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"Protection and Utilization of Site Museums"
Le Bureau du patrimoine du Shaanxi et le Musée Han Yangling organisent un colloque intitulé "Protection and Utilization of Site Museums" du 9 au 11 septembre prochain à Xi’an (Chine).
Le musée du mausolée Han Yangling est un musée de première classe en Chine, un parc archéologique d’importance nationale, un centre national pour l’enseignement des sciences dans une région très touristique. Le musée a été construit sur le site du "mausolée de Han Yangling", qui occupe une place importante parmi les musées de reliques chinoises. Le mausolée Han Yangling est le lieu de sépulture de l'empereur Jing, quatrième empereur de la dynastie des Han de l'Ouest, et de son épouse, l'impératrice Wang.
[...] Depuis les années 1990, de nombreuses actions ont été réalisées grâce à des politiques de protection et de recherche autour du site. Ces actions ont redonné vie à cet ancien patrimoine culturel. Le colloque qui se tiendra à Xi'an du 9 au 11 septembre 2019 aura pour thème l'héritage de l'histoire de la culture, la promotion, le développement et la protection des vestiges conservés sur des sites culturels.
L'objectif du colloque est de partager des expériences et des bonnes pratiques en matière de protection de musées et de sites.
Le colloque sera parrainé par le Bureau des reliques culturelles de la province du Shaanxi et organisé par le musée du site du mausolée Han Yangling.
Les principaux thèmes du symposium seront :
1. Protection et utilisation de grands sites (vestiges culturels, protection, exposition, ingénierie, planification, etc.);
2. Conception, présentation et gestion des musées de sites;
3. Recherche scientifique sur la protection des grands sites.
Merci de confirmer votre participation à ce colloque par e-mail ou téléphone avant le 28 février 2019.
Les propositions de contributions doivent être envoyées avant le 20 mai 2019 :
- Entre 3 500 et 6 000 mots (maximum)
Contact : 185317005@qq.com
Numéro de téléphone : Cheng Pei 13689199023
Numéro de téléphone : Kong Lin 18092321518
Arts & Vestiges : contextualisation, exposition, scénographie
Produit de la pensée encyclopédiste, le musée révolutionnaire constitue la quintessence du projet universaliste initié par les Lumières, violemment critiqué, dès sa création, par l’historien d’art et archéologue Antoine C. Quatremère de Quincy. En effet, dans Les Lettres à Miranda sur le déplacement des monuments de l’art de l’Italie publié en 1796, Quatremère dénonce déjà la politique mise en place par le Directoire et Napoléon Bonaparte sur la saisie des œuvres d’art au bénéfice de la France[1]. Les questions soulevées par ce texte concernant la décontextualisation des œuvres de leurs lieux d’origine interrogent la nature même de l’esprit de découverte propre à l’indivisible « république des arts ». Ainsi, Quatremère soutient que « diviser c’est détruire », par conséquent, entreprendre quelque transfert partiel se résumerait à opérer une mutilation inévitable à ses auteurs[2]. Débat d’actualité, le sujet passionne. Cependant, les multiples réponses apportées semblent souvent mener à une impasse ; la décontextualisation, au-delà de la problématique complexe posée par la restitution des œuvres, soulèvent également le questionnement des méthodes de représentation des œuvres dans les espaces muséographiques ou archéologiques.
Depuis le cabinet de curiosités, aménagé de manière éclectique pour le seul plaisir du monarque, en passant par les galeries princières progressistes jusqu’au musée ouvert au peuple, les espaces dédiés à l’Art et à l’Archéologie n’ont cessé de faire évoluer leur présentation en fonction de leurs desseins. Tantôt baroque, tantôt encyclopédique, la mise en scène des objets a toujours eu pour but de produire un effet sur le visiteur. De toute évidence, les discours idéologiques, les narrations et les récits politisés, scénographiés au moyen des objets, priment sur le sens réel des œuvres et des vestiges présentés. A notre époque, les présentations de l’art et de l’archéologie semblent être sous l’influence d’une esthétique ayant pour tendance la standardisation d’un modèle au détriment de contextes historiques et scientifiques.
