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Habiller la Pandémie / Clothing the Pandemic
Ce séminaire a pour but de permettre d'échanger et de partager expérience et savoir-faire, et contribuera à relier les personnes et les institutions (conservateurs, restaurateurs, historiens, musées et grand public) à un moment où nous sommes tous distants les uns des autres.
Il cherche à comprendre comment documenter la culture matérielle de la pandémie Covid-19 et à développer des stratégies et à affronter les défis.
Ce séminaire se déroulera en deux parties.
Partie I : "Collecter/Rechercher/Documenter/Exposer" en juin 2021
Partie II : "Préserver/Conserver" en septembre 2021.
Evènement en ligne et gratuit : inscription requise
Traduction simultanée dans les 3 langues officielles de l'ICOM : Français, Anglais, Espagnol.
Habiller la Pandémie / Clothing the Pandemic
Ce séminaire a pour but de permettre d'échanger et de partager expérience et savoir-faire, et contribuera à relier les personnes et les institutions (conservateurs, restaurateurs, historiens, musées et grand public) à un moment où nous sommes tous distants les uns des autres.
Il cherche à comprendre comment documenter la culture matérielle de la pandémie Covid-19 et à développer des stratégies et à affronter les défis.
Ce séminaire se déroulera en deux parties.
Partie I : "Collecter/Rechercher/Documenter/Exposer" en juin 2021
Partie II : "Préserver/Conserver" en septembre 2021.
Evénement en ligne et gratuit : inscription requise
Traduction simultanée dans les 3 langues officielles de l'ICOM : français, anglais, espagnol.
Compte-rendu de la triennale d'ICOM-CC des 17-22 mai 2021
La première triennale en ligne de l'ICOM-CC, prévue initialement à Pékin en septembre 2020 (en présentiel), a eu lieu du 17 au 22 mai 2021.
Le sujet était "Transcending Boundaries - Integrated Approaches to Conservation" (Dépasser les frontières - approches intégrales à la Conservation-Restauration).
Au sein des 21 groupes de travail, 159 articles et 99 posters ont été réalisés sur les recherches les plus récentes dans la conservation-restauration des collections. Beaucoup de ces travaux ont été une coordination entre différents pays ou spécialités, en s'inspirant souvent d'autres domaines de travail ou de recherche, notamment du médical et de l'ingénierie.
Si dans les années précédentes, le colloque se déroulait parallèlement dans plusieurs auditoriums. Cette approche a été maintenue en créant quatre salles virtuelles (canaux), sur lesquelles étaient diffusées les interventions des orateurs préalablement enregistrées. La différence par rapport à un colloque en présentiel était la possibilité de regarder toutes les interventions pendant un mois.
Les trois premiers jours étaient consacrés aux recherches dans les domaines suivants :
- Matériaux et sites archéologiques (7 articles, 5 posters)
- Recherches technologiques (5 articles)
- Documentation (5 articles, 4 posters)
- Formation dans le domaine de la restauration (7 articles, 6 posters)
- Verre et céramique (6 articles, 4 posters)
- Arts graphiques (10 articles, 5 posters-
- Cuir et matériaux apparentés (2 articles)
- (Questions juridiques : 0 présentation)
- Métaux (8 articles, 8 posters)
- Matériaux modernes et arts contemporains (9 articles, 4 posters)
- Peinture murale et arts rupestres (9 articles, 5 posters)
- Collections d'histoire naturelle (1 article, 1 poster)
- Objets ethnographiques (5 articles, 6 posters)
- Peintures (8 articles, 5 posters)
- Photographies (3 articles, 2 posters)
- Conservation préventive (16 articles, 10 posters)
- Recherches scientifiques (16 articles, 8 posters)
- Sculpture, polychromie et décors architecturaux (8 articles, 5 posters)
- Textiles (9 articles, 7 posters)
- Théorie, histoire et éthique de la restauration (12 articles, 4 posters)
- Matériaux organiques archéologiques gorgés d'eau (3 articles, 3 posters)
- Bois, mobilier, laque (10 articles, 7 posters)
Bien que nous ayons regretté les échanges enrichissants qui se produisent spontanément lors des rencontres officieuses et les liens qui se créent à cette occasion, les organisateurs ont réussi à trouver des avantages de la situation complexe d'une réunion présentielle internationale transformée en virtuelle. Malgré quelques problèmes de connexion de la part de certains intervenants au moment des discussions, probablement dus à une saturation du réseau dans leurs pays respectifs, l'organisation et la prise en charge ont été très bonnes.
Les frais plus modérés permettaient certainement une plus grande participation.
Les visites virtuelles de sites du patrimoine culturel et des projets ont été déployées à travers de l'ensemble du territoire chinois au lieu d'être concentrées préférentiellement sur la région de Pékin.
Les journées du 20 et 21 mai ont ensuite été consacrées aux rencontres ICOM-CC (notamment au planning des différents groupes de travail) et du Getty.
Ré-imaginer l'échange d'expositions
La conférence annuelle ICOM ICEE 2021 se tiendra en ligne du mardi 28 au jeudi 30 septembre 2021 en collaboration avec le Musée d'art et d'histoire de la Ville de Genève (MAH) et ICOM Suisse.
Plus d'un an après que la pandémie mondiale ait forcé les institutions à fermer leurs portes, les musées, les centres scientifiques et les développeurs d'expositions du monde entier tentent toujours de trouver des moyens de conserver leurs expositions, de maintenir la pertinence de leurs offres d'expositions par rapport à leurs missions, de les rendre réalisables avec des budgets réduits et de les rendre accessibles au public.
"Réimaginer l'échange d'expositions" va au-delà d'un examen et d'une adaptation de la logistique et des procédures. Il s'agit de repenser la manière dont le public s'engage dans le contenu des expositions, d'examiner les opportunités et les défis posés par la technologie et les infrastructures numériques, et de discuter de nouvelles approches pour développer des expositions plus durables.
Réimaginer de nouvelles stratégies d'échange d'expositions implique également la nécessité d'améliorer les modèles commerciaux, d'améliorer les environnements de travail et de renforcer les collaborations entre les institutions. Quelles mesures réalistes et pratiques les musées peuvent-ils prendre pour s'adapter au changement ? Que peuvent faire les professionnels des musées et des expositions lorsque les institutions sont lentes à changer ?
Pour sa conférence annuelle de 2021, l'ICEE réfléchit à l'avenir des échanges d'expositions dans un monde post-pandémique, en examinant les moyens puissants par lesquels les expositions contribuent à réimaginer le rôle des musées dans un marché culturel de plus en plus compétitif.
Nous invitons les collègues du monde entier à explorer "Réimaginer l'échange d'expositions" dans un monde post-pandémique à travers trois sous-thèmes : Audience et Engagement, Technologie, et Opérations et pratiques
L'appel à contribution :
La conférence annuelle 2021 de la CIEE acceptera les propositions dans les formats suivants :
- Un essai pour une présentation de 10 minutes relative à l'un des trois thèmes de la conférence.
- Une étude de cas pour une présentation de 10 minutes portant sur les meilleures pratiques, les défis, une situation réelle ou un projet particulier et son développement, sa mise en œuvre et ses résultats ou les principaux enseignements.
Les essais et études de cas seront jumelés pour créer des panels pour chaque session.
Date limite de soumission : 25 juin
Déposer sa candidature
Les crises et tragédies sanitaires dans les musées d'archéologie, d'histoire et des sites
La prochaine conférence annuelle de l’ICMAH se tiendra à Dakar (Sénégal) du 11 au 15 décembre 2021. En collaboration avec ICOM Sénégal, la rencontre portera sur le thème : « Les crises et tragédies sanitaires dans les musées d’Archéologie, d’Histoire et des sites ».
Les crises sanitaires, épidémiques ou pandémiques ont au cours de l’histoire affecté un grand nombre de personnes dans le monde. D’origine climatique, animale, économique ou sociale, elles révèlent qu'à de très rares exceptions près, nos ancêtres souffraient des mêmes fléaux que l'homme d'aujourd'hui. Seule la fréquence de ces maladies et leur évolution ont été modifiées, mais elles nous interpellent par leur ampleur et les traces qu’elles ont laissées sur nos sols et dans nos mémoires.
Dans les musées comme sur les sites, des collections et des documents ont été collectés, conservés et entretenus. L’analyse de ces témoins matériels et immatériels datant des périodes préhistoriques, historiques voire contemporaines qui nous renseignent sur les variations de fréquence de ces calamités au cours du temps, peut certainement fournir un éclairage sur l’érection de barricades, la fermeture de frontières, la limitation des déplacements, le confinement...
La conférence annuelle de l’ICMAH se propose de mener des réflexions sur ces crises et tragédies passées, et leur impact sur les musées ; d’apprécier le rôle de l’archéologie et de l’histