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"Chaumont, ville nouvelle"
Chaumont ville durable et sans voiture ?
Venez imaginez et fabriquer la maquette de cette nouvelle ville ! Une sortie sera prévue pour observer les différentes époques architecturale de la ville de Chaumont depuis le Panorama du Square Philippe Lebon.
En partenariat avec le CAUE (Conseil d'Architecture, d'Urbanisme et de l'Environnement).
Pour toutes réservations : resa@cndg.fr ou 03 25 35 79 01
Atelier limité à 12 participants
GRATUIT SUR RÉSERVATION
Pour les 6-12 ans : 10 et 12 avril
Pour les 13 ans et plus : 11 avril
14h / durée 2h30
"Et toi, t'en dis quoi ?"
En lien avec le parcours jeunesse "Tout en un", le Signe organise une session Ciné-débat.
Après la projection du court-métrage Antipoden de Frodo Kuipers, place au débat ! Les enfants seront invités à la discussion sur les thèmes du film : quotidien, routine, espace privé / public et vivre-ensemble.
Un moment pour s'exprimer en toute liberté.
Pour toutes réservation ou renseignement : resa@cndg.fr / 03 25 35 79 01
Mercredi 20 mars Gratuit sur réservation
Pour les 5-8 ans 14h30 / durée 1h
Fête de fin de parcours : Chasse aux histoires
La compagnie La Cour des Contes propose une fin festive pour les enfants et les familles. À travers une véritable chasse aux histoires dans les différents espaces du Signe, cette journée sera l'occasion pour petits et grands d'explorer l'imaginaire de la ville.
Dimanche 28 avril
Accès libre et gratuit
14h30 - 16h30 : Chasse aux histoires
16h30 - 17h30 : Goûter
Musées et droits culturels

À Rennes, le 8 février 2019, la journée d’étude co-organisée par ICOM France et les Champs Libres-musée de Bretagne visait à donner des clés de lecture théorique de la notion de droits culturels, puis à engager l'échange sur les pratiques de chacun. De manière concrète, il s'agissait aussi de relire ensemble notre Code de déontologie par le prisme des droits culturels.
Cette thématique des droits culturels a permis de questionner l’écosystème muséal, depuis le processus d’acquisition jusqu’à la gouvernance en passant par l’implication des publics.
Retrouvez l’intégralité de cette rencontre en vidéos ci-dessous :
Pour l'abrogation de la classification de l’azote comme substance active biocide
Déclaration commune / Appel ICOM-ICOMOS
en vue de l’abrogation immédiate de la classification de l’azote en tant que substance active biocide pour les applications de préservation du patrimoine culturel dans l’UE
En référence au règlement (UE) n ° 528/2012 du Parlement européen et du Conseil du 22 mai 2012 concernant la mise à disposition sur le marché et l’utilisation de produits biocides.
L’azote est inclus dans l’annexe I du règlement ci-dessus, mais est limité aux utilisations en quantités limitées dans des cartouches prêtes à l’emploi. Cette restriction doit être supprimée et la possibilité que l’azote soit autorisé comme produit biocide par le biais de la procédure d’autorisation simplifiée, l’azote jouant un rôle essentiel dans l’élimination de l’infestation par les insectes des objets du patrimoine culturel, meubles ou immeubles.
Au cours des dernières décennies, de plus en plus de musées et d’institutions du patrimoine culturel en Europe se sont détournés de la lutte chimique potentiellement dangereuse pour adopter une gestion intégrée des nuisibles.
L’IPM utilise l’anoxie ou des atmosphères modifiées / contrôlées pour le traitement d’une atmosphère ou d’une atmosphère très pauvre en oxygène dans une chambre ou une tente dans le but d’éliminer l’infestation par des insectes sur des objets du patrimoine culturel, meubles ou immeubles, à tous les stades de développement. Les différentes atmosphères modifiées / contrôlées incluent les gaz inertes (par exemple l’azote, l’hélium, l’argon) et le dioxyde de carbone, l’azote étant le gaz le plus fréquemment utilisé.