De quelle manière le bien culturel, objet d’art ou vestige archéologique, est-il mis en valeur dans les espaces du patrimoine, qu’il soit issu de la production européenne ou extra-occidentale ? Quelles sont les stratégies d’influence qu’entretient le musée - ou les lieux qui lui sont associés - avec les enjeux de contextualisation, expographique, scénographique, et dans quels buts ? Il s’agira de se demander également ce que signifie en soi « recontextualiser » un objet ? Quelles sont les moyens intellectuels, matériels, techniques ou technologiques qui peuvent être mis en œuvre pour y parvenir ?
Les lieux de l’art et/ou ceux de l’archéologie peuvent-ils se définir comme des « zones à part », apatrides et universalistes, au moment où les films sur l’art après-guerre puis, à l’orée des années 2000, les sites internet et les réseaux sociaux constituent des moyens alternatifs d’exposition, ou au contraire, concrétisent-ils des espaces subversifs, des « îlots de résistance » dans la globalisation des cultures, devant encore trouver leurs modes d’expression ?
Cette rencontre, organisée en partenariat avec le Centre de Recherche sur l’Amérique Préhispanique, le Centre André Chastel et l’École Doctorale 124 de Sorbonne Université, a pour objectif de réunir doctorants, jeunes chercheurs et professionnels du monde de la recherche. En abordant les réflexions énoncées par Quatremère de Quincy, le thème de ce colloque invite à se pencher sur les problèmes et les solutions engendrées par la circulation des œuvres et des objets archéologiques, lors des contextualisations et leur présentation, mais également sur les actions de mise en valeur du patrimoine artistiques et/ou archéologiques in situ. Cette volonté de recontextualisation des pièces arrachées à leur contexte d’origine change-t-elle selon qu’elle s’effectue dans un musée archéologique ou des Beaux-Arts ?
Par le biais d’une approche pluridisciplinaire, convoquant les méthodes historique, archéologique, anthropologique, muséologique et artistique, nous souhaitons porter un regard nouveau sur les thématiques de la contextualisation de l’art et des vestiges. Aussi, une exposition photographique viendra illustrer le travail de la recherche archéologique contemporaine en Bolivie. Intitulée « Missions Tiahuanaco : aux origines des Incas », cet événement abordera l’évolution des projets archéologiques menés actuellement dans le bassin du lac Titicaca, tant en milieu terrestre qu’au moyen de fouilles subaquatiques. Hébergée dans la grande galerie Colbert de l’INHA à Paris, l’exposition ouvrira le champ d’action du CeRAP sur les disciplines spécifiques de la muséologie/muséographie de l’Art et de l’Archéologie préhispanique.
Enfin, le colloque « Arts & Vestiges » offrira un espace d’échange et de communication permettant d’articuler les différents domaines de la recherche et de croiser les regards.
Il s’inscrit dans les démarches d’investigation du CeRAP et du Centre Chastel en faveur d’un partenariat dynamique entre Art et Archéologie ; ces disciplines ayant pour point commun les multiples influences réciproques dans la construction et la représentation des cultures dans le monde occidental. Événement inédit, ce colloque donnera lieu à la publication des actes suivie d’un catalogue d’exposition.
Les propositions de communications (environ 300 mots), présentant une courte bibliographie (accompagnée d’un CV d’une page précisant l’institution de rattachement ainsi qu’une adresse e-mail de contact), sont à envoyer par courriel : contextualites@gmail.com
Date limite d'envoi des contributions : 31 mars 2019
Membres organisateurs de Sorbonne Université :
Micaela Neveu, Doctorante, CeRAP
François Cuynet, Maître de conférences, CeRAP
Daniel Lévine, Professeur titulaire de la Chaire d’Archéologie des Civilisations de l’Amérique Préhispanique, CeRAP
Arnaud Maillet, Maître de conférences, Centre André Chastel
Sabine Berger, Maître de conférences, Centre André Chastel
oanna Sezol, Doctorante CeRAP
Marie Planchot
et l’équipe de l’École Doctorale 124.
