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Collectés, spoliés, restitués, authentifiés, restaurés. Biographies d’objets patrimoniaux
À la veille de la clôture de l'exposition "Objets migrateurs. Trésors sous influences", le service des musées de Marseille a le plaisir de vous convier à la dernière journée d'étude organisée en partenariat avec le Centre Norbert Elias et l'IDEMEC sur le thème :
Collectés, spoliés, restitués, authentifiés, restaurés. Biographies d’objets patrimoniaux
Les objets se déplacent, se transforment et se réinventent, d’un espace à l’autre, d’une époque à l’autre. « Les objets migrateurs ont toujours existé. Qu’il s’agisse d’hommes, de dieux, d’animaux, d’idées, de langues, de musique, de cuisines ou de choses, ils ne cessent de migrer. » (Barbara Cassin, commissaire de l’exposition). La seconde journée porte sur l’objet patrimonial - en apparence inanimé, sous vitrine et sans futur autre que celui de l’éternité de sa conservation. Pourtant, ces objets ont une vie singulière, une origine, un parcours et des significations mouvantes, bref une biographie. Qu’on les vole, les convoite, les garde, les collectionne, les montre ou qu’on les fasse circuler, ils sont l’objet d’investissements personnels et collectifs que l’on doit analyser.
Coordination : Cyril Isnart (IDEMEC/CNRS) et Sophie Deshayes avec les interventions d'Eric Jolly (IMAF/CNRS), Aude Fanlo (Mucem), Hamady Bocoum, directeur du Musée des Civilisations noires de Dakar, Barbara Cassin (CNRS), Nicolas Misery, directeur des Musées de Marseille, Muriel Garsson et Manuel Moliner (Musées de Marseille), Sonia Bodier (Direction des douanes de Marseille), Emmanuelle Canghari (Fonds belge de la recherche scientifique/Université catholique de Louvain), Gaspard Salatko (chercheur associé – Héritages UMR 9022)
Vous trouverez, ci-joint, le programme détaillé de cette journée en date du samedi 15 octobre. A l'issue des communications et des échanges, une visite de l'exposition Objets migrateurs. Trésors sous influences aura lieu en présence de Barbara Cassin, commissaire.
Informations pratiques
Salle du Miroir, au Centre de la Vieille Charité - 2 rue de la Charité, 13002 Marseille.
Accès libre, sans inscription préalable, dans la limite des places disponibles.
Edito d'octobre 2022

Chers / chères membres d’ICOM France, chers/ chères collègues,
Je tiens tout d’abord à remercier l’ensemble des membres d’ICOM France qui m’ont réélue au sein du Conseil d’administration, ainsi que les administrateurs qui m’ont exprimé leur confiance en me choisissant comme présidente. Je souhaite également saluer le nouveau bureau : Valérie Guillaume (vice-présidente), Marie Grasse (trésorière), Laure Ménétrier (secrétaire), Frédéric Ladonne (trésorier adjoint) et Florence Le Corre (secrétaire adjointe).
Cette nouvelle mandature débute alors que nous traversons une crise climatique et énergétique sans précédent, une crise qui nous incite à réinterroger nos pratiques et à explorer des solutions que nous n’aurions pas envisagées il y a quelques années encore, pour des raisons d'économie ou de sobriété, mais également avec un souci ardent de construire des pratiques plus soutenables. Le sujet du développement durable, qui dépasse les seuls enjeux climatiques, et auquel ICOM France a déjà consacré de débats et des actions, est aujourd’hui ravivé par cette crise. Il a évidemment largement occupé les esprits lors de la dernière conférence d’ICOM à Prague qui a abordé d’autres sujets cruciaux et révélé des points de vigilance qu’il nous faut garder à l’esprit. Je n’en mentionnerais ici que trois:
- La question de la « décolonisation » (on notera que certains au sein de notre organisation auraient aimé que le terme soit intégré à notre nouvelle définition du musée) qui pousse à repenser la « manière d’être au monde » des musées ;
- Son « presque » corolaire, la place de l’Europe dans le concert international des musées, une Europe souvent remise en cause, ou du moins interrogée par nombre de nos collègues ;
- La nécessaire réaffirmation que l’ICOM représente TOUS les professionnels de TOUS les musées (alors que les musées de Beaux-Arts se faisaient rares à Prague), engage à s’interroger sur ce qui fait lien entre toutes nos structures, pour ne pas perdre ce qui fait la singularité de l’ICOM, c'est-à-dire la plus grande diversité.
La période pousse à remettre en cause un certain état de faits longtemps considéré comme acquis, et nous impose de repenser nos métiers et le rôle des musées.
Dans ce contexte, c’est avec engagement et conviction que je me suis portée candidate à la présidence du comité français de l’ICOM, consciente des missions que notre association professionnelle peut jouer pour offrir un espace d’expression à ses membres, porter leur voix et faire avancer le débat.
ICOM France cheminera en étroite concertation avec l’ensemble des interlocuteurs nationaux dont le Ministère de la culture, ses opérateurs, ses acteurs, les collectivités territoriales et les associations professionnelles.
Sur le plan national, ICOM France doit poursuivre le travail de fond mené avec les membres et pour les membres et ainsi renforcer son réseau, cœur de son activité. Les idées de thématiques autour desquelles construire les futurs rendez-vous sont nombreuses (la réévaluation des normes de conservation, la construction de nouveaux récits au musée, la réinvention du développement des ressources en temps de crise, les nouveaux développements du numérique…) et ne manqueront pas d’être enrichies des propositions qui émaneront de l’ensemble de la « communauté ICOM France ».
Faites-les nous connaitre ! Nous vous communiquerons prochainement la prochaine date et la prochaine thématique de notre soirée-débat de déontologie.
Mes années antérieures passées au sein d’ICOM France m’ont permis de voir comment la spontanéité des échanges et la souplesse de formats légers, à côté de débats plus organisés, est un atout formidable pour créer du lien et porter la vitalité de notre association. J’aurai à cœur de rendre possible ces espaces de discussion qui permettent de faire entendre les acteurs de terrains investis et désireux de partager leur expériences ou leurs interrogations.
C’est la voix commune des membres français de l’ICOM, ainsi mise en valeur, qu’il nous faudra porter sur la scène internationale. Nous pouvons d’abord compter sur l’opportunité unique donnée par l’élection à la présidence d’ICOM Europe de Juliette Raoul-Duval. Nous faisons face à un enjeu de taille: porter les positions européennes dans un contexte de grande méfiance. Nous devrons compter sur et faire vivre les liens établis avec nos collègues d’autres comités nationaux (l’Allemagne, la Belgique, la Grèce, l’Espagne, l’Italie pour n’en citer que quelques-uns), mais aussi savoir dialoguer avec d’autres comités européens dont les voix divergent parfois des nôtres. Si le dialogue intra-européen est d’importance, la discussion avec les autres comités internationaux et alliances sera primordiale, pour ne pas isoler ICOM France du reste du monde.
Participer aux grands chantiers de notre organisation (comme la mise à jour du code de déontologie, vous pouvez d’ailleurs faire remonter vos avis en répondant à la consultation lancée par ETHCOM sur l’espace membre d’ICOM, avant le 31 octobre), répondre aux appels d’offre d’ICOM en collaboration avec d’autres comités, rester attentif à la question des conflits internationaux et au rôle que notre association peut jouer dans le domaine de compétence et d’actions qui est le sien, favoriser les échanges entre les représentants français dans les comités internationaux (une rencontre sur plateforme sera prochainement organisée), poursuivre les efforts en faveur du plurilinguisme (vous pouvez déjà noter une réunion du groupe Define dédiée aux francophones le 25 octobre sur les questions relatives à la traduction de la nouvelle définition des musées d’ICOM) : voici quelques premières pistes de travail pour construire ensemble l’avenir commun de l’ICOM.
Certes, la période actuelle est bouleversante, elle bouscule nos certitudes et nos habitudes, mais cela la rend aussi passionnante.
Je souhaite mettre à profit mon expérience au sein d’ICOM, ma connaissance des réseaux institutionnels et associatifs et ma force de travail pour porter ces sujets au sein d’un bureau impliqué et engagé, avec une équipe permanente confortée, dans le souci constant de l’écoute des membres et des représentants élus / représentantes élues dont notre association tire sa légitimité.
Je crois au collectif et à la force d’un travail commun, engagé et partagé, pour relever les défis qui sont les nôtres.
A très vite !
ICOM Voices – Conscience historique et préservation des mémoires sociales
Le podcast ICOM Voices est maintenant disponible sur Spotify, Google Podcasts, et Apple Podcast !
Découvrez notre deuxième épisode en espagnol de ICOM Voices : Conscience historique et préservation des mémoires sociales
Dans cet épisode, le présentateur Mathieu Viau-Courville dialogue avec Karen Worcman, directrice et fondatrice du Musée de la personne à Sao Paulo, et Eddie Avila, directeur de Rising Voices, au sujet de la manière dont les souvenirs de souffrance sont exposés dans le cadre des efforts collectifs de construction de la conscience historique et de l’identité.
Alors, que vous soyez un professionnel expérimenté des musées, un étudiant en muséologie ou un passionné de culture, écoutez ce deuxième épisode pour avoir un aperçu des épisodes passionnants à venir !
LE PRÉSENTATEUR
Mathieu Viau-Courville est directeur de l’Office de coopération et d’information muséales (OCIM), France. Né au Canada et élevé en Grèce, il s’intéresse aux études interculturelles des musées dans les contextes contemporains. Il considère que les musées, quels qu’ils soient, sont des espaces inclusifs qui favorisent la diversité et génèrent des expériences sociales significatives. Depuis plus de 15 ans, Mathieu a travaillé dans et autour de musées nationaux et d’universités au Canada, en Espagne, aux Pays-Bas, en France, au Royaume-Uni et au Luxembourg. Il a également mené des recherches approfondies sur le terrain en Amérique du Sud, principalement en Bolivie, où il a passé un total de six ans, ainsi qu’au Brésil, où il travaille depuis 2014 à la conception d’initiatives d’enseignement et d’engagement communautaire. Il développe également des collaborations de recherche et des ateliers en Espagne depuis 2012, notamment en Catalogne et au Pays basque. Il a obtenu son doctorat à l’école d’études des arts du monde et de muséologie de l’université d’East Anglia, au Royaume-Uni.
LES INVITÉS DE CET ÉPISODE
Karen Worcman est directrice du Musée de la Personne, Brésil. Elle est née à Rio de Janeiro, au Brésil, en 1962. Elle est diplômée en histoire et possède un master en linguistique. Elle travaille sur l’histoire orale depuis 1986. Elle est directrice du Musée de la Personne et l’une de ses fondatrices. Elle a coordonné d’innombrables projets sur les histoires de vie. Les projets – développés pour des entreprises et des institutions – sont devenus différents types de produits tels que des salles de CD, des intranets, des livres, des expositions et des documentaires. Le Musée de la Personne est un musée virtuel fondé à São Paulo, Brésil en 1992. Depuis 1996, un site sur le net est ouvert pour que chacun puisse envoyer son histoire de vie et lire celle des autres. Depuis sa création, Karen a coordonné plus de 20 projets tels que l’histoire multimédia des deux principales équipes de football du Brésil, l’histoire multimédia des commerçants du Brésil, l’histoire de l’électricité, des centres de mémoire pour certaines des plus grandes entreprises du Brésil. Elle est également membre d’Ashoka. Ashoka est une organisation mondiale à but non lucratif qui trouve et soutient des individus exceptionnels pour un changement social de grande envergure. Elle s’intéresse principalement à l’histoire orale et à la technologie, ainsi qu’à la manière dont elles peuvent être appliquées à la communication et à l’amélioration sociale. Son objectif est de créer un réseau international basé sur les histoires de vie qui devrait fonctionner sur le net et qui sera un canal alternatif de communication et d’éducation entre différents types de communautés.
Eddie Avila est directeur de Rising Voices, l’initiative de sensibilisation de Global Voices, dont l’objectif est d’aider à faire entendre de nouvelles voix issues de nouvelles communautés et parlant des langues menacées ou indigènes dans le débat mondial en proposant des formations, des ressources, des micro-subventions et un encadrement aux communautés locales sous-représentées qui souhaitent raconter leur propre histoire numérique à l’aide d’outils médiatiques participatifs.
Parution du Dictionnaire de muséologie en langue française
Nous avons le plaisir de vous annoncer la parution du Dictionnaire de muséologie en langue française, une coédition entre Armand Colin (Dunod) et l’ICOM, sous la direction de François Mairesse.

Les musées sont plus que jamais au centre des problématiques culturelles, sociales et économiques de nos sociétés. Cet ouvrage de référence couvre à la fois les domaines de la muséologie, de l’exposition, des méthodes de recherche, de gestion des collections et de conservation/restauration, de l’éducation muséale et la médiation, dans la gestion/marketing, de l’histoire et de l’analyse critique du musée.
Le fruit de plusieurs années de recherche, réunissant une équipe d’experts et d’auteurs internationaux, avec plus de 1200 entrées organisées en sept thématiques, le Dictionnaire de muséologie vient définir, analyser et mettre en perspective l’ensemble des termes utilisés dans le champ muséal, des plus académiques (exposition, artefact, patrimoine immatériel, cabinet de curiosité) aux plus innovants (NFT, points de mémoire, cybermusée…).
Nous espérons que le Dictionnaire de Muséologie permettra à ses lecteurs d’utiliser un langage commun, accessible à tous les professionnels de musée de toutes disciplines et de toutes cultures.
Les membres de l’ICOM bénéficient d’une remise de 30%. Si vous êtes intéressé(e), contactez le département des publications : publications@icom.museum
L’édition anglaise du Dictionnaire de muséologie paraitra en décembre 2022
Nouveau bureau exécutif
Le bureau exécutif d’ICOM France a été renouvelé au terme des élections qui se sont déroulées le 6 octobre dernier.
Emilie Girard, directrice scientifique et des Collections du Mucem (Marseille), a été élue présidente, pour un mandat de trois ans.
Le bureau exécutif est composé de :
- Vice-présidente : Valérie Guillaume, directrice du musée Carnavalet - Histoire de Paris et de la Crypte archéologique de l’Île de la Cité (Paris)
- Trésorière : Marie Grasse, directrice du musée national du Sport (Nice)
- Secrétaire générale : Laure Ménétrier, directrice des musées du vin de Champagne et d’Archéologie régionale (Epernay)
- Trésorier adjoint : Frédéric Ladonne, architecte programmiste (Paris)
- Secrétaire générale adjointe : Florence Le Corre, Conseil - indépendante (Paris)
Biographies
Présidente

Emilie Girard est directrice scientifique et des Collections du Mucem et conservatrice en chef du patrimoine. Elle rejoint l’équipe du MuCEM en 2006. En 2008, elle prend la direction du département des collections du musée où elle conduit entre autres le chantier qui a permis le transfert de Paris à Marseille de l’intégralité des collections et fonds conservés, et la mise en place du Centre de Conservation et de Ressources du Mucem. Elle assure régulièrement le commissariat d’expositions au Mucem (comme la Galerie de la Méditerranée en 2013 ; Un génie sans piédestal, Picasso et les arts et traditions populaires en 2016, On danse ? et Les reliquaires de A à Z en 2019, Jeff Koons Mucem ou Le Désir de regarder loin avec l’artiste Ilaria Turba en 2021). Elle coordonne la programmation de La Chambre d’amis depuis sa création en 2021. Depuis le 1er aout 2019, elle est dirige l’équipe scientifique et des collections du Mucem. Parallèlement, elle s'engage auprès d'ICOM dès 2005 et est élue au Conseil d'Administration d'ICOM France en 2016. Elle occupe successivement les fonctions de trésorière adjointe puis de vice-présidente, avant d'être élue Présidente du comité le 6 octobre 2022.
« Alors que les musées sont aujourd’hui confrontés à des mutations profondes (crises sanitaires, changement climatique, bouleversements sociétaux, renouvellement des attentes des publics…) qui transforment leurs pratiques et incitent à repenser leur rôle dans la société, l’ICOM constitue pour eux le seul organe international de liaison, d'information et d'échange, réunissant toutes les catégories professionnelles de tous les musées. Dans ce contexte, ICOM France a vocation, peut-être encore plus qu’avant, à offrir un espace d’expression à ses membres, pour porter leur voix et faire avancer le débat, sur le plan national et international. »
Vice-présidence

Adhérente depuis 1986 à l'ICOM, Valérie Guillaume a dirigé plusieurs départements de collections au sein de musées territoriaux et nationaux, avant d'être nommée pour mener à bien la rénovation d'un musée d'histoire, le musée Carnavalet Histoire de Paris, qui a accueilli plus d'1,3 million de visiteurs depuis sa réouverture. Faisant partie de multiples instances scientifiques, ses expériences sont de nature pluridisciplinaire et pluri-professionnelle, ses projets accomplis, complexes.
« ICOM France crée l’opportunité d’une démarche prospective, collective, qui emprunte deux voies, parallèles et complémentaires. La première, « réparatrice », au quotidien soutient les musées et rend visibles des trajectoires innovantes et des dynamiques collectives. L’autre voie, à moyen et long terme, est de nature plus complexe. ICOM France a pour ambition de révéler, d’analyser les changements systémiques majeurs à l’œuvre, aujourd'hui, pour identifier les idées à fort potentiel de changements et aussi les leviers d’action, à partager. »
Trésorière

Docteur en histoire de l’art, Marie Grasse a dirigé les musées de la ville de Grasse puis piloté la restructuration et l’agrandissement du musée de la Parfumerie, travaillé sur l’ouverture du musée Bonnard au Cannet et suivi l’écomusée du pays de la Roudoule à Pujet Rostang. Elle a ensuite été sollicitée pour mener à bien le transfert du musée national du sport, de Paris à Nice où elle travaille actuellement comme directrice générale.
Elle a acquis une expérience de projets divers et complexes mais également de direction de plusieurs musées de société, d’histoire et des beaux-arts, tant au sein de collectivités territoriales que de l’État. Membre d’ICOM depuis 2002, elle est convaincue que le réseau national et international d’ICOM est un atout pour tous les professionnels des musées et souhaite contribuer utilement à la réflexion sur ces métiers, mais également accompagner les mutations des musées notamment en matière environnementale et sociétale.
Secrétaire

Diplômée de l'École du Louvre, de l'Université de Bourgogne et historienne de l'art, Laure Ménétrier est la directrice conservatrice du musée du vin de Champagne et d'Archéologie régionale. Auparavant, elle a dirigé les musées de Beaune.
Son engagement au sein du conseil d'administration d'Icom France et désormais en tant que secrétaire repose sur 3 aspirations :
- participer à la réflexion relative à l'évolution des pratiques professionnelles et des normes de conservation des musées vers une démarche écoresponsable et durable ;
- à l'heure de la révolution numérique, de la dématérialisation des données et de l'apparition de nouveaux lieux de découverte "culturo-touristiques", accompagner les musées vers une redéfinition de leur lien aux publics en réaffirmant leurs missions culturelles et éducatives, de facilitateur de lien social et d'éveil à la citoyenneté ;
- participer aux échanges entre musées à l'échelle internationale afin de favoriser le dialogue et confronter les perceptions, interprétations et conceptions de nos métiers et missions.
Trésorier adjoint