Le déplacement de l’oxygène atmosphérique est une méthode bien établie. Il n’y a pas d’alternative équivalente en termes de protection de la préservation et de santé humaine, tant pour le personnel que pour les visiteurs des institutions du patrimoine culturel. La procédure est incluse dans la norme européenne EN 16790: 2016 Conservation du patrimoine culturel – Gestion intégrée des nuisibles pour la protection du patrimoine culturel. La GPI est actuellement utilisée dans le monde entier, elle est plus durable et réduit considérablement les risques pour les objets du patrimoine et pour les professionnels qui les traitent.
De nombreuses institutions ont investi dans leurs propres chambres de traitement pour la désinfestation anoxique, à la fois pour l’élimination prophylactique et pour les organismes nuisibles aigus. Avec l’extension de l’enregistrement obligatoire de l’azote généré sur site à partir de septembre 2017 par le règlement sur les produits biocides EU 528/2012, ces installations ne peuvent plus être exploitées. En conséquence, les institutions du patrimoine culturel sont confrontées au risque grave que le patrimoine culturel soit endommagé ou irrémédiablement perdu, ou que les biocides organochlorés traditionnels connaissent un renouveau immérité.
En résumé, l’interdiction relative à l’azote n’est pas justifiée pour des raisons de santé. Il est mauvais pour la communauté de la conservation du patrimoine culturel de disposer de moins de choix en matière d’interventions thérapeutiques, le traitement anoxique étant l’un des plus compatibles avec de nombreux matériaux et objets. Enfin, cette interdiction nuit également au marché des acteurs européens de la gestion intégrée de la propriété intellectuelle, en favorisant des traitements moins durables et plus risqués.
Par conséquent, l’ICOM et l’ICOMOS appellent conjointement les ministères nationaux, le Parlement européen et le Conseil à abroger dès que possible la classification de l’azote en tant que substance active biocide dans l’ensemble de l’Union européenne. Nous préconisons une solution dans laquelle l’utilisation de l’azote à des fins spécifiques pour la préservation du patrimoine culturel est ratifiée pour l’ensemble de l’Union européenne.
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Le Conseil international des musées (ICOM) est la seule organisation internationale de musées et de professionnels des musées. Il s’engage dans la recherche, la conservation, la poursuite et la communication à la société du patrimoine naturel et culturel mondial, présent et futur, matériel et immatériel.
L’ICOM est une association de membres et une organisation non gouvernementale qui établit des normes professionnelles et éthiques pour les activités des musées. En tant que forum d’experts, il formule des recommandations sur des questions liées au patrimoine culturel, favorise le renforcement des capacités et fait progresser les connaissances. L’ICOM est la voix des professionnels des musées sur la scène internationale et sensibilise le public à la culture par le biais de réseaux mondiaux et de programmes de coopération.
Faits et chiffres de l’ICOM (décembre 2018)
40 860 professionnels dans 138 pays, 120 comités nationaux, 30 comités internationaux
Le Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS) œuvre à la conservation et à la protection des lieux du patrimoine culturel. C’est la seule organisation non gouvernementale mondiale de ce type qui se consacre à la promotion de l’application de la théorie, de la méthodologie et des techniques scientifiques à la conservation du patrimoine architectural et archéologique.
L’ICOMOS est un réseau d’experts bénéficiant de l’échange interdisciplinaire de ses membres, parmi lesquels des architectes, historiens, archéologues, historiens de l’art, géographes, anthropologues, ingénieurs et urbanistes.
Les membres de l’ICOMOS contribuent à l’amélioration de la préservation du patrimoine, des normes et des techniques de chaque type de bien du patrimoine culturel: bâtiments, villes historiques, paysages culturels et sites archéologiques.
Faits et chiffres de l’ICOMOS (février 2019)
10 546 membres individuels dans 151 pays, 271 membres institutionnels, 107 comités nationaux, 28 comités scientifiques internationaux
"Le futur de la tradition en muséologie"
Dans le cadre de la 25ème Conférence générale de l’ICOM, ICOFOM tient sont symposium sur le thème « "Le futur de la tradition en muséologie".
Les articles devront intégrer la thématique décrite dans les pages qui suivent, ne pas dépasser 12.000 caractères (y compris les références) et suivre les règles typographiques d’ICOFOM (de type APA) qui peuvent être trouvées dans les trois langues en cliquant sur ce lien.