Comité scientifique : Daniel Lévine, Arnaud Maillet, François Cuynet et Micaela Neveu
Parcours doctoral de thèse par le projet
L’ École universitaire de recherche Humanités, création et patrimoine (Paris Seine Graduate School Humanities, Creation and Heritage – PSGS-HCH), portée par la Comue Université Paris Seine, accueillera à la rentrée 2019 les étudiants souhaitant s’engager dans un parcours doctoral de thèse par le projet. Le présent appel à candidature est destiné à recruter ces futurs doctorants.
L’Institut national du patrimoine est membre de l’EUR Humanités, création et patrimoine.
Deux mentions sont ouvertes aux professionnels du patrimoine :
Études patrimoniales
Pour le professionnel de la conservation du patrimoine, le doctorat sur projet doit permettre de produire des connaissances nouvelles, tant dans les disciplines fondamentales qui servent de référence à l’expertise patrimoniale (notamment histoire, histoire de l’art, archéologie, histoire des sciences et techniques) que dans les disciplines techniques qui sont mises en œuvre dans l’exercice de la pratique patrimoniale (notamment muséologie, archivistique, méthodes d’analyse et de description du patrimoine mobilier et bâti, ainsi que du patrimoine archéologique). Il s’articule autour d’un projet patrimonial qui peut être par exemple, le commissariat d’une exposition, l’élaboration d’un nouveau projet scientifique et culturel, la conception et réalisation d’un nouvel accrochage des collections permanentes, le traitement et la mise en valeur d’un fonds d’archives, l’analyse et la description d’un ensemble d’objets mobiliers ou issus d’une fouille.
Contact : Christian Hottin, directeur des études du département des conservateurs de l’INP (christian.hottin@inp.fr)
Conservation-restauration du patrimoine
Le doctorat en conservation-restauration du patrimoine est une expérience professionnelle de recherche qui prend naissance dans la pratique de la conservation-restauration. L’analyse et la mise en perspective des résultats, la réflexivité autour de cette pratique, l’invention ou la construction de savoir-faire, de technologies, ou au sens large, d’outils, qu’ils soient conceptuels ou méthodologiques, qui sont au cœur de ce doctorat, sont actuellement absents du champ disciplinaire de la conservation restauration. Ce doctorat sur projet serait le complément attendu, à la fois par les professionnels de la conservation-restauration mais aussi par les acteurs de la chaîne patrimoniale, au doctorat académique qui peut avoir pour thème l’histoire de la restauration, l’histoire des techniques ou les sciences des matériaux. Il nécessite donc d’avoir une pratique de conservation-restauration.
Contact : Olivier Zeder, directeur des études du département des restaurateurs de l’INP
(olivier.zeder@inp.fr)
Ouverture de l’appel à candidatures : 8 avril 2019 à midi
Clôture de l’appel à candidatures : 10 mai 2019 à minuit
Collection et propriété : Quels mécanismes en jeu ?
Avec : Eva Barto, Sylvia Fredriksson, Eric Golo Stone, Emma Hedditch, Nour Mobarak, Zoé Noël, Emmanuelle Polack, Mireille-Tsheusi Robert, Cameron Rowland, Zora Snake
Quels sont les processus économiques et les rapports de pouvoir activés par l’acquisition d’une œuvre d’art ? Transaction financière, répartition des revenus ou restitution des œuvres spoliées, autant de mécanismes dont les artistes se saisissent pour changer l’ordre établi et questionner les liens entre capitalisme, propriété, race et art.
Face à sa responsabilité de constituer une collection d’art, à une époque où les liens sociaux sont façonnés par le modèle capitaliste, le 49 Nord 6 Est rassemble des artistes et théoriciens pour interroger, entre autres, les composantes idéologiques de la propriété.
Trois demi-journées d’échanges prennent comme point de départ des stratégies artistiques portant sur ces mécanismes, présentées par leurs auteur.e.s et mises en perspective par le prisme d’autres disciplines.
Déroulé du weekend
VENDREDI 5 AVRIL
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10h – 13h : TRANSACTIONS
Eva Barto (artiste, Paris)
Cameron Rowland (artiste, New York)
Eric Golo Stone (auteur, artiste, commissaire, Los Angeles)
14h-17h : REDISTRIBUTION
Emma Hedditch – Coop Fund (artiste, New York – skype)
Cultural Capital Cooperative Object, Nour Moubarak (Artiste, Los Angeles)
Sylvia Fredriksson (designer, chercheur, Saint-Etienne)
SAMEDI 6 AVRIL
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10h-13h : RESTITUTIONS
Emmanuelle Polack (historienne de l’art, Paris)
Zora Snake (artiste, Cameroun – skype) et Zoé Noël (co–fondatrice de l’association art(sans)frique, Paris)
Mireille–Tsheusi Robert (présidente de l’association Bamko-Cran, Bruxelles & Abidjan)
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Accès
> Entrée Gratuite sur réservation
03 87 74 20 02
info@fraclorraine.org
> Interventions en français et anglais (traduction simultanée)
> 49 Nord 6 Est – Frac Lorraine. 1bis rue des Trinitaires, Metz (FR)
Cet événement s’inscrit dans une série de rendez-vous autour de la collection, conçus en collaboration avec le Frac Alsace et le Frac Champagne-Ardenne
Programme complet et plus d'information sur : http://www.fraclorraine.org/
L'authenticité dans les différences culturelles : concept ou objet ?
En 2019, ICOM organise sa Conférence Générale à Kyoto, du 1er au 7 septembre.
Dans un même temps, la Conférence annuelle d'ICOMAM se tiendra les 2 et 3 septembre, avec une session commune avec COSTUME le 4 septembre. Lors de cette session, 3 membres d'ICOMAM et 3 membres de COSTUME interviendront.
Ces sessions auront lieu de 13h à 17h.
ICOMAM vous invite à soumettre vos contributions pour sa conférence annuelle ainsi que pour la session commune avec COSTUME.
Le thème de la Conférence Générale d'ICOM est : "Les musées, plateformes culturelles : L'avenir de la tradition". Celui de la Conférence annuelle d'ICOMAM est : "L'authenticité dans les différences culturelles : concept ou objet ?".
Les contributions peuvent concerner l'un ou l'autre de ces thèmes.
Chaque intervention doit durer entre 15 et 20 minutes.
Date limite de soumission des contributions : 1er avril 2019.
Merci d'envoyer à l'adresse p.vanbrakel@nmm.nl :
- un résumé de votre contribution (maximum 220 mots)
- une biographie (maximum 110 mots)
- votre nom, prénom, titre et numéro de membre ICOM
- votre institution et votre fonction
- votre choix de session (Conférence annuelle d'ICOMAM ou session commune entre ICOMAM et COSTUME)
Ces documents doivent être envoyés au format .doc ou .docx. Les contributions seront examinées et sélectionnées par un comité éditorial.
Les conférences seront menées en anglais et donneront lieu à une publication. Pour plus d'informations :
Poste de conservateur-restaurateur d'instruments de musique
Le Landesmuseum Württemberg de Stuttgart recrute un conservateur-restaurateur pour ses collections d'instruments de musique (principalement des instruments à clavier), de meubles et d'objets en bois.
Candidatures jusqu'au 26 avril 2019
Conférence Annuelle d'AVICOM
La Conférence annuelle d'AVICOM aura lieu lors de la 25e Conférence Générale d'ICOM à Kyoto (1er-7 septembre 2019).
Les thèmes de cette conférence annuelle seront :
- Croissance et développements à l'échelle mondiale
- Croissance et développements à l'échelle régionale
- Réduction des obstacles
- Inclusion
- Fracture numérique
- Durabilité des bases de données
Si vous souhaitez contribuer à la Conférence annuelle d'AVICOM, vous pouvez envoyer votre proposition avant le 10 avril à l'adresse dr.m.faber@t-online.de les informations suivantes au format docx :
- Le sujet de votre contribution et un résumé de 15 lignes maximum
- Votre nom, prénom, titre
- Un court CV
- Votre numéro de membre ICOM ou le numéro ICOM de votre institution
- Le nom et l'adresse de votre institution
Merci de préciser le thème dans lequel s'inscrit votre proposition de contribution.
Seules les propositions en anglais pourront être retenues.
Attention : la participation à la Conférence annuelle d'AVICOM et aux sessions est réservée aux membres d'ICOM, à jour de leur cotisation pour 2019.
Lettre d'information ICOM Kyoto n°3
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Lettre d'information ICOM Kyoto n°1
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Lettre d'information ICOM Kyoto n°2
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