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Restituer/ Rapatrier
SÉANCE 2 : Restituer/ Rapatrier
L’Académie des Traces a pour ambition de mieux comprendre le défi sociétal majeur que représentent les collections coloniales conservées par les musées en Occident, indissociablement liées à une pluralité de mémoires toujours sensibles et souvent douloureuses.
L’Académie des Traces se propose de discuter les différents domaines du travail muséal en lien avec les collections coloniale: la recherche de provenance, les questions de restitution, d'exposition, de création artistique et de médiation, ainsi que de la politique de genèse des collections et des archives. Il s'agit de comprendre le fonctionnement mais aussi d’interroger, voire de remettre en question le traitement complexe et multidimensionnel des collections coloniales opéré par les musées et, grâce aux connaissances acquises, de développer de nouvelles formes de traitement et donc de contribuer à les changer pour construire les pratiques de demain.
Orchestré par une équipe internationale et interdisciplinaire, ce séminaire est ouvert à tous et à toutes (sur inscription uniquement), aussi n’hésitez pas à faire circuler l’information autour de vous. Les séances se dérouleront en anglais et en français grâce à une traduction simultanée.
Imaginer/ Performer
SÉANCE 4 : Imaginer/ Performer
L’Académie des Traces a pour ambition de mieux comprendre le défi sociétal majeur que représentent les collections coloniales conservées par les musées en Occident, indissociablement liées à une pluralité de mémoires toujours sensibles et souvent douloureuses.
L’Académie des Traces se propose de discuter les différents domaines du travail muséal en lien avec les collections coloniale: la recherche de provenance, les questions de restitution, d'exposition, de création artistique et de médiation, ainsi que de la politique de genèse des collections et des archives. Il s'agit de comprendre le fonctionnement mais aussi d’interroger, voire de remettre en question le traitement complexe et multidimensionnel des collections coloniales opéré par les musées et, grâce aux connaissances acquises, de développer de nouvelles formes de traitement et donc de contribuer à les changer pour construire les pratiques de demain.
Orchestré par une équipe internationale et interdisciplinaire, ce séminaire est ouvert à tous et à toutes (sur inscription uniquement), aussi n’hésitez pas à faire circuler l’information autour de vous. Les séances se dérouleront en anglais et en français grâce à une traduction simultanée.
L'important, c'est de participer !
L'important, c'est de participer ! Pratiques participatives et responsabilité des professionnels de musée
Quelle place donner à l’expression de voix autres au sein du musée ? Comment assurer un vrai rôle de modérateur ? Comment former les professionnels de musée à ces exercices spécifiques et difficiles ? Face à une société civile toujours plus désireuse d’être entendue et de participer à la vie des institutions, les initiatives inclusives fleurissent depuis quelques années dans les musées.
Trouver une juste place à ces pratiques, réussir à les encadrer sans les censurer et chercher les moyens pour bien les évaluer sont les questions qui ont été discutées lors de notre soirée-débat de déontologie du mardi 28 mars 2023.
Retrouvez ci-dessous les interventions de Luisa de Peña Díaz, membre d'ETHCOM - comité pour la déontologie de l'ICOM - et directrice fondatrice du musée mémorial de la résistance dominicaine ; Laurella Rinçon, directrice générale du MACte - Mémorial de l'esclavage - Guadeloupe ; Xavier de la Selle, président de la FEMS - fédération des écomusées et musées de société - et directeur des musées Gadagne (musée d'histoire de Lyon/musée des arts de la marionnette) ; Emilie Sitzia, muséologue, professeure à l'université d'Amsterdam et professeure associée à l'université de Maastricht ; Lina G. Tahan, présidente d'ICOM Ethics - comité international sur les questions éthiques - et chercheuse affiliée au département d'archéologie, Université de Cambridge, Royaume-Uni et Annabelle Ténèze, directrice du musée des Abattoirs - FRAC Occitanie Toulouse. Ouverture de la rencontre par Charles Personnaz (directeur de l'Institut national du patrimoine), Emilie Girard (présidente d'ICOM France) et Emma Nardi (présidente de l'ICOM). Conclusion par Séverine Blenner-Michel (directrice des études et du département des conservateurs, Inp).