Tous les articles devront être soumis à icofomsymposium@gmail.com pour le 15 mars 2019 (inclus). Les articles peuvent être dans l’une des trois langues de l’ICOM: Anglais, espagnol ou français. Cependant, la langue de travail durant le symposium sera l’anglais.
Le comité organisateur se charge de:
- Réceptionner les articles le 15 Mars et délivrer un accusé de réception avant le 20 Mars 2019,
- Faire respecter la procédure de relecture des articles et les transmettre anonymisés au comité de sélection du symposium qui procédera à leur évaluation,
- Informer les auteurs à propos de la décision du comité de sélection avant le 20 Avril 2019.
- Envoyer les pré-actes avec les articles sélectionnés à tous les auteurs participant au colloque, en août 2019.
- Après le symposium, choisir les meilleurs articles pour proposer à leur auteur une version plus élaborée, dans ICOFOM Study Series, vol. 48.
Cette proposition sera notifiée dans les deux mois après le symposium.
Toute question peut être envoyée à icofomsymposium@gmail.com
"Documenter la culture : une culture de documentation"
A l'occasion de la 25ème Conférence Générale de l'ICOM à Kyoto, au Japon, CIDOC tiendra sa conférence annuelle du 2 au 5 Septembre 2019.
La réunion de quatre jours comprendra deux sessions conjointes avec le Comité international pour le développement des collections (COMCOL) et avec le Comité international des musées et collections d'instruments de musique (CIMCIM), ainsi qu'une journée de visite et de présentations au musée d'art d'Otsuka ouverte à tous.
Le thème de la conférence annuelle du CIDOC 2019 est Documenter la culture : une culture de documentation. Le thème est lié au thème de la Conférence Générale, qui est Musées, plateformes culturelles : l'avenir de la tradition.
« Documenter la culture » a l’intention d'inspirer les propositions qui traitent du rôle des musées en tant que plateformes d'information, tandis que « Une culture de la documentation » vise à réfléchir sur le rôle de la documentation dans l'avenir. Le thème invite également les propositions à débattre de la complexité culturelle des pratiques de documentation alors que les musées cherchent de plus en plus à harmoniser et à relier les informations des collections. Enfin, les considérations liées à la prolifération et à l’acquisition de multiples, y compris des fichiers et des copies numériques, seront au cœur de la discussion.
La journée du CIDOC au musée d'art d'Otsuka sera sur le thème de la Copie, de la reproduction, et de la culture de clonage. En plus des sessions du CIDOC sur les thèmes liés à Documenter la documentation, et une Culture de la documentation, la conférence annuelle comportera deux sessions spéciales : sur la Documentation de la musique (en collaboration avec CIMCIM) et sur Les traditions, les collections, les systèmes de gestion et les outils numériques (en collaboration avec COMCOL).
Les propositions sur l'un de ces thèmes sont particulièrement bienvenues.
Conférence Annuelle du CIDOC : Documenter la Culture : une culture de la documentation
Le thème de la conférence annuelle CIDOC veut attirer l'attention sur le côté humain de la documentation, dans laquelle individus, institutions, coutumes, traditions et croyances peuvent grandement influencer la pratique de la documentation. Ça peut être le cas de la traduction des informations sur les collections où l’interprétation du langage et la signification des mots peuvent influencer la recherche, la traduction et l'indexation des collections.
Une autre forme de documentation qui pose des problèmes récurrents est la représentation des connaissances de collections matérielles et du patrimoine immatériel spécifiquement dans les données informatiques. Des exemples peuvent venir de la documentation des ‘media arts’, des jeux vidéo, de l’animation, et des arts de la scène.
Journée au musée d'art d'Otsuka : Copie, reproduction et culture de clonage
Les copies ne sont pas un phénomène nouveau. Les copies reconnaissaient déjà le talent artistique dans l'Empire romain, puis elles ont ensuite servi à transmettre les connaissances et la découverte de la Renaissance, et ont été acquises par de riches collectionneurs jusqu'au XIXe siècle. Aujourd’hui de nombreux musées possèdent des reproductions, comme des estampes, des photographies, et des sculptures. Les grottes de Lascaux, par exemple, démontrent un des avantages des copies : augmenter l’accès tout en préservant les originaux.
