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Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Amérique latine

Pourquoi une Liste rouge pour l’Amérique latine ?
Cette liste contient 25 exemples spécifiques du patrimoine précolombiens et coloniaux qui sont systématiquement pillés dans toute l’Amérique latine et qui font l’objet d’une demande appuyée sur le marché illégal des antiquités.
Toutes les catégories d’objets dans la Liste Rouge sont protégées par une législation et banni de l’exportation, et ne peuvent en aucun cas faire l’objet d’acquisition ou de vente. La Liste rouge exhorte les musées, les maisons de ventes, les marchands d’art et les collecteurs à ne pas acquérir ces objets.
La Liste rouge a également pour but d’aider les douaniers, les officiers de police et les marchands d’art à les identifier.
Il s’agit d’une liste présentant les types d’objets d’Amérique latine qui sont exposés à un haut risque de vol. Elle n’est en aucun cas exhaustive. De par l’importance de la variété des objets, des styles et des périodes, toutes antiquité d’Amérique latine devrait être considéré avec méfiance.
Contexte
En Amérique latine, les pillages des sites archéologiques et les vols dans les musées et les édifices religieux infligent des dommages irréparables au patrimoine de ce continent et de l’humanité toute entière. Ces objets sont arrachés sans raisons à leur contexte historique afin de satisfaire la demande toujours plus grande d’antiquités sur le marché international.
En raison de cette situation d’urgence, la communauté internationale des professionnels du patrimoine a rédigé une Liste rouge des biens culturels d’Amérique latine en péril afin d’aider à mettre un terme à ce trafic illicite de la propriété culturelle.
Attention
Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.
Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Amérique centrale - Mexique

Pourquoi une Liste rouge pour l’Amérique centrale-Mexique?
Cette Liste Rouge a été conçue comme un instrument destiné à aider les musées, les marchands d'art, les collectionneurs et les fonctionnaires des douanes et de police dans leur travail d'identification des objets susceptibles d'avoir été illégalement exportés hors du Mexique, du Guatemala, du Belize, du Salvador, du Honduras, du Nicaragua, du Costa Rica et du Panama. La liste spécifie diverses catégories d'objets en péril susceptibles d'être la cible d'opérations illicites d'achat vente sur le marché des antiquités.
Étant donné la grande variété des objets, des formes, des styles et des périodes, la Liste Rouge des antiquités en péril d'Amérique centrale et du Mexique ne prétend nullement être exhaustive et toute antiquité provenant de la région devra être considérée comme suspecte et faire l'objet d'une attention spéciale et de mesures de précaution.
Ces objets sont protégés par les législations de chaque pays qui interdisent spécifiquement leur trafic, leur exportation et leur vente. Donc, les musées, les salles des ventes, les marchands d'art et les collectionneurs sont vivement encouragés à ne pas les acheter et sont invités à signaler ces objets auprès des délégations diplomatiques de chaque pays, des forces de police locales et d'Interpol.
Remarque : cette publication est illustrée par des images d'oeuvres exposées dans des musées, dans le but de faire fonction de guide comparatif pour l'identification des objets les plus vulnérables au trafic illicite.
Contexte
Le patrimoine culturel du Mexique, du Belize, du Guatemala, du Salvador, du Honduras, du Nicaragua, du Costa Rica et du Panama est constitué de biens identifiables par leurs caractéristiques particulières et produits par différentes sociétés des époques préhispanique, coloniale et républicaine, lequel patrimoine constitue la mémoire historique de ces nations.
Bien qu'elle soit protégée par des législations nationales et internationales, la richesse culturelle patrimoniale de ces pays fait l'objet de trafics illicites. Au cours des vingt dernières années, un nombre croissant d'exportations illicites de biens culturels ont été interceptées, démontrant un intérêt accru pour ces objets sur le marché international. Cette demande a favorisé les fouilles clandestines sur des sites archéologiques, ainsi que la hausse du nombre de vols dans les églises et les musées.
Le trafic illicite des biens culturels de cette région porte irrémédiablement atteinte à l'identité de chacun de ces pays et amenuise gravement le patrimoine culturel de l'humanité.
Attention
Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.
Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Afrique

Pourquoi une Liste rouge pour l’Afrique?
Le pillage des pièces archéologiques et la destruction des sites sur le sol africain constituent une atteinte irréparable à l'histoire de l'Afrique, et par là à l'histoire de l'humanité, en supprimant à jamais la possibilité d'en reconstituer des pans entiers. Les moyens de comprendre ces objets disparaissent effectivement dès lors qu'ils sont sortis de leur contexte archéologique et séparés de l'ensemble auxquels ils appartenaient. Seules des fouilles archéologiques menées par des professionnels peuvent permettre de leur restituer une identité, de les dater et de les localiser. Aussi longtemps que la demande du marché de l'art international continuera, des objets seront pillés pour être proposés à la vente.
En réponse à l'urgence de la situation, une liste des catégories d'objets archéologiques africains particulièrement victimes du pillage a été établie lors de l'Atelier sur la protection du patrimoine culturel africain qui s'est tenu à Amsterdam du 22 au 24 octobre 1997. Organisé par l'ICOM (Conseil international des musées) dans le cadre de son programme AFRICOM, il a rassemblé des professionnels des musées africains, européens et nord-américains afin de mettre en place une politique commune pour lutter contre le trafic illicite des objets culturels africains et favoriser les accords régionaux et internationaux.
Ces objets sont parmi les biens culturels les plus touchés par le pillage et le vol. Protégés par les législations de leur pays, ils sont interdits d'exportation et ne doivent en aucun cas être proposés à la vente.
Un appel est donc lancé aux musées, salles des ventes, marchands et collectionneurs afin qu'ils n'achètent plus ces objets.
Cette liste contient les objets particulièrement en danger, mais elle n'est en aucun cas exhaustive. Devant toute pièce archéologique en vente se pose la question de la légalité de son exportation.
Contexte
En Afrique, dans le cadre d'AFRICOM, programme de l'ICOM pour l'Afrique, plusieurs actions concrètes ont été menées pour endiguer vols et pillages. Des ateliers régionaux ont été organisés afin de renforcer la coopération entre les services du patrimoine, de la police et des douanes. La publication du Manuel de normes. Documentation des collections africaines a apporté l'outil indispensable pour le perfectionnement des inventaires et la protection des collections de musée. La diffusion d'informations sur les biens volés avec Cent objets disparus. Pillage en Afrique a permis la sensibilisation des professionnels et du grand public et a abouti à des restitutions d'objets. En octobre 1997, une nouvelle étape a été franchie à Amsterdam avec la mobilisation des professionnels africains, européens et nord-américains en faveur de la protection du patrimoine africain. Dans la mise en place d'une politique commune pour lutter contre le trafic des objets culturels africains, des recommandations en matière de recherche, de collaboration Nord/Sud, de formation et de sensibilisation ont été formulées et la Liste Rouge des objets archéologiques particulièrement en danger a été établie.
Depuis octobre 1999, AFRICOM est devenu le Conseil international des musées africains, une organisation autonome et panafricaine dont le siège se trouve à Nairobi (Kenya).
Attention
Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.
Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Afghanistan

Pourquoi une Liste rouge pour l’Afghanistan ?
Le riche patrimoine archéologique de l'Afghanistan revêt une importance universelle. Il est aujourd'hui gravement menacé par la destruction et le pillage organisés auxquels se livrent des criminels. Le Musée national d'Afghanistan à Kaboul a été mis à sac et dépouillé d'une partie de sa collection qui a trouvé nombre d'acquéreurs sur le marché de l'art. Les monuments et sites historiques, de l'âge de pierre au XXe siècle, sont détruits et systématiquement pillés.
Toutes sortes d'objets fabriqués dans les matériaux les plus divers, de la préhistoire aux périodes indo-grecque, bouddhiste et islamique sont en train de disparaître. Des sculptures, des éléments architecturaux, des manuscrits, des objets en bronze, en bois et en céramique sont inexorablement exportés en toute illégalité. Il est du devoir de la communauté internationale de s'unir pour protéger ce patrimoine culturel unique.
Contexte
Ce dépliant a été conçu comme un instrument à l'intention des marchands d'œuvres d'art et des collectionneurs, des officiers des douanes et de police pour les aider à identifier les objets qui pourraient provenir illégalement d'Afghanistan. Cette Liste Rouge recense dans plusieurs catégories les types d'objets les plus susceptibles d'apparaître illégalement sur le marché des antiquités de manière à pouvoir les identifier. Ces objets sont placés sous la protection de la législation afghane qui en interdit l'exportation et la vente. Un appel est lancé à tous les musées, aux salles des ventes, aux marchands d'art et autres collectionneurs afin qu'ils n'acquièrent aucun de ces objets sans avoir pris parfaitement connaissance de leur provenance et de leur titre de propriété.
La Liste Rouge des antiquités afghanes en péril n'est nullement exhaustive et tout objet ancien mis en vente et censé provenir d'Afghanistan doit être traité avec beaucoup de circonspection et de méfiance.
Attention
Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.
Lettre de l'Icom France n°1

Editorial
Chaque année, à l’issue de notre Assemblée générale, un double regret s’affirme. Les membres français de l’I.C.O.M. déplorent leur manque d’informations sur les activités de notre organisation et sur celles de son Comité Français. L’idée d’un organe de liaison, dans l’air depuis déjà un moment, se matérialise aujourd’hui, très modestement. Le Conseil d’Administration espère pouvoir recommencer trois fois par an. Ce faisant, il essaiera de répondre aux questions que vous vous posez à propos de l’I.C.O.M. et de vous indiquer les voies et les moyens d’une insertion plus réelle dans la Communauté Internationale des Musées.
Ce bulletin ne devra pas faire double emploi avec les Nouvelles de l’I.C.O.M. que nous recevons tous. Outre l’éditorial, une première partie y sera réservée aux travaux des Comités internationaux qui poursuivent, entre deux conférences générales, réflexions et recherches sur toutes sortes de problèmes. L’indication des dates et du programme de travail des futures réunions vous incitera peut-être à poser votre candidature à l’un ou à l’autre. Informés des noms de nos collègues déjà membres, vous pourrez au moins exprimer auprès d’eux votre point de vue. Le mieux seraient certainement qu’ils puissent se retrouver régulièrement et réunir autour d’eux ceux d’entre vous ayant les mêmes préoccupations. Ainsi pourrait être évité, au moins en France, la coupure qui va s’aggravant au sein de l’I.C.O.M. entre Comités Nationaux, considérés à tort comme des organes uniquement administratifs, et Comités Internationaux prééminents ayant, seuls, vocation d’étude. L’information doit circuler dans les deux sens entre l’International et le National. Ceux d’entre nous qui ne peuvent assister aux réunions internationales – et ils sont hélas nombreux ! – doivent, d’une façon ou d’une autre, pouvoir participer à la vie de l’I.C.O.M. Autrement, pourquoi en seraient-ils membres ? Pourquoi leurs apports personnels, leurs opinions ne seraient-ils pas pris en compte dans l’élaboration du point de vue national appelé à s’exprimer lors des conférences générales ? Dans ce bulletin, leurs participations et leurs questions devront y contribuer au même titre que les échos des réunions des Comités Internationaux rapportés par les participants eux-mêmes.
La seconde partie réunira les nouvelles de l’I.C.O.M. en France. Vous trouverez tout d’abord l’annonce des réunions prochaines avec l’indication de celles auxquelles il vous serait loisible d’assister, au moins en tant qu’observateurs. Des informations vous seront aussi régulièrement données sur l’activité de votre Conseil d’Administration, sur ces décisions, sur ces démarches et, bien évidemment, sur les membres nouvellement admis, toutes informations qui vous font actuellement défaut et qui vous sont dues sans attendre le compte-rendu aride présenté en Assemblée Générale, bien a posteriori.
Ce premier numéro est un test. Les suivants prendront forme grâce à vos propositions et à votre concours. Ils pourraient, si vous le désirez, accueillir vos questions, opinions ou contributions dans la mesure où celles-ci s’exprimeront brièvement, car nos moyens financiers et, de ce fait, l’espace, sont limités. Aidez-nous cependant à faire de ces simples feuillets les instruments de votre participation à la vie de l’I.C.O.M.
Jean FAVIERE
Extranet - administrateurs du CA d'ICOM France
Salon Museum connections
ICOM France sera présent lors du prochain salon Museum connections le 16 et 17 janvier prochain porte de Versailles
Notre stand sera situé en H 78, pavillon 2, en face de la salle de conférences ("inspiration conférences")
Emilie Girard, présidente d'ICOM France, interviendra en tant que modératrice d'une table-ronde sur l'intelligence artificielle dans la salle "Inspiration conférences". La date et l'horaire seront confirmés prochainement.
Qu'est ce que Museum connections ? Salon professionnel international, résolument tourné vers les enjeux économiques et durables des lieux culturels et touristiques, Museum Connections décode les tendances et les innovations pour inspirer l’expérience culturelle et touristique de demain. Depuis plus de 25 ans, Museum Connections rassemble les professionnels de la médiation, de l’optimisation, et de la création de ressources des musées et lieux culturels pendant 2 jours à Paris
ICOM France propose à ses membres de se joindre au salon en bénéficiant d'une entrée gratuite : pour cela, rendez-vous sur le site du salon et utilisez le code MC03EXP
Museum Connections : Paris Expo Porte de Versailles Hall 2.2
Informations pratiques :
Date et horaires : Mardi 16 janvier de 9h30 à 18h30 / Mercredi 17 janvier : 9h30 à 18h00

Les musées face à leurs responsabilités environnementales et sociétales
Retrouvez l'ensemble des 6 séances du cycle consacré à l'élaboration d'un modèle éthique et durable du musée
Ce cycle a pris la forme de 6 séances participatives organisées sur plate-forme numérique de mai à novembre 2023 par un consortium de 9 partenaires à l’international réunissant des professionnels d’Europe, du Moyen Orient et Maghreb, Amérique du Nord et Amérique du Sud.

Modus operandi
Organisée sous le mode du débat participatif, chaque session est introduite et modérée par un des partenaires du projet et donne la parole à 4 ou 5 professionnels présentant une action concrète menée dans son établissement qui contribue activement et de façon pragmatique à la mise en œuvre d’une politique volontariste de développement durable.
Chaque intervenant dispose d’un temps de parole bref (environ 8 minutes) afin de conserver à ces échanges un caractère spontané et direct, et permettant de ménager, à l’issue des interventions préliminaires, un temps d’échange important, nécessaire pour faciliter la prise de contact, les questions et échanges d’idées.
Chaque séance est traduite simultanément dans les 3 langues officielles de l’ICOM : anglais, espagnol et français ; elle est captée et disponible à la rediffusion sur la chaîne YouTube d'ICOM France et autres moyens de communication de ses partenaires.
Vidéos du cycle
Architecture durable et patrimoine bâti (24 mai)
Médiation du développement durable (7 juin)
Enjeux sociétaux du développement durable (5 juillet)
Formation et recherche (27 septembre)
Numérique et développement durable (18 octobre)
Plans d’urgence et reconstruction (22 novembre)
L'ensemble du cycle fera l'objet d'une publication dont l'édition est prévue pour début 2024.
Ce projet est conçu avec le soutien financier de l'ICOM, l'université du Québec - Trois Rivière et la Délégation générale de la langue française et des langues de France / ministère de la Culture.
Appel à contributions : Musées et partenariats peu conventionnels
L’ICOM prépare un numéro de Museum International sur le thème Musées et partenariats peu conventionnels (Vol. 76 Nº 301 – 302)
Tous les résumés d’articles reçus seront évalués et sélectionnés suivant un processus de relecture anonyme par des pairs. Le numéro devrait être publié fin 2024 / début 2025, en collaboration avec Taylor&Francis/Routledge.
Dans le sillage de la crise financière mondiale de 2008 et de la pandémie de COVID-19, les musées du monde entier ont lutté pour atteindre la stabilité économique. Au cours des quinze dernières années, de nombreux musées ont été contraints de fermer leurs portes, tandis que d’autres ont été obligés de réduire leur personnel, leurs heures de travail et leurs services pour rester à flot. Cette tendance a eu un impact profond sur le paysage culturel de nombreuses villes et communautés à travers le monde. Les méthodes conventionnelles de financement, telles que les subventions gouvernementales, les dons, les parrainages, la billetterie et les dépenses des visiteurs dans les musées, ne sont pas suffisantes pour assurer l’avenir. Par conséquent, les musées sont contraints de trouver des moyens innovants pour devenir financièrement viables et assurer leur survie à long terme.
LES MUSÉES ET LES PARTENARIATS PEU CONVENTIONNELS
Les musées ont exploré de nouvelles frontières en exploitant le potentiel de leurs produits et services et en étendant leurs partenariats à des domaines non conventionnels. Ils ont cherché au-delà de leurs sources de financement traditionnelles, élargi leurs services et exploré de nouveaux partenariats, dans le but de diversifier leurs sources de revenus et de rester à flot dans un environnement de plus en plus concurrentiel. Dans le même temps, les musées doivent préserver leurs principes d’institutions à but non lucratif au service de la société, comme le stipule la définition du musée de l’ICOM. Il est donc essentiel d’examiner également les questions et les défis éthiques que soulèvent certains partenariats.
Nous souhaiterions recevoir un large panel de contributions susceptibles d’apporter un éclairage précieux sur des partenariats non conventionnels et peu familiers : des partenariats qui pourraient contribuer à renforcer le profil des musées en tant qu’entités économiquement et financièrement viables. Nous accueillons également les contributions qui réfléchissent aux défis, aux succès, aux limites et aux échecs de ces partenariats, ainsi qu’aux problèmes financiers globaux auxquels sont confrontés les musées aujourd’hui et aux solutions potentielles.
Nous encourageons toute contribution qui aborde les sujets suivants (cette liste n’est pas exhaustive) :
- Les partenariats entre les musées et les marques (gammes de produits et licences, industrie alimentaire et des boissons, industrie du divertissement, industrie lourde, vente)
- Les musées en tant que gestionnaires d’autres musées et infrastructures culturelles
- Les facteurs économiques et financiers qui motivent les partenariats non conventionnels
- Nouvelles formes de mécénat et de philanthropie
- Succès et limites de ces partenariats
- Préoccupations déontologiques liées aux partenariats
- Les partenariats entre les musées et l’industrie hôtelière
- Les musées et le secteur de la santé (hôpitaux et prestataires de soins de santé)
- L’intersection des musées et du développement immobilier (immobilier à usage mixte; ou musées en tant que gestionnaires immobiliers, consultants et conseillers)
- Le potentiel des musées dans le secteur des droits de propriété intellectuelle et des licences, soit en tant que créateurs de nouveaux droits de propriété intellectuelle, soit en tant que fournisseurs de services et de produits
- Le rôle que les musées peuvent jouer dans le secteur de la communication ; la valeur directe et indirecte de l’image de marque des musées, du contenu des réseaux sociaux, de la publicité et d’autres matériels promotionnels.
Date limite d’envoi : 22 mars 2024
Enquête GLAMMONS sur les nouveaux modèles de gestion pour les musées, les archives et les bibliothèques
La Secrétaire d'INTERCOM, M. Cristina Vannini, nous encourage à diffuser, au nom d'INTERCOM, l'enquête suivante auprès des musées de notre pays
INTERCOM a consacré des efforts considérables, au cours de l'année dernière, à analyser le leadership et la gouvernance des musées, c'est pourquoi ce comité nous invite à participer à l'enquête élaborée par GLAMMONS pour leur projet de recherche européen sur les biens communs. Ce projet correspond aux objectifs d'INTERCOM et vise à identifier des modèles alternatifs dans les pratiques de gestion au sein des secteurs Musées/Bibliothèques/Archives. Les résultats seront partagés avec les membres d'INTERCOM - ICOM via des webinaires et des événements exclusifs.
La durée de l'enquête est d'environ 10-12 minutes, nous vous remercions par avance du temps que vous nous accordez!