Liste Rouge d'urgence des biens culturels syriens en péril dans le but d'aider les professionnels de l'art et du patrimoine et les agents des forces de l'ordre à identifier les objets syriens qui sont protégés par la législation nationale et internationale. Afin de faciliter leur identification, la Liste Rouge d'urgence illustre les catégories ou types d'objets culturels qui sont les plus susceptibles d'être achetés et vendus illégalement.

Musées, maisons de vente, marchands d'art et collectionneurs sont exhortés à ne pas faire l'acquisition d'objets semblables sans avoir vérifié au préalable et de façon minutieuse leur provenance ainsi que la documentation légale correspondante. En raison de la diversité considérable des objets, des styles et des époques, la Liste Rouge d'urgence des biens culturels syriens en péril est loin d'être exhaustive. Tout bien culturel susceptible de provenir de Syrie doit faire l'objet d'une attention particulière.

Contexte

Le territoire de la Syrie fut pendant plusieurs millénaires le foyer de diverses cultures et royaumes anciens : tribus préhistoriques, sociétés islamiques, croisés européens, marchands persans, empires abbasside et ottoman. Soutenus par le développement d’une législation nationale, les syriens ont consciencieusement préservé et protégé les traces matérielles de ces cultures passées.

Les événements qui ont secoué le monde arabe ont déclenché une vague d'inquiétude concernant la protection du patrimoine culturel en Syrie. La menace de dommages à long terme sur les sites patrimoniaux est particulièrement inquiétante. Les objets de ces sites sont très convoités sur les marchés internationaux d'art et d'antiquités et donc sujets au vol, au pillage et au trafic illicite.

La diversité du patrimoine culturel syrien se reflète dans sa pluralité. La destruction en cours des sites et la disparition d'objets culturels appauvrissent notre connaissance et notre compréhension du patrimoine culturel de ce pays et de ses inestimables contributions au patrimoine mondial.

Attention

Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.

Fichiers joints
Syrie.pdf7.8 Mo
Type de document
Liste rouge
Date du document
ven 01/02/2013 - 12:00
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Suite à des rapports faisant état de dommages et de pillages sur de nombreux sites patrimoniaux en Syrie, l'ICOM a décidé de publier la Liste Rouge d'urgence des biens culturels syriens en péril

Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Amérique latine

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Pourquoi une Liste rouge pour l’Amérique latine ?

Cette liste contient 25 exemples spécifiques du patrimoine précolombiens et coloniaux qui sont systématiquement pillés dans toute l’Amérique latine et qui font l’objet d’une demande appuyée sur le marché illégal des antiquités.

Toutes les catégories d’objets dans la Liste Rouge sont protégées par une législation et banni de l’exportation, et ne peuvent en aucun cas faire l’objet d’acquisition ou de vente. La Liste rouge exhorte les musées, les maisons de ventes, les marchands d’art et les collecteurs à ne pas acquérir ces objets.

La Liste rouge a également pour but d’aider les douaniers, les officiers de police et les marchands d’art à les identifier.

Il s’agit d’une liste présentant les types d’objets d’Amérique latine qui sont exposés à un haut risque de vol. Elle n’est en aucun cas exhaustive. De par l’importance de la variété des objets, des styles et des périodes, toutes antiquité d’Amérique latine devrait être considéré avec méfiance.

Contexte

En Amérique latine, les pillages des sites archéologiques et les vols dans les musées et les édifices religieux infligent des dommages irréparables au patrimoine de ce continent et de l’humanité toute entière. Ces objets sont arrachés sans raisons à leur contexte historique afin de satisfaire la demande toujours plus grande d’antiquités sur le marché international.

En raison de cette situation d’urgence, la communauté internationale des professionnels du patrimoine a rédigé une Liste rouge des biens culturels d’Amérique latine en péril afin d’aider à mettre un terme à ce trafic illicite de la propriété culturelle.

 

Attention

Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.

Fichiers joints
Amérique latine.pdf4.22 Mo
Type de document
Liste rouge
Date du document
mer 01/01/2003 - 12:00
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En Amérique latine, les pillages des sites archéologiques et les vols dans les musées et les édifices religieux infligent des dommages irréparables au patrimoine de ce continent.

Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Amérique centrale - Mexique

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Pourquoi une Liste rouge pour l’Amérique centrale-Mexique?

Cette Liste Rouge a été conçue comme un instrument destiné à aider les musées, les marchands d'art, les collectionneurs et les fonctionnaires des douanes et de police dans leur travail d'identification des objets susceptibles d'avoir été illégalement exportés hors du Mexique, du Guatemala, du Belize, du Salvador, du Honduras, du Nicaragua, du Costa Rica et du Panama. La liste spécifie diverses catégories d'objets en péril susceptibles d'être la cible d'opérations illicites d'achat vente sur le marché des antiquités.

Étant donné la grande variété des objets, des formes, des styles et des périodes, la Liste Rouge des antiquités en péril d'Amérique centrale et du Mexique ne prétend nullement être exhaustive et toute antiquité provenant de la région devra être considérée comme suspecte et faire l'objet d'une attention spéciale et de mesures de précaution.

Ces objets sont protégés par les législations de chaque pays qui interdisent spécifiquement leur trafic, leur exportation et leur vente. Donc, les musées, les salles des ventes, les marchands d'art et les collectionneurs sont vivement encouragés à ne pas les acheter et sont invités à signaler ces objets auprès des délégations diplomatiques de chaque pays, des forces de police locales et d'Interpol.

Remarque : cette publication est illustrée par des images d'oeuvres exposées dans des musées, dans le but de faire fonction de guide comparatif pour l'identification des objets les plus vulnérables au trafic illicite.

Contexte

Le patrimoine culturel du Mexique, du Belize, du Guatemala, du Salvador, du Honduras, du Nicaragua, du Costa Rica et du Panama est constitué de biens identifiables par leurs caractéristiques particulières et produits par différentes sociétés des époques préhispanique, coloniale et républicaine, lequel patrimoine constitue la mémoire historique de ces nations.

Bien qu'elle soit protégée par des législations nationales et internationales, la richesse culturelle patrimoniale de ces pays fait l'objet de trafics illicites. Au cours des vingt dernières années, un nombre croissant d'exportations illicites de biens culturels ont été interceptées, démontrant un intérêt accru pour ces objets sur le marché international. Cette demande a favorisé les fouilles clandestines sur des sites archéologiques, ainsi que la hausse du nombre de vols dans les églises et les musées.

Le trafic illicite des biens culturels de cette région porte irrémédiablement atteinte à l'identité de chacun de ces pays et amenuise gravement le patrimoine culturel de l'humanité.

Attention

Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.

Fichiers joints
Amerique centrale Mexique.pdf4.5 Mo
Type de document
Liste rouge
Date du document
jeu 01/01/2009 - 12:00
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Au cours des vingt dernières années, un nombre croissant d'exportations illicites de biens culturels ont été interceptées, démontrant un intérêt accru pour ces objets sur le marché international.

Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Afrique

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Pourquoi une Liste rouge pour l’Afrique?

Le pillage des pièces archéologiques et la destruction des sites sur le sol africain constituent une atteinte irréparable à l'histoire de l'Afrique, et par là à l'histoire de l'humanité, en supprimant à jamais la possibilité d'en reconstituer des pans entiers. Les moyens de comprendre ces objets disparaissent effectivement dès lors qu'ils sont sortis de leur contexte archéologique et séparés de l'ensemble auxquels ils appartenaient. Seules des fouilles archéologiques menées par des professionnels peuvent permettre de leur restituer une identité, de les dater et de les localiser. Aussi longtemps que la demande du marché de l'art international continuera, des objets seront pillés pour être proposés à la vente.

En réponse à l'urgence de la situation, une liste des catégories d'objets archéologiques africains particulièrement victimes du pillage a été établie lors de l'Atelier sur la protection du patrimoine culturel africain qui s'est tenu à Amsterdam du 22 au 24 octobre 1997. Organisé par l'ICOM (Conseil international des musées) dans le cadre de son programme AFRICOM, il a rassemblé des professionnels des musées africains, européens et nord-américains afin de mettre en place une politique commune pour lutter contre le trafic illicite des objets culturels africains et favoriser les accords régionaux et internationaux.