Architecte de formation, intervenant sur des missions de maîtrise d’œuvre mais surtout d’assistance auprès des musées (programmation, conservation préventive, muséographie), Frédéric Ladonne est titulaire d’un master de conservation préventive et d’un autre en ingénierie en haute qualité environnementale. Membre actif de notre communauté muséale depuis presque 20 ans en tant que professionnel, enseignant à l’école du Louvre, à l’INP, il a travaillé pour près d’une centaine d'établissements aux échelles et collections différentes, grands musées nationaux, collections d’art contemporain, musées de société de tailles plus modestes dans presque toutes les régions.
Convaincu de la richesse et des diversités de notre communauté, Il souhaite apporter à celle-ci le regard d’un des partenaires des musées, qui sont aussi des acteurs importants du patrimoine. Pour lui, l’avenir de l’ICOM passera à la fois par l’affirmation et par l’ouverture des pratiques professionnelles comme à la diversité des approches muséales.
Secrétaire adjointe

Chargée d’études documentaires puis conservatrice du patrimoine, Florence Le Corre est titulaire d’un DEA en histoire de l’art et archéologie, du diplôme d’ingénieur de l’INTD-CNAM et du diplôme de conservateur du patrimoine de l’INP. Elle a travaillé dans différents musées (musée de l’Armée, où elle a créé le Cabinet des arts graphiques, musée national de la Marine dans lequel elle a participé aux projets de rénovation et de réorganisation, musée du Service de santé des armées où elle a pris en charge la collection photographique) puis au Service des musées de France. Elle mène aujourd’hui des missions de conseil auprès de différents établissements. Elle souhaite défendre et aider tous les musées et tous les métiers des musées français, en lien avec nos collègues étrangers dont le regard et l’expérience sont riches d’enseignements.
MOI! Museums of Impact
Session de travail NEMO - Musée de la guerre letton à Riga, du 22 au 25 novembre 2022
Le projet MOI ! Museums of Impact souhaite accorder à 7 professionnels de musées européens une bourse de 1000 € avec pour objectif un exercice d'auto-évaluation en Lettonie en novembre 2022. Le projet MOI ! souhaite accroître la compréhension et la connaissance de notre grille d'auto-évaluation (MOI Framework), ce qui aidera les musées à évaluer et à améliorer leur impact sur la société et à mieux répondre aux exigences d'une société en mutation.
Les participants à l'exercice de mobilité se joindront à cette session en tant qu'observateurs extérieurs afin de suivre le processus et d'acquérir une compréhension approfondie de ce qu'est le MOI Framework et de son application dans une situation réelle. Ils auront l'occasion de faire connaissance avec le Musée de la guerre letton et d'échanger avec des collègues. L'exercice de mobilité a pour but d'aider les participants à accroître leurs compétences en tant que professionnels du patrimoine en apprenant à connaître cet outil de développement et en participant à son utilisation. Le programme de mobilité permet aux participants d'approfondir le MOI Framework, de participer aux discussions et d'élargir leurs compétences en matière de développement des musées en vue d'un impact.
Les 7 boursiers doivent se rendre sur place à Riga et être présents lors de l'évaluation, ainsi que fournir un court rapport sur leurs expériences par la suite. leurs expériences par la suite pour participer à une session d'évaluation en Lettonie du 23 au 25 novembre 2022.
Trouvez plus d'information dans l'appel à candidature ci-joint.
Manuel « Plan de sauvegarde des biens culturels » - C2RMF

Le manuel « Plan de sauvegarde des biens culturels » rédigé par le Département de la conservation préventive est désormais en ligne !
Il synthétise l’ensemble du travail entrepris depuis 2019, entre le C2RMF, les DRAC, les services de secours (BSPP et SDIS) et les acteurs locaux, dans le cadre des ateliers PSBC. Ce document, édité avec le soutien du Service des musées de France (SMF), est conçu comme un guide qui permet d’avancer pas à pas, sur l’ensemble des étapes clés pour aboutir à un document opérationnel.
Le texte se veut simple et direct pour conserver l’esprit du groupe de travail, des échanges et des questions qui ont pu nourrir ces ateliers. Les liens cliquables permettent d’accéder aisément aux rubriques recherchées, et de télécharger l’ensemble des outils utiles à la rédaction du PSBC.

CIMCIM à Prague 2022
Le CIMCIM créé en 1960 rassemble tous les professionnels qui travaillent pour les collections d’instruments de musique ou qui sont consacrés spécialement à la musique ou à des musiciens Il compte près de 250 membres individuels ou institutionnels dans près de 50 pays des 5 continents, en progression constante, dont 50 membres en France. Récemment des collègues de l’Ouganda, d’Egypte, du Paraguay et de Turquie nous ont rejoints..
A l’Assemblée générale de Prague nous avons rassemblé 60 personnes représentant plus de 20 pays. Quatre collègues français étaient présents.
Deux Français ont été réélus pour le nouveau bureau
- Jean-Philippe Echard du musée de la Musique à Paris
- Emmanuele Marconi du musée des Instruments à vent de La Couture-Boussey dans l’Eure, nouveau vice-président.
La subvention de l’ICOM nous a permis d’inviter des collègues du Burkina Faso et de Zambie.
Les sessions CIMCIM à Prague 2022
Plus de 15 communications dont 2 en ligne ont été présentées, ainsi que 4 posters, dans 5 sessions :
- Une première session était organisée avec le CIDOC sur la documentation des œuvres
- La deuxième session avait pour sujet les questions sur la provenance de ces œuvres, avec par exemple le lien entre l’origine de certaines collections avec le commerce des esclaves ou le problème des instruments de musique spoliés pendant la seconde guerre mondiale
- La troisième mettait en lumière la mise en valeur de l’héritage historique du pays dans quelques collections , en Zambie, au Mexique et à Taïwan
- La quatrième présentait de nouveaux projets dans quelques musées, en Allemagne et au Japon
- Une table ronde a conclu nos sessions en reprenant les questions soulevées dans la session 2 : provenance des œuvres, héritage du colonialisme, éventuelles restitutions .
Nous avons pu aussi organiser 2 sorties :
- une visite commentée de la riche collection musicale du Palais Lobkowicz ancienne demeure du célèbre mécène de plusieurs compositeurs célèbres
- une visite commentée du Musée de la Musique Tchèque où nous avons été reçus par nos collègues tchèques membres du CIMCIM
Toutes ces journées ont été particulièrement riches et ont permis comme d’habitude des échanges fructueux entre collègues de notre comité ainsi qu’avec les autres participants à cette semaine.
Le comité a décidé de poursuivre nos réflexions dans notre congrès 2023 qui se déroulera en septembre aux Pays-Bas, à Amsterdam et à Utrecht

L'utilisation du CLOUD dans les musées
Dans le cadre d'un projet European Collaborative Cloud for Cultural Heritage (ECCCH), NEMO vous invite à remplir et partager un questionnaire sur l'impact du Cloud pour le secteur du patrimoine culturel. L'objectif de cette enquête est de s'assurer que les besoins numériques du secteur des musées soient entendus et représentés lorsque la Commission européenne proposera un développement le Cloud.
Les réponses sont acceptées jusqu'au 2 novembre 2022
Prévoyez environ 5 à 7 minutes pour remplir le questionnaire.
Qu'est-ce que "le Cloud" ?
Le "European Collaborative Cloud for Cultural Heritage", le "Cloud", est une initiative de l'Union européenne visant à créer une infrastructure numérique qui reliera les institutions et les professionnels du patrimoine culturel dans toute l'UE et développera des outils numériques spécifiques pour ce secteur.
Un Cloud pour quoi faire ?
Le "Cloud" aidera toutes les institutions du patrimoine culturel, quels que soient leur taille et leur type, à travailler avec leurs objets numériques de manière plus visible, plus interconnectée, plus harmonisée et plus informée, afin de devenir des acteurs performants dans le domaine numérique. Il permettra de libérer le potentiel inexploité du secteur en organisant des expositions conjointes, en numérisant des artefacts, en effectuant des recherches sur des œuvres d'art et en documentant des données, renforçant ainsi la dimension numérique de la préservation, de la conservation et de la restauration du patrimoine culturel ainsi que de sa gestion et de son rayonnement.
Qui a lancé ce projet ?
La Commission européenne a lancé cette initiative à la demande du Parlement européen et du Conseil de l'UE. Huit experts indépendants renommés dans le domaine du patrimoine culturel ont été chargés de réaliser une analyse d'impact ex ante qui a jeté les bases du concept de cette initiative en aidant à identifier les solutions technologiques existantes dans le domaine.
Veuillez trouver ici tous les détails sur le Rapport sur un Cloud collaboratif européen pour le patrimoine culturel : https://op.europa.eu/s/w4bg.
Les archives et la bibliothèque de l’ICOM
L’ICOM a fêté ses 75 ans d’existence en novembre 2021. Ces 76 ans d’histoire, ce sont très concrètement des dizaines de milliers de documents qui ont été conservés, pour certains déjà classés et pour d’autres en attente de l’être, et qui permettent de redécouvrir tout ce qui a été réalisé au sein et au nom de l’ICOM depuis 1946 : réunions, conférences, projets, missions, réformes, publications…
En 2015, un archiviste a été engagé quelques mois pour commencer à les trier et les classer. Cet important travail a donné lieu à la rédaction d’un inventaire des archives de 1946 à 2007. A cette époque, leur transfert aux Archives Nationales ou aux archives de l’UNESCO a été envisagé. Le Conseil d’Administration a finalement décidé qu’elles seraient conservées in situ.
Les archives de l'ICOM

En 2020, le déménagement de l’ICOM du siège de l’UNESCO à sa nouvelle adresse 15 rue Lasson a été l’occasion de rassembler tous les documents et archives répartis jusque-là dans différents bureaux et lieux de stockage et de les réorganiser de telle façon qu’on peut désormais les classer et les consulter dans les meilleures conditions. Dans les nouveaux locaux les collections sont à portée de main, et les visiteurs disposent d’un espace de travail réservé

De plus, une salle est dédiée aux publications et archives des comités nationaux, des alliances régionales et des comités internationaux, en plus de la salle consacrée aux archives du secrétariat et à la documentation spécialisée.

Selon le rapport d’activité 2021 paru en 2022, l’ICOM compte 45493 adhérents. L’objectif premier du service Documentation/Archives aujourd’hui est de leur permettre, où qu’ils soient dans le monde, de connaître et d’accéder aussi facilement que possible à ce trésor commun que sont les ressources documentaires et les archives de l’ICOM. Comme on ne peut pas raisonnablement demander à chacun d’entre eux de se déplacer à Paris pour les consulter, la solution passe nécessairement par un accès en ligne.
Il existe déjà depuis plusieurs années une rubrique Ressources sur le site de l’ICOM qui permet d’accéder à une sélection de documents importants comme les listes rouges ou les différentes versions du code de déontologie. En revanche, la base de données bibliographique historique de l’ICOM, créée en 1981, et riche aujourd’hui de plus de 46500 références, n’était pas accessible en ligne dans son intégralité et ne comportait que très peu de fichiers numériques attachés. Construite avec un logiciel devenu obsolète (Winisis) et hébergée localement par l’UNESCO, son existence même était en péril.
En 2020, en parallèle du déménagement, il était donc devenu urgent d’acquérir un nouveau logiciel plus performant. Le logiciel choisi, JLB-Net, a permis les opérations suivantes:
- La sauvegarde et la migration de l’intégralité des données de la base bibliographique historique vers une nouvelle base reconfigurée pour un accès grand public en ligne, rebaptisée «Bibliothèque», consultable depuis décembre 2021 via la rubrique Ressources
- La création de 3 nouvelles bases de données supplémentaires consacrées aux archives interne et à l’histoire de l’ICOM et de ses comités : Archives, Images et Répertoire, consultables depuis janvier 2022 via l’espace membres du site.
Pour chacune de ces quatre bases, un portail web a été créé pour la consultation à distance. La rubrique « S’engager / Bibliothèque en ligne » de l’espace membre du site de l’ICOM ouvre une page d’accueil multi-bases permettant d’effectuer une recherche libre sur une ou plusieurs bases à la fois ou de choisir une base spécifique pour une recherche avancée. Cette page existe en anglais, en français et en espagnol, en fonction de la langue du navigateur utilisé. De la même façon, les lexiques proposés pour la recherche avancée se déclinent en anglais, français ou espagnol en fonction de la langue du navigateur.

La base Bibliothèque
Elle a été construite en s’inspirant de la structure de la base historique antérieure, qui contenait les références de tous les documents acquis par le centre de documentation depuis sa création en 1948. On y trouve prioritairement les publications de l’ICOM et de son réseau, mais aussi de très nombreuses autres ressources externes à l’ICOM sur les sujets en lien avec ses activités : protection du patrimoine, lutte contre le trafic illicite, éthique, rôle social des musées, éducation… Une partie importante de ces documents a été déposée au Service des Musées de France en 1995, puis transférée, en 2022, au Centre Dominique Vivant Denon du musée du Louvre. Comme il s’agit d’un dépôt, ils sont toujours référencés dans cette base, le champ « localisation » permettant de signaler où ils sont.
Cette nouvelle version de la base a bénéficié, dès sa création, d’importantes mises à jour et, à ce jour, plus de 20% des documents référencés sont consultables en ligne (fichier PDF téléchargeable ou lien URL).

La base Archives
Cette base a été créée pour accueillir les archives internes du secrétariat de l’ICOM, des comités internationaux et des alliances régionales. Autrement dit, les documents d’activité non publiés.
Les comités nationaux étant juridiquement indépendants, ils sont responsables de leurs propres archives et ne sont pas tenu de les communiquer intégralement au siège, mais le Secrétariat a conservé de nombreux documents reçus témoignant de leurs activités (rapports d’activité, comptes-rendus de réunions, listes de membres, courriers, publications…).
Elle a été construite à partir de l’inventaire établi en 2015. On y trouvait donc au départ essentiellement des notices décrivant des dossiers, avec peu de détails sur leurs contenus. Mais peu à peu les campagnes de numérisation en haute définition des archives, menées depuis fin 2020, auxquelles s’ajoute la numérisation « maison », permettent progressivement de créer des notices individuelles pour chaque document numérisé et désormais consultable et téléchargeable.
Cette base est réservée aux adhérents et n’est donc accessible qu’à partir de l’espace membres du site. De plus, un outil de filtrage, réversible, a été ajouté pour que les documents strictement confidentiels, ou sous embargo, puissent être enregistrés et sauvegardés sur le serveur de la base mais restent hors de portée aussi longtemps que nécessaire.

La base Images
Cette base a été créée pour accueillir les collections de photographies, de posters et de vidéos de l’ICOM. Elle est administrée avec un logiciel spécifique adapté à la gestion des images, un DAM (digital assets management). A l’hiver 2020-2021, toutes les affiches ont été numérisées en haute définition et en 2021 elles ont toutes été intégrées dans cette base.
En 2022, la collection complète des archives photographiques de l’ICOM, soit 4670 tirages papiers, négatifs et diapos, a été numérisée. Il est prévu de les intégrer bientôt dans la base.
Cette base, comme la base Archives, est réservée aux membres de l’ICOM, et elle est dotée du même système de filtrage permettant de rendre inaccessible au visiteur certaines images si nécessaire.

La base Répertoire
Cette dernière base est un peu différente des 3 autres. On n’y trouve pas de documents, c’est une base de connaissances.
Sa conception a été inspirée par le travail de compilation effectué par Elisabeth Jani en 2019 pour le Groupe de travail sur l’avenir des Comités Internationaux, qui avait abouti à la rédaction d’un document qui récapitulait, pour chaque comité international, et à partir de sources diverses, les circonstances de sa création, ses missions et activités, les réunions organisées.
Transformer ce document en base de données permettra non seulement de le mettre à jour mais aussi et surtout d’en étendre le principe aux autres composantes de l’ICOM : les comités nationaux, les alliances régionales, les organismes associés et les institutions partenaires, les différents services du secrétariat ou les personnalités importantes de l’ICOM.
Pour l’instant elle ne comporte qu’une trentaine de notices, adaptées de ce document original (aujourd’hui consultable dans la base Archives), et n'est visible que via le portail réservé aux membres, mais à terme elle a vocation à être publique, pour contribuer à mieux faire connaître l’histoire de l’ICOM et de son réseau.

Il reste beaucoup à faire pour alimenter ces bases, améliorer les modalités de consultation, poursuivre la campagne de numérisation, et développer de nouveaux moyens de valoriser les archives de l’ICOM. Le secrétariat compte donc sur la patience et l’indulgence des comités, mais aussi sur leur collaboration pour continuer d’enrichir les fonds d’archives et les collections de publications de l’ensemble du réseau sous tous formats, physiques et numériques.
En 2022, un petit guide de recommandations pour la gestion des archives à l’intention des comités a été rédigé à leur demande. Il est actuellement disponible en français et en anglais via l’espace membre, rubrique « Outils pour les comités / Comités internationaux ». Un court mémo d’une page l’accompagne pour en résumer les points les plus importants. Retours et commentaires sont les bienvenus pour les améliorer.
Les membres de l’ICOM qui souhaitent venir consulter la documentation et les archives sur place sont les bienvenus, sur rendez-vous avec la documentaliste-archiviste.
Mise en ligne de la bibliothèque et des archives de l’ICOM : repères chronologiques
1948 : Yvonne Oddon crée le Centre de documentation muséologique UNESCO-ICOM
1981 : La première base données bibliographique informatisée de l’ICOM voit le jour. Partagée avec l’ICOMOS jusqu’en 1999, elle est hébergée par l’UNESCO. En 1989, les 27400 fiches cartonnées qui constituaient le catalogue bibliographique manuel antérieur sont converties en notices électroniques et intégrées dans la base.
1994-1995 : L’ICOM confie en dépôt une grande partie de sa collection de livres et revues de muséologie et sa collection de catalogues de musées et d’expositions à la Direction des Musées de France et à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris.
Dans l’actuelle Bibliothèque en ligne, les notices des documents concernés portent la mention Localisation : DMF (Dépôt ICOM) ou Localisation : ENSBA – Dépôt ICOM. Les documents confiés à la DMF sont également référencés dans le Catalogue Collectif des Bibliothèques des Musées Nationaux (http://auroch.culture.fr/)
2010 : la refonte du site internet de l’ICOM est l’occasion de la création, sous la rubrique Ressources, d’une Base de données des publications qui permet de consulter les notices bibliographiques d’une sélection d’ouvrages, revues, articles et documents divers publiés par l’ICOM et son réseau. Cette base représente environ 10 % des contenus de la base source et n’est pas interconnectée avec elle.
2015 : Tri et classement des archives de l’ICOM pour la période 1946-2007
2018 : Audit externe des archives du Secrétariat
2020 : Migration des données de la base bibliographique historique vers une nouvelle plateforme logicielle et transfert de la bibliothèque et des fonds d’ archives dans les nouveaux bureaux, 15 rue Lasson
2021 : Mise en ligne de la nouvelle version de la base Bibliothèque en accès libre
2022 : Mise en ligne du portail multi-bases - Bibliothèque, Archives, Images et Répertoire - réservé aux adhérents via l’espace membre du site de l’ICOM
Les documents déposés en 1995 au centre de documentation de la Direction des Musées de France sont transférés à la bibliothèque du Centre de recherche Dominique Vivant Denon du Musée du Louvre (ouverte au public sur rendez-vous).