Récemment, la reproduction numérique a mis en évidence le côté problématique de la nature des copies, qui peut réduire l'authenticité. La pénurie restera-t-elle un élément important déterminant la valeur ? Les copies pourront-elles apporter des avantages utiles aux musées dans l'avenir ? Ou bien les copies peuvent-elles avoir de la valeur de part elles-mêmes ? On peut notamment penser à la manière dont les performances musicales sont « copiées » chaque fois qu’elles sont interprétées.
Séance conjointe avec le COMCOL : Traditions, Collections, Systèmes de Gestion et Outils Digitaux
La question de la documentation est importante. Comme le dit le CIDOC : la documentation est essentielle à tous les aspects des activités d'un musée. Des collections sans documentation adéquate ne sont pas de véritables collections de "musées". Le retour d’expérience montre qu’aujourd’hui les collections de musées présentent plus d’intérêt et d’importance pour le public qu’auparavant, mais il reste fort à faire pour rendre les collections accessibles et intéressantes au public. Comment les systèmes traditionnels de gestion de la documentation et des collections peuvent-ils évoluer à mesure que les besoins de connaissances contextuelles des collections vont grandissant ainsi que la nécessité de rendre les collections publiques et intéressantes en ligne ? Comment la documentation peutelle fournir accessibilité pour le public ? La numérisation, les flux de travail numériques, et les méthodes de présentation utilisant les nouvelles technologies - comme vu dans son ensemble - ont besoin d’être basés sur la documentation et les normes et, de faisant, pourraient permettre un accès beaucoup plus large. Quelles sont les stratégies numériques pour travailler avec les collections ? Comment les normes sont-elles reflétées dans les stratégies numériques ? Y a-t-il des exemples de bonnes pratiques ?
Séance conjointe avec CIMCIM : Documenter la musique
La documentation est un outil important pour faire progresser la standardisation et la professionnalisation de l'utilisation et de la conservation du patrimoine musical dans les musées. Les répertoires de musique, ainsi que les catalogues, classifications, thésaurus et autres registres contribuent tous à l'harmonisation du domaine, mais ils attirent surtout l'attention sur le riche patrimoine musical conservé dans les musées. Bien que la documentation de l’aspect tangible du patrimoine musical soit plus développé, son aspect immatériel comporte les éléments clés permettant de créer la musique : comment les instruments sont-ils fabriqués, conservés et joués ? Quels rôles jouent les instruments dans certains contextes sociaux ? Comment l'histoire d’une région peut-elle être cartographiée à travers la musique ? Et comment documenter l'héritage musical ? Voici des questions qui peuvent servir à inspirer notre discussion lors d'une session conjointe spéciale entre CIMCIM et CIDOC.
CIMCIM et CIDOC invitent conjointement à des présentations sur la documentation du patrimoine musical matériel et immatériel. En particulier, nous aimerions inviter des contributions qui tiennent en compte les défis de la documentation de l’aspect immatériel du patrimoine musical. L'objectif de la session conjointe est d'identifier les approches actuelles en matière de documentation du patrimoine musical immatériel et de définir des thèmes potentiels pour une future collaboration.
Langues de travail de la conférence : Anglais
Les contributions sur un sujet lié au thème de la conférence peuvent être soumises dans l’un des formats suivants :
- Papier complet (20 minutes plus temps pour questions)
- Papier court (10 minutes plus temps pour questions)
- Présentation de poster
Nous vous invitons à soumettre un résumé pour votre proposition de communication. Un groupe international d'experts examinera tous les résumés. Les propositions doivent être rédigées en anglais et doivent être au format électronique (de préférence au format PDF).
Les résumés doivent compter entre 250 et 300 mots et doivent être formatés simplement (de préférence Times New Roman, 12 pt, à double interligne).
Veuillez inclure les informations suivantes au début du résumé :
Titre, auteur(s), affiliation(s), - informations de contact (y compris adresse e-mail).
La date limite de soumission des contributions est le 29 mars 2019. Les propositions doivent être envoyées à cidoc.info@gmail.com.
Pour une résidence de jeunes chercheurs dans un musée
Appel à projet pour une résidence de jeunes chercheurs de 6 mois en musée.
Sont concernés le musée national de la Renaissance d’Ecouen, le Musée d’Archéologie National de Saint-Germain-en-Laye et les musées de la ville de Marseille.