Ces objets sont parmi les biens culturels les plus touchés par le pillage et le vol. Protégés par les législations de leur pays, ils sont interdits d'exportation et ne doivent en aucun cas être proposés à la vente.

Un appel est donc lancé aux musées, salles des ventes, marchands et collectionneurs afin qu'ils n'achètent plus ces objets.

Cette liste contient les objets particulièrement en danger, mais elle n'est en aucun cas exhaustive. Devant toute pièce archéologique en vente se pose la question de la légalité de son exportation.

Contexte

En Afrique, dans le cadre d'AFRICOM, programme de l'ICOM pour l'Afrique, plusieurs actions concrètes ont été menées pour endiguer vols et pillages. Des ateliers régionaux ont été organisés afin de renforcer la coopération entre les services du patrimoine, de la police et des douanes. La publication du Manuel de normes. Documentation des collections africaines a apporté l'outil indispensable pour le perfectionnement des inventaires et la protection des collections de musée. La diffusion d'informations sur les biens volés avec Cent objets disparus. Pillage en Afrique a permis la sensibilisation des professionnels et du grand public et a abouti à des restitutions d'objets. En octobre 1997, une nouvelle étape a été franchie à Amsterdam avec la mobilisation des professionnels africains, européens et nord-américains en faveur de la protection du patrimoine africain. Dans la mise en place d'une politique commune pour lutter contre le trafic des objets culturels africains, des recommandations en matière de recherche, de collaboration Nord/Sud, de formation et de sensibilisation ont été formulées et la Liste Rouge des objets archéologiques particulièrement en danger a été établie.

Depuis octobre 1999, AFRICOM est devenu le Conseil international des musées africains, une organisation autonome et panafricaine dont le siège se trouve à Nairobi (Kenya).

Attention

Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.

Fichiers joints
Afrique.pdf6.49 Mo
Type de document
Liste rouge
Date du document
sam 01/01/2000 - 12:00
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Le pillage des pièces archéologiques et la destruction des sites sur le sol africain constituent une atteinte irréparable à l'histoire de l'Afrique.

Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Afghanistan

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Pourquoi une Liste rouge pour l’Afghanistan ?

Le riche patrimoine archéologique de l'Afghanistan revêt une importance universelle. Il est aujourd'hui gravement menacé par la destruction et le pillage organisés auxquels se livrent des criminels. Le Musée national d'Afghanistan à Kaboul a été mis à sac et dépouillé d'une partie de sa collection qui a trouvé nombre d'acquéreurs sur le marché de l'art. Les monuments et sites historiques, de l'âge de pierre au XXe siècle, sont détruits et systématiquement pillés.

Toutes sortes d'objets fabriqués dans les matériaux les plus divers, de la préhistoire aux périodes indo-grecque, bouddhiste et islamique sont en train de disparaître. Des sculptures, des éléments architecturaux, des manuscrits, des objets en bronze, en bois et en céramique sont inexorablement exportés en toute illégalité. Il est du devoir de la communauté internationale de s'unir pour protéger ce patrimoine culturel unique.

Contexte

Ce dépliant a été conçu comme un instrument à l'intention des marchands d'œuvres d'art et des collectionneurs, des officiers des douanes et de police pour les aider à identifier les objets qui pourraient provenir illégalement d'Afghanistan. Cette Liste Rouge recense dans plusieurs catégories les types d'objets les plus susceptibles d'apparaître illégalement sur le marché des antiquités de manière à pouvoir les identifier. Ces objets sont placés sous la protection de la législation afghane qui en interdit l'exportation et la vente. Un appel est lancé à tous les musées, aux salles des ventes, aux marchands d'art et autres collectionneurs afin qu'ils n'acquièrent aucun de ces objets sans avoir pris parfaitement connaissance de leur provenance et de leur titre de propriété.

