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La Photographie, outil et / ou finalité de l’exposition
Coordination scientifique : Beatrice Piazzi, ethnomuséographe, doctorante à l’Université d’Artois,
avec Isabelle Roussel-Gillet et Serge Chaumier (MEM).
Beatrice Piazzi : beatrice.piazzi[a]gmail.com / serge.chaumier[a]univ-artois.fr
En partenariat avec les deux associations professionnelles : Les Muséographes / Association Nationale des Iconographes (ANI)
A l’occasion de l’exposition présentée par le master MEM avec des collections du Centre Régional de la Photographie des Hauts-de-France accueillie à la Halle aux sucres de Dunkerque en mars 2019, se tient une journée d’étude professionnelle consacrée à la muséographie de la photographie.
La photographie est tantôt exposée pour elle-même, dans une démarche artistique, tantôt comme outil documentaire, témoignage, ou encore comme élément scénographique dans une exposition thématique. Elle n’est alors qu’un des éléments parmi d’autres des expôts convoqués. Pour autant son statut est particulier et sa charge présentielle souvent très forte donne à l’exposition un caractère marquant.
Nous nous intéresserons lors de cette journée d'étude aux problématiques rencontrées par les iconographes dans leur relation aux muséographes, mais aussi aux graphistes et scénographes. Les aspects éditoriaux, expographiques, de réception par les visiteurs, les enjeux de conservation mais aussi juridiques seront autant de points mis en relation avec le statut de l’image. Ce sera aussi l’occasion de traiter des logiques métiers, des interrelations et collaborations entre professionnels autour de la muséographie de la photographie.
Public cible de la journée : journée à destination de professionnels des musées, de l’exposition, de l’image et des étudiants en muséographie du master MEM, des professionnels en charge de la valorisation d’un fonds photographique dans le cadre d’exposition permanente ou temporaire en institution ou comme prestataire, et de tout professionnel acteur de l’élaboration d’une exposition (conservateur, commissaire/ muséographe, régisseur, artiste photographe, documentaliste, chercheur, juriste, iconographe, graphiste, agence).
Inscription gratuite sur réservation en envoyant un mail à : journee.etude.mem@gmail.com
"Culture du réseau, réseaux de la culture"
Les Rencontres professionnelles sont organisées annuellement autour de deux journées d'études thématiques. Ce congrès national, ouvert à l'ensemble des professionnels de la culture et du tourisme, chercheurs et étudiants, se veut un moment d'échange, de débat et de partage autour de nos pratiques professionnelles. Il comprendra pour cela des tables rondes, des échanges d'expériences, des visites de sites, l'intervention de chercheurs, mais aussi l'intervention d'acteurs de la société civile et des ateliers participatifs.
Plus d'informations sur le programme en ligne :
Contact : contact[a]fems.asso.fr / 04 84 35 14 87
www.fems.asso.fr
Les petits spécimens 3
Les petits spécimens est le rendez-vous annuel du Signe avec les familles et le jeune public.
À l’occasion de sa troisième édition, le parcours et ses ateliers vous invitent à organiser et bâtir ensemble une véritable ville à l’intérieur du Signe !
Commissariat : Marion Bataille, EXTRA et Fanny Millard
Accès libre et gratuit, ouvert du mercredi au dimanche de 14h à 18h. 7j/7
Pour plus d'informations : 03 25 35 79 01 ou contact[a]cndg.fr
Les réserves sont-elles le cœur des musées ?
Retrouvez l'intégralité de cette soirée-débat déontologie en vidéos
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Retrouvez la publication de la synthèse de la soirée
Publication
Ce cycle propose de débattre des questions vives qui font l’actualité des musées sous l’angle des pratiques déontologiques définies par ICOM.
Les réserves sont-elles le cœur des musées ?
En trente ans, la muséographie - c’est-à-dire la mise en scène, dans un parcours conçu pour être attractif et intelligible, d’objets emblématiques, fruits d’une savante sélection dans les « collections » - a pris une place décisive et conduit en réserves nombre d’œuvres ou d’objets ne remplissant pas ces conditions. Les enjeux relatifs à l’exposition, l’étude et la transmission du patrimoine comme les problématiques liées à l’acquisition et à la constitution des collections ont toujours retenu l’attention des professionnels mais les pratiques de conservation restent encore peu étudiées alors même que le modèle du musée se diffuse, s’exporte, se transforme profondément, entrainant la volonté d’étudier à la fois la face publique du musée mais aussi ses coulisses encore trop souvent méconnues.