Contexte :
Pour la deuxième année consécutive, le ministère de la Culture propose des résidences de jeunes chercheurs en musées pour promouvoir des rencontres interdisciplinaires et apporter un regard inattendu sur les collections.
Cette année, le musée national de la Renaissance – château d’Ecouen, le musée d’archéologie nationale – Domaine de Saint-Germain-En-Laye, ainsi que les musées de la ville de Marseille vont ainsi permettre à trois jeunes chercheurs de mener une réflexion sur leur institution, leur collection et les publics.
A la suite du rapport de la mission « Musées du XXIème siècle », le ministère de la Culture souhaite ainsi ouvrir les musées aux chercheurs venus de toutes les disciplines et pas seulement de l’histoire de l’art, afin de croiser les regards, d’imaginer de nouveaux outils de médiation et de proposer des lectures renouvelées des collections pour mieux correspondre aux attentes des publics de demain.
Cadre de travail et temps de la résidence :
Dans chacun des musées partenaires le chercheur sera placé sous la double responsabilité des équipes de conservation et de médiation.
Chaque résidence d’une durée de 6 mois s’accompagne d’une bourse de 15 000 €.
Dossiers de candidature :
Les dossiers de candidature devront être envoyés avant le 30 mars 2019 à l’adresse électronique secretariat.
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Une lettre de motivation.
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Une biographie et une bibliographie.
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Un synopsis du projet.
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Un budget prévisionnel.
Date de clôture : 30 mars 2019
"La dation en paiement d'oeuvres d'art"
Ce colloque organisé par l’Institut des Sciences sociales du Politique (ENS Paris-Saclay, Université Nanterre, CNRS) et le Musée national Picasso-Paris en partenariat avec le ministère de la Culture et la Société internationale pour la recherche sur le droit du patrimoine culturel et le droit de l’art, a pris pour thème la dation en paiement d’œuvres d’art.
Cinquante ans après l’adoption de la loi sur la dation en paiement d’œuvres d’art, dispositif d’enrichissement des collections publiques, quarante ans après la dation instituante du musée national Picasso, quel bilan dresser de ce mode original d’acquisition ? Il a permis d’intégrer de nombreux chefs-d’œuvre dans le patrimoine public, conservés et présentés tant dans des musées que dans des bibliothèques.
Dans ce questionnement, ce colloque a entendu faire dialoguer différentes approches et analyses, celles des juristes du droit du patrimoine, celles des historiens d’art et conservateurs, celles encore des praticiens et des différents acteurs, dont la Commission des dations et les institutions affectataires.
L’étude de la dation raconte aussi une certaine histoire des collections et de l’art pris dans sa haute valeur historique ou artistique. Les thématiques ont été envisagées sous cette perspective interdisciplinaire.
Ce colloque s'est inscrit dans les réflexions autour de la mémoire des lois. Ces dates anniversaires ont été l’occasion de revenir sur la genèse du texte et de comprendre l’usage qu’en font les acteurs publics et privés.
Retrouvez l'intégralité de ces deux journées de colloque ci-dessous :
"Santé à la mine : Acteurs et systèmes de soins"
Les enjeux de santé liés aux mondes miniers ont fait l’objet ces dernières années d’une attention renouvelée de la part de l’histoire et des sciences sociales, en particulier le cas de la silicose. Ils constituent en même temps, à l’échelle mondiale, autant de questions très contemporaines, incontestables enjeux d’avenir.
Le colloque Santé à la mine, acteurs et systèmes de soins aura pour objectif de proposer des communications de seize intervenants français et étrangers sur le thème de la santé dans les mines de charbon et d’autres minerais en France, en Belgique, au Cameroun, au Canada, en Espagne, en Inde, en Italie et au Pays de Galles. Les interventions porteront sur les législations et leur mise en place à l’échelle locale, la reconnaissance des maladies, les outils de prévention, mais aussi les mobilisations des différents acteurs : ouvriers, patrons, syndicats. Une table ronde finale réunira différents acteurs autour des enjeux de la question de la santé : enjeux territoriaux, économiques, publics, sanitaires…
Programme et bulletin d'inscription
Renseignements au 03 27 95 82 82.
Ouvert à tous.
Tarifs à la journée : formule complète 35€/30€, formule sans repas 25€/20€.