La Liste Rouge des antiquités afghanes en péril n'est nullement exhaustive et tout objet ancien mis en vente et censé provenir d'Afghanistan doit être traité avec beaucoup de circonspection et de méfiance.

Attention

Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.

Fichiers joints
Afghanistan.pdf1.96 Mo
Type de document
Liste rouge
Date du document
dim 01/01/2006 - 12:00
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Le riche patrimoine archéologique de l'Afghanistan revêt une importance universelle. Il est aujourd'hui gravement menacé par la destruction et le pillage organisés auxquels se livrent des criminels.

Lettre de l'Icom France n°1

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Editorial

Chaque année, à l’issue de notre Assemblée générale, un double regret s’affirme. Les membres français de l’I.C.O.M. déplorent leur manque d’informations sur les activités de notre organisation et sur celles de son Comité Français. L’idée d’un organe de liaison, dans l’air depuis déjà un moment, se matérialise aujourd’hui, très modestement. Le Conseil d’Administration espère pouvoir recommencer trois fois par an. Ce faisant, il essaiera de répondre aux questions que vous vous posez à propos de l’I.C.O.M. et de vous indiquer les voies et les moyens d’une insertion plus réelle dans la Communauté Internationale des Musées.

Ce bulletin ne devra pas faire double emploi avec les Nouvelles de l’I.C.O.M. que nous recevons tous. Outre l’éditorial, une première partie y sera réservée aux travaux des Comités internationaux qui poursuivent, entre deux conférences générales, réflexions et recherches sur toutes sortes de problèmes. L’indication des dates et du programme de travail des futures réunions vous incitera peut-être à poser votre candidature à l’un ou à l’autre. Informés des noms de nos collègues déjà membres, vous pourrez au moins exprimer auprès d’eux votre point de vue. Le mieux seraient certainement qu’ils puissent se retrouver régulièrement et réunir autour d’eux ceux d’entre vous ayant les mêmes préoccupations. Ainsi pourrait être évité, au moins en France, la coupure qui va s’aggravant au sein de l’I.C.O.M. entre Comités Nationaux, considérés à tort comme des organes uniquement administratifs, et Comités Internationaux prééminents ayant, seuls, vocation d’étude. L’information doit circuler dans les deux sens entre l’International et le National. Ceux d’entre nous qui ne peuvent assister aux réunions internationales – et ils sont hélas nombreux ! – doivent, d’une façon ou d’une autre, pouvoir participer à la vie de l’I.C.O.M. Autrement, pourquoi en seraient-ils membres ? Pourquoi leurs apports personnels, leurs opinions ne seraient-ils pas pris en compte dans l’élaboration du point de vue national appelé à s’exprimer lors des conférences générales ? Dans ce bulletin, leurs participations et leurs questions devront y contribuer au même titre que les échos des réunions des Comités Internationaux rapportés par les participants eux-mêmes.

La seconde partie réunira les nouvelles de l’I.C.O.M. en France. Vous trouverez tout d’abord l’annonce des réunions prochaines avec l’indication de celles auxquelles il vous serait loisible d’assister, au moins en tant qu’observateurs. Des informations vous seront aussi régulièrement données sur l’activité de votre Conseil d’Administration, sur ces décisions, sur ces démarches et, bien évidemment, sur les membres nouvellement admis, toutes informations qui vous font actuellement défaut et qui vous sont dues sans attendre le compte-rendu aride présenté en Assemblée Générale, bien a posteriori.

Ce premier numéro est un test. Les suivants prendront forme grâce à vos propositions et à votre concours. Ils pourraient, si vous le désirez, accueillir vos questions, opinions ou contributions dans la mesure où celles-ci s’exprimeront brièvement, car nos moyens financiers et, de ce fait, l’espace, sont limités. Aidez-nous cependant à faire de ces simples feuillets les instruments de votre participation à la vie de l’I.C.O.M.


Jean FAVIERE

Fichiers joints
n°1 fevrier 1982.pdf2.2 Mo
Type de document
Les lettres d'ICOM France
Date du document
lun 01/02/1982 - 12:00
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