Modération : Marie-Laure Estignard (directrice du musée des Arts et Métiers)
Les musées et l'open content - Session 1
Les musées et l'open content
Xavier Cailleau, de Wikimédia France, interviendra sur la promotion de l’ouverture des contenus culturels en numérisant œuvres et documents, afin les rendre librement accessibles. Cette démarche dessine une transformation profonde de nos stratégies et philosophies de travail.
Le Label Culture libre récompense et valide ces initiatives dédiées à l’open content et aux projets collaboratifs en musées...
Qui est Xavier Cailleau ?
Ayant intégré l'équipe de Wikimédia France en 2016 et travaillant depuis 2018 sur la question du rôle des projets Wikimedia dans les institutions culturelles, Xavier Cailleau accompagne de façon pédagogique les institutions ou réseaux qui souhaitent se lancer dans l'aventure.
Son rôle intègre un aspect pédagogique relatif à l'environnement Wikimedia et aux licences libres.
ID de réunion: 865 8027 7276
Code secret: 906367

Acquérir/ Approprier
SÉANCE 1 : Acquérir/ Approprier
L’Académie des Traces a pour ambition de mieux comprendre le défi sociétal majeur que représentent les collections coloniales conservées par les musées en Occident, indissociablement liées à une pluralité de mémoires toujours sensibles et souvent douloureuses.
L’Académie des Traces se propose de discuter les différents domaines du travail muséal en lien avec les collections coloniale: la recherche de provenance, les questions de restitution, d'exposition, de création artistique et de médiation, ainsi que de la politique de genèse des collections et des archives. Il s'agit de comprendre le fonctionnement mais aussi d’interroger, voire de remettre en question le traitement complexe et multidimensionnel des collections coloniales opéré par les musées et, grâce aux connaissances acquises, de développer de nouvelles formes de traitement et donc de contribuer à les changer pour construire les pratiques de demain.
Orchestré par une équipe internationale et interdisciplinaire, ce séminaire est ouvert à tous et à toutes (sur inscription uniquement), aussi n’hésitez pas à faire circuler l’information autour de vous. Les séances se dérouleront en anglais et en français grâce à une traduction simultanée.
La création contemporaine dans les écomusées et musées de société
Commençons par tordre le coup à quelques idées reçues ou véhiculées dans les médias, qui ont pu émettre l’hypothèse que les écomusées et musées de société, dans un contexte de crise existentielle, se tourneraient vers la création par conviction, effet de mode ou opportunisme.
Eh bien non, la rencontre entre les écomusées et musées de société et la création contemporaine n’est pas récente, qu’il s’agisse des arts
visuels, scéniques ou de l’écriture.
Sans remonter aux sources des musées d’ethnographie, où la main de l’artiste pouvait être déjà bien présente, rappelons l’appétence de la figure tutélaire de Georges Henri Rivière pour les artistes de son temps. L’exposition Voir, c’est comprendre, présentée au Mucem en 2018-19 montrait les connivences et les amitiés, les inspirations du muséologue, également musicien, mais aussi fin observateur de la société : il portait l’idée d’un musée inscrit dans son temps, avec tout ce qu’apportent les années folles, de l’art moderne au jazz et à la mode, de la photographie et du cinéma au music-hall, et comment cela peut rejaillir dans le musée ¹.
Aussi, le choix de faire du lien entre création contemporaine et musée de société s’est naturellement imposé comme légitime pour conclure ce cycle de rencontres consacré à la muséographie, après les deux éditions précédentes portant sur l’engagement et les héritages.
Cette rencontre, si elle s’inscrit dans la durée, dans le projet du musée, est riche de sens. À la différence d’un musée d’art où la création actuelle constitue généralement l’aboutissement naturel d’un propos, cette rencontre revêt, par la confrontation avec des objets relevant d’autres domaines, une autre valeur, discursive. Qu’attendons-nous donc de celle-ci ? S’agit-il de prolonger l’utopie de l’approche pluri ou transdisciplinaire des écomusées, de mettre en perspective nos collections ou de tisser des liens entre les objets et savoir-faire d’hier et ceux d’aujourd’hui ?
L’enquête lancée courant 2022 auprès du réseau sur le sujet, à laquelle un quart des adhérents a répondu, nous montre que les motivations varient selon les musées. Elles sont intimement liées à leur projet scientifique et culturel, leur territoire, et des formes d’actions spécifiques à chacun en découlent. Toutefois, quelques indicateurs nous montrent des tendances de fond : plus des trois quarts des répondants affirment réaliser des acquisitions dans le champ de la création, par don, achat, commandes ou résidences. Les formes artistiques couvrent un large champ, de la photographie à des œuvres monumentales qui prennent part à la scénographie. La mobilisation du corpus de collection est aussi souvent citée comme source d’inspiration pour les artistes : n’est-ce donc pas aussi un héritage de notre famille muséale à mieux assumer voire revendiquer, car au moment de leur création, de nombreux musées d’art et traditions populaires avaient été pensés comme des répertoires formels à même d’inspirer la création, voire d’en raviver le souffle.
En miroir de notre propre démarche, de nombreux artistes défendent le lien qu’ils souhaitent nouer avec un territoire, son histoire, ses habitants. Leurs créations se veulent souvent des révélateurs et leur démarche témoigne d’un engagement, rejoignant, par certains aspects, celui que nous défendons au sein du réseau.
Les textes rassemblés ici prolongent les échanges fructueux noués à l’occasion des Rencontres Professionnelles de la FEMS 2023 dans le Parc naturel régional des Vosges du Nord. Que tous les auteurs et autrices, ainsi que le comité éditorial soient chaleureusement remerciés de leur contribution.
Céline Chanas
Directrice du Musée de Bretagne
Vice-Présidente de la FEMS
L’ICOM lance un appel à candidatures pour le poste de directeur général (F/M/X)
Le Conseil international des musées (ICOM) a le plaisir d’annoncer le lancement de l’appel à candidatures pour le poste de directeur.trice général.e.
La décision de lancer un appel à candidatures pour le poste de directeur général est une initiative qui permet à notre organisation de renouer avec son engagement en matière de transparence, de légitimité et de diversité. Elle marque une étape décisive dans la promotion d’une nouvelle ère de gouvernance et de responsabilité au sein de l’organisation.
Figure clé du prochain chapitre de l’ICOM, le directeur.trice général.e sera chargé de superviser les opérations quotidiennes, de maintenir une communication efficace entre le secrétariat et les organes de gouvernance, et de favoriser les relations de collaboration avec les différentes parties prenantes.
Nous encourageons les personnes qualifiées et passionnées à postuler et à contribuer au dynamisme de l’ICOM et de la communauté muséale mondiale. L’ICOM s’engage à respecter l’égalité des chances et la diversité dans son processus de recrutement.
Date limite de candidature : 17 mars 2024
Peut-on tout exposer ? Les musées au cœur du débat contemporain
A VOS AGENDAS !!
Nouvelle soirée de débat déontologie le Mercredi 13 mars 2024 à partir de 18h sur la plateforme Zoom et dans l’auditorium Jacqueline Lichtenstein de l’Institut national du patrimoine (2 rue Vivienne – 75002 Paris).
Propos de la rencontre
La polémique née de la présentation de l’œuvre de Miriam Cahn, Fuck Abstraction, au Palais de Tokyo l’année dernière n’était pas une première dans l’histoire des expositions. Si elle peut apparaitre comme un nouvel épisode d’une série de réactions vives du public face à des œuvres perçues comme provocantes ou choquantes, sa très forte médiatisation témoigne de l’évolution de nos sociétés contemporaines. Dans un monde post-Me too profondément transformé, la parole s’est heureusement et légitimement libérée, et les émotions sont exprimées avec plus de force.