Comment concilier accessibilité et sécurité des collections ? Comment rendre visible la part invisible des collections ? Espace actif, les réserves ne peuvent l’être que si les conditions de la visite ne portent pas préjudice aux objets. Il faut donc les rendre « visitables » en les sécurisant, en protégeant les objets fragiles des poussières et de toutes les pollutions. La conception de telles réserves n’a, évidemment, plus rien à voir avec les « greniers» qu’elles évoquent encore souvent aux yeux du public. Une conception qui requiert elle-même de très solides compétences d’architectes, de programmistes, d’économistes, de logisticiens... : aujourd’hui, un projet de réserve est au moins aussi complexe qu’un projet de musée et pas toujours moins coûteux...
L’enjeu est de concevoir des projets ouverts et innovants, qui prennent pleinement leur place dans les programmes scientifiques et culturels des musées. Quels sont les leviers d’innovation ? C’est à ces projets que se propose de se consacrer la prochaine soirée déontologie INP/ICOM France.
Le débat se déroulera autour de trois questions :
- Les innovations professionnelles et techniques, notamment en matière de sécurité des collections, de conditions de conservation et restauration, de capacité de travail scientifique sur les objets, de principes organisationnels
- Les aspects économiques : quelles sont les composantes du coût de conception et de rénovation de réserves, les enjeux de mutualisation et d’externalisation...
- Les aspects culturels et sociaux : les projets en cours, des sites architecturaux à part entière ? Pour quels publics ? Quel outil/rôle pédagogique pour des futurs professionnels, comment associer des partenaires ? Quelle médiation pour les réserves ? Comment sensibiliser des élus à ces investissements ?
© Photo by Matt Seymour on Unsplash
Quel rôle pour les communautés dans la gestion du patrimoine ?
Le ministère de la Culture, le ministère en charge de la Recherche, l'Agence nationale de la recherche et la Fondation des Sciences du Patrimoine organisent le 4 avril 2019 une journée thématique dans le cadre de leur participation à l'Initiative de Programmation Conjointe sur le patrimoine culturel (JPI-CH). La coordination de cette Initiative européenne est assurée, depuis novembre 2018, par le ministère de la Culture (direction générale des Patrimoines).
Cette journée a pour thème « Quel rôle pour les communautés dans la gestion du patrimoine ? ». Cette question des communautés sera abordée à des échelles différentes, en identifiant les types de communautés engagées, tout en décrivant un large éventail de stratégies élaborées pour assurer leur implication, participation et collaboration à la gestion du patrimoine culturel. Il s’agira, à travers trois sessions, d’examiner comment ces communautés assurent la participation des citoyens à la gestion du patrimoine culturel à travers la construction et le partage des savoirs.
Cette journée a pour objectifs de faire mieux connaître les recherches européennes financées par la JPI-CH, de faciliter les synergies avec des projets français, et d’identifier, suite aux débats, des thématiques orphelines qui pourraient faire l’objet d’appels à projets conjoints, ou de réponses coordonnées aux appels à projets européens, notamment dans le cadre du futur programme Horizon Europe.
Participation gratuite sur inscription obligatoire :
"Musées et développement local"
Un appel à contribution vient d’être publié pour le prochain numéro de Museum International.
Le prochain numéro (Vol. 71, No. 283-284) préparé par l’ICOM sera consacré au thème « Musées et développement local ». Tous les résumés d'articles reçus seront évalués afin de juger de leur pertinence, et les articles, sélectionnés, seront soumis à un processus d'évaluation par des pairs (en lecture anonyme). La date prévue pour la publication du numéro, en collaboration avec Taylor&Francis/Routledge, est fixée au mois de décembre 2019.
L'ICOM et l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) se sont réunis afin d'envisager ensemble le rôle des musées en matière de développement local. À cette fin, les deux organisations ont élaboré le Guide for Local Governments, Communities and Museums (Guide pour les administrations locales, les communautés et les musées), une feuille de route destinée aux administrations locales, ainsi qu’aux musées et aux professionnels de musée sur la mise en œuvre conjointe d’un programme de développement local en vue d'un avenir plus durable.
Le lancement du guide a eu lieu lors de la conférence de l'OCDE à Venise en décembre 2018, où des participants du monde entier se sont interrogés sur les différentes manières dont la culture pouvait servir de levier du développement économique, du bien-être des communautés et d'un avenir collectif durable, tant en milieu rural qu'en zone urbaine.
Pour ce numéro de Museum International, nous espérons la participation de toute la communauté muséale internationale, afin d'approfondir la réflexion portant sur le rôle des musées dans la promotion du bien-être et de la durabilité sociale au sein des communautés locales. Notre objectif est d'examiner ce qui est entendu par "bien-être" dans différents contextes à l’international, en même temps que le rôle des musées. Et ce, en envisageant l'élaboration de stratégies de collaboration avec le secteur de la santé, en travaillant à accroître le bien-être collectif, tout en assurant une durabilité culturelle et environnementale.
Les résumés d'articles, consacrés aux initiatives populaires et soutenant les communautés locales, seront en particulier les bienvenus. En effet, notre ambition est de représenter, dans ce débat, toutes les régions du monde, afin d’amplifier la portée des actuelles discussions et recommandations sur le développement local.
Dans ce numéro, parmi les pistes de réflexion sur le développement local :
- santé et bien-être
- renforcement de l’autonomie des collectivités
- engagement en faveur de l'insertion et de la cohésion sociales
- environnement et changement climatique
- développement et économies éthiques
- esprit d'entreprise, et innovation
- gestion des musées dans le cadre du développement local
- gouvernements locaux et politique des musées
Cette liste n'est cependant pas exhaustive, et d'autres approches pertinentes sont susceptibles d’être acceptées.
La date limite d’envoi des résumés d’articles est fixée au 11 avril 2019. Merci d’écrire à publications@icom.museum
Pour plus d'informations sur le processus de sélection et sur la structure attendue d'un résumé d'article pour Museum International :
Débat "Restituer ? Les musées parlent aux musées"
Le comité national français du Conseil International des Musées - ICOM France - a réuni le 20 février 2019 les professionnels de son réseau pour échanger autour du rapport « Restitution du patrimoine culturel africain. Pour une nouvelle éthique relationnelle », remis par Bénédicte Savoy et Felwine Sarr au Président de la République.
ICOM France avait, avec l’accord de ses auteurs, mis en ligne ce rapport très attendu par la profession, dès sa remise au président de la République le 23 novembre 2018.
De nombreuses questions sont vite apparues et les membres d’ICOM France ont émis le souhait d’en débattre entre professionnels de musées : au-delà des convictions exprimées par le rapport sur les objets acquis en Afrique subsaharienne pendant la période de la colonisation - convictions que certains professionnels, en tant que citoyens, peuvent ou non partager - la profession a été frappée de constater que les musées ne sont pas au cœur du propos, alors même que les objets concernés sont dans leurs collections, conservés, documentés, restaurés, le cas échéant exposés dans les établissements muséaux.
La session, comme toutes les sessions d’ICOM France, s’adressait à tous les professionnels de musées, quels que soient leur fonction dans leur institution et leur niveau dans la hiérarchie. S’agissant de la question présentement posée par les restitutions, même si les fonctions scientifiques et de conservation sont concernées au premier chef, tous les autres métiers le sont aussi : les médiateurs quand il s’agit de répondre aux questions des publics, les archivistes et les photographes quand il s’agit de documenter les objets, les muséographes quand il s’agit d’en mettre en scène le récit, les régisseurs quand il s’agit de les mouvoir, les juristes quand il s’agit d’appliquer la loi, les responsables des relations internationales, de la communication...
La participation des publics au débat a été significative, avec 140 inscrits. Les orateurs de la soirée-débat ont été choisis pour représenter des musées dépositaires de collections visées par le champ du rapport : le musée du Quai Branly à Paris et trois musées en région (Angoulême, Rochefort, Nantes). Il nous a semblé aussi essentiel que les collections d’histoire naturelle - même si elles ne sont pas évoquées dans le rapport - soient représentées (Muséum de Nantes) eu égard à l’importante présence de ressources provenant de la période coloniale. Les aspects juridiques (loi, code du patrimoine, conventions internationales...) ont été présentés par la représentante du service des musées de France (direction générale des patrimoines - ministère de la Culture). ICOM était représenté par son directeur général dans la salle et la modération de la table ronde était assurée par la présidente d’ICOM France.
L’objet de la réunion a été rappelé en introduction :
I - Donner aux professionnels des clés de lecture du rapport afin qu’ils puissent s’en saisir et en débattre dans leurs propres établissements et avec leurs partenaires, notamment pour établir de meilleurs rapports avec les musées africains ;
II - Faire, le cas échéant, des propositions et recommandations professionnelles constructives.
I – La table ronde s’est déroulée au fil de sept questions :
- Collections patrimoniales, inaliénabilité, restitutions : que dit la Loi ?
- Périmètre du rapport : pourquoi l’Afrique subsaharienne ? Pourquoi cette période ? Pourquoi se limiter aux objets d’art, sans considérer les collections d’histoire naturelle ?
- Provenance des collections : comment chaque établissement organise-t-il concrètement le travail d’histoire et de documentation ? Ce travail est-il justement valorisé et partagé?
- Quelles règles de l’art sont préconisées en matière de circulation et conservation préventive des œuvres sensibles ? Sont-elles universellement (ou généralement) respectées entre prêteurs et emprunteurs ?
- Place des publics : comment les associer ?
- Les musées sont désormais partie prenante de la diplomatie culturelle. Est-ce un déplacement de leur cœur de métier ? Le rapport suggère que conserver des objets de la période coloniale participe d’entretenir l’esprit de colonisation. Dès lors, se séparer des objets serait-il le premier acte d’une nouvelle éthique ?
- Comment les ambitions de partage culturel et de paix qui fondent toute réflexion sur les restitutions peuvent-elles être l’occasion de coopérations fructueuses et enrichies avec les institutions qui mettent en valeur les œuvres de par le monde ?
II - Propositions et recommandations professionnelles :
- Valorisation du travail scientifique sur les collections
- Soutenir le travail scientifique sur les provenances, les disparités d’origines et les processus d’acheminement, et lui donner une reconnaissance, par le moyen d’un fonds dédié pour la recherche sur les provenances des biens culturels (cf. exemple allemand) ou d’un programme de recherche public dédié.
- Lancer un appel d’offre de recherche sur les collections issues de la période coloniale, favorisant explicitement les recherches menées conjointement par des professionnels de musées et des chercheurs institutionnels ou universitaires. Ces recherches devraient toutes comporter une dimension de comparaison internationale.
- Formation initiale
- Promouvoir les études en matière d’histoire de l’art africain, que l’actuel manque de débouchés ne rend pas attractives.
- Formation professionnelle et tout au long de la vie
- Concevoir une formation professionnelle spécifique pour tous les professionnels de musées dépositaires de collections provenant de contextes coloniaux. Cette formation permettrait de distinguer les différentes catégories de collections, comporterait une base historique de nature à comprendre les enjeux, donnerait des clés de dialogue avec les visiteurs ou partenaires.
- Favoriser les échanges croisés (définir un cadre de travail adapté) de professionnels de musées français et africains.
- Information des publics
- Promouvoir le rôle éducatif des musées en accordant une place prépondérante à la pédagogie du récit et à la contextualisation.
- Concevoir des outils de communication à destination des publics, tels que brochures ou panneaux. Ces outils seraient communs à tous les musées, validés par une instance ad hoc, et utilisés dans les établissements si besoin. Se rapprocher des collègues des musées d’Afrique subsaharienne et de la diaspora pour cette présentation.
- Diplomatie culturelle
- Les musées sont des acteurs de la diplomatie culturelle, mais ne sont pas des entités politiques. Sensibiliser les acteurs publics ou privés, élus ou responsables nationaux ou territoriaux au rôle de conservatoires et de lieux d’échange des cultures. Structurer l’analyse des demandes de restitutions en fonction de l’instruction des conditions historiques réelles des provenances d’objets.
- Pérenniser les échanges scientifiques entre institutions muséales, clé de la réponse politique à l’enjeu d’instaurer de nouvelles relations internationales : renforcer le dialogue entre les musées, par la mise en place de chantiers communs des collections, de bases de données communes, de partage des savoirs entre professionnels (notion de rapatriation of knowledge).
- Expliciter davantage et soutenir le principe d’universalité des collections des musées, comme gage du dialogue entre les cultures et élément défiant les tentations de replis identitaires. Ce principe est promu par le code de déontologie de l’ICOM, traduit dans 36 langues, lien entre ses 40 000 adhérents dans les 135 pays membres.
- Lois et règlementations
- Rassembler en un fascicule unique les principaux textes formant le cadre juridique international et national concernant les collections patrimoniales issues ou non des contextes coloniaux, et les possibilités de restitution existantes le cas échéant dans le droit, pour en permettre une meilleure connaissance par les professionnels des musées. Ce document pourrait comporter pour certains points un tableau comparant les situations de différents pays.
- Renforcer l’utilisation des diverses possibilités de circulation des œuvres, y compris prêts et dépôts.
La discussion se prolongera sur le territoire avec la synthèse des débats, qui sera publiée sur le site d’ICOM France dès le mois d’avril. Elle sera suivie d’un colloque de deux journées qui associerait les collègues des principaux pays dépositaires de collections issues des périodes coloniales et les pays d’origine de ces objets.
Les intervenants :
Claire Chastanier, adjointe au sous-directeur des collections, service des musées de France, direction générale des patrimoines
Philippe Guillet, directeur du muséum d’histoire naturelle de Nantes
Yves Le Fur, directeur du département du patrimoine et des collections du musée du Quai Branly – Jacques Chirac
Emilie Salaberry, directrice des musées et archives de la ville d’Angoulême
Claude Stefani, directeur des musées municipaux de Rochefort
Modération : Juliette Raoul-Duval, présidente d’ICOM France
© Musée d'Angoulême, Creative Commons CC BY-SA 3.0
"Développer la résilience et renforcer la pertinence des échanges d'expositions"
Du 1er au 7 septembre, aura lieu à Kyoto la conférence annuelle d'ICEE, lors de la 25e Conférence Générale d'ICOM.
Pour sa conférence annuelle 2019, ICEE a choisi pour thème "Développer la résilience et renforcer la pertinence des échanges d'expositions". Ce sujet fait écho au thème général de la 25e Conférence Général d'ICOM à Kyoto ("Les musées, plateformes culturelles : L' avenir de la tradition").
La conférence annuelle d'ICEE propose d'étudier comment les expositions participent de manière déterminante à faire du musée une plateforme culturelle, en l'aidant à développer sa résilience et à renforcer sa pertinence, face à une offre culturelle de plus en plus concurrentielle.
Plus d'informations sont à votre disposition concernant le thème de la conférence annuelle et les procédures pour soumettre votre contribution, via l'appel à contributions d'ICEE, en ligne.
La date limite de contribution est le 8 avril 2019 au lien suivant.
Journée internationale de la Francophonie
Participez à la Journée internationale de la Francophonie !
A l'occasion de la Journée internationale de la Francophonie, ICOM France invite tous les professionnels de musées francophones à valoriser leur institution.
Le 20 mars 2019, partagez sur Twitter une photo de votre musée avec un des logos de la Journée internationale de la Francophonie (pièces à télécharger ci-dessous). Ajoutez à votre message les mots-dièse #mon20mars ou #malanguefrançaise et identifiez @OIFfrancophonie et @ICOMFrance.
Vous prendrez part ainsi à la diffusion du savoir-faire muséal et rendrez visibles les compétences des professionnels de musées francophones de l'ICOM à travers le monde.
Comme le souligne Louise Mushikiwabo, Secrétaire générale de la Francophonie,
"#malanguefrançaise, c'est cette langue qui unit les 88 Etats et gouvernements membres de la Francophonie autour de valeurs partagées et de défis à relever ensemble.
C'est cette langue qui dépasse les frontières géographiques [...] qui tisse tant d'amitiés et crée de si belles synergies dans notre grande famille francophone.
#malanguefrançaise, c'est une langue de solidarité et de développement, c'est la langue de l'éducation, de l'accès au savoir, de la formation professionnelle [...]. C'est la langue de l'échange et du partage des bonnes pratiques".
Et vous, professionnels de musées membres du réseau ICOM, quelle est votre langue française ?
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Comme le souligne Louise Mushikiwabo, Secrétaire générale de la Francophonie,
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C'est cette langue qui dépasse les frontières géographiques [...] qui tisse tant d'amitiés et crée de si belles synergies dans notre grande famille francophone.
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