Plus largement et sur des sujets variés, les musées sont, aujourd’hui plus qu’hier, attendus et interpelés sur les œuvres et les artistes qu’ils exposent et sont invités à prendre position. Certes, ils ne sont pas les seuls dans le monde culturel. Littérature, théâtre ou cinéma sont également au cœur du débat. Mais ce qui fait la spécificité des musées dans cette discussion, c’est sans doute le fait que ceux-ci sont encore majoritairement perçus comme des lieux d’autorité, des institutions crédibles. Ils sont également des lieux de rassemblement, d’échanges, susceptibles de favoriser les débats.
Les sensibilités nouvelles et plurielles qui s’expriment obligent ainsi les professionnels à s’interroger sur leur rôle dans ce débat de société. Comment exposer des œuvres, objets, thématiques ou artistes dont on connait (ou suppose) la capacité à déranger, à choquer ? Comment faire face au risque de l’autocensure ? Quel appareil discursif les musées doivent-ils mettre à disposition des publics pour mieux contextualiser, mieux expliquer et répondre aux contradictions ?
La question de la légitimité de la prise de parole, du point de vue, de la place à faire à des voix autres au sein de l’institution muséale est également posée.
Aux Etats-Unis, une nouvelle réglementation fédérale, entrée en vigueur en janvier dernier, impose aux musées américains d’obtenir l’autorisation des populations autochtones avant d’exposer restes humains et artefacts. Les réactions et les réponses prises pour faire face aux attentes des publics, éminemment culturelles, témoignent de la diversité des prises de positions possibles. Comment les professionnels de musées doivent-ils se positionner dans ce contexte, face à une forme de polarisation ?
La nouvelle définition du musée réaffirme que nos institutions sont au service de la société : les musées ont en effet un rôle fondamental à jouer dans ce débat public toujours plus vif et moins nuancé. Tandis que des œuvres sont aujourd’hui jugées par certains « inconvenantes », « offensantes » ou « immorales », il est plus que jamais nécessaire de rappeler que les musées ont la responsabilité de s’extraire du seul registre émotionnel pour apporter des éléments de compréhension du monde et de mise en perspective.
La rencontre sera modérée par Dominique de Font-Réaulx, Conservateur général du patrimoine, Chargée de mission auprès de la Présidente du Louvre.
Liste des intervenants à venir...
Informations pratiques
Cette séance aura lieu simultanément :
- en présentiel dans l’auditorium Jacqueline Lichtenstein de l’institut national du patrimoine (INHA, 2 rue Vivienne – 750012 Paris)
- en distanciel sur plateforme numérique
Elle se tiendra simultanément en français, en anglais et en espagnol.
Événement ouvert à tous, sur inscription obligatoire.

Les Musées à l’heure de l’écologie
Face au dérèglement climatique, les musées, institutions ancrées dans la vie de la Cité, sont à un tournant de leur histoire, contraints de réinventer leurs modes d'actions, de pensée et de fonctionnement. Réduire l'empreinte carbone du musée devient alors essentiel. Ce sujet, apparemment technique, a de fortes incidences sur les normes de conservation, les conditions d'accueil des collections venues d'autres établissements, le déplacement du personnel et des visiteurs. Au-delà, il est essentiel d'interroger l'esprit du lieu : qu'est-ce qu'un musée ? Qu'est-ce qui fonde et valide son action publique. Quel peut être son apport dans les enjeux écologiques ?
L'écologie ne peut se résumer aux seules questions techniques. Elle offre aussi l'opportunité de penser autrement les musées, ces lieux de contenu et d'émotion, ces lieux où la rencontre, avec les collections et les autres, est favorisée. Car les musées ne sont pas qu'un conservatoire du patrimoine quel qu'il soit, artistique, scientifique, naturel, ethnologique ou historique, voué au seul plaisir esthétique et à la délectation. Ils sont des lieux uniques de délivrance de contenus issus de recherches et d'étude, des lieux d'expertises, des lieux crédibles, mais aussi des lieux d'émotions qui mobilisent notre corps tout autant que notre intellect. Les musées se doivent également d'assumer un rôle social et citoyen, en résonance avec les préoccupations de notre temps. Reflets de la société, ils permettent une ouverture sur le monde et sur les autres et un questionnement sur notre monde contemporain.
Cette double capacité -à la fois intellectuelle et émotionnelle- nous oblige envers la société. Les collections des musées doivent pleinement jouer leur rôle dans le débat écologique, comme passeur de sens ou source d'inspiration. Le contexte culturel, tout autant que naturel, de collecte, d'apparition ou de création des objets, spécimens et œuvres des collections éclaire notre présent.
Ce que nous conservons et exposons témoigne de nos choix de société et de leurs approches environnementales, et ces ressources sont essentielles pour interroger le passé, le présent, et pour imaginer le futur. Les musées ont la capacité de contribuer au débat public et de proposer des éléments de réponse aux interrogations de nos contemporains, jeunes et moins jeunes.
L'écologie culturelle interroge le lien direct entre nature et culture, une culture dans laquelle compte l'histoire de nos sociétés et nous aide à donner sens à nos destins collectifs et individuels. L'écologie a toute sa place dans tous les musées.
Patrick Scheyder, pianiste-auteur, Nicolas Escach, directeur du Campus des Transitions Sciences Po Rennes Caen pour l’ “Ecologie culturelle”, et Emilie Girard, présidente d’ICOM France
Signataires
- Gilles Bloch, président du Muséum national d’histoire naturelle
- Olivia Bourrat, directrice des collections et de la Recherche, Paris Musées
- Thomas Brancaleoni, président de l’AFROA
- Catherine Cuenca, présidente de l’AGCCPF
- Pierre-Olivier Costa, président du Mucem
- Boris Cyrulnik, neuropsychiatre et auteur
- Francis Duranthon, directeur du Muséum de Toulouse et représentant de la Conférence Permanente des Muséums de France
- Ophélie Ferlier-Bouat, directrice du musée Bourdelle
- Anne-Sophie de Gasquet, directrice de Paris Musées
- Bruno Girveau, directeur du Palais des Beaux-Arts de Lille
- Valérie Guillaume, directrice du Musée Carnavalet – Vice-Présidente d’ICOM France
- Bertrand Guillet, directeur du château Château des ducs de Bretagne - Musée d’histoire de Nantes- Mémorial de l’abolition de l’esclavage
- Philippe Guillet, directeur du muséum de Nantes
- Sabine Ischia, présidente de l’AMCSTI
- Hélène Lafont Couturier, directrice du musée des Confluences
- Paul Lang et Emilie Girard, direction des musées de la Ville de Strasbourg
- Juliette Raoul-Duval, présidente d’ICOM Europe
- Sylvie Ramond, directrice générale du pôle des musées d’art MBA I MAC LYON, directrice du musée des Beaux-Arts de Lyon
- Constance Rivière, directrice générale de l’Etablissement public du Palais la porte Dorée
- Judith Pargamin, directrice du musée d’histoire naturelle de Lille
- Clotilde Proust, présidente de la FFCR
- Xavier de la Selle, président de la Fédération des écomusées et des musées de société
- Laurent Védrine, directeur du Musée d’Aquitaine
- Olivia Voisin, directrice du musée des Beaux-Arts d’Orléans
SITEM - édition 2019
Le SITEM : l'écosystème culturel et touristique rassemblé pendant 3 jours à Paris
Véritable catalyseur, le SITEM est un événement unique pour le monde des musées et du tourisme culturel.
Spécialistes de l’équipement, de la valorisation et de l'innovation des musées, des lieux de culture et de tourisme : l’ensemble des professionnels de l’écosystème culturel et touristique est rassemblé pendant trois jours à Paris, dans le 13ème arrondissement, aux Docks – Cité de la mode et du design.
ICOM France sera présent sur le stand n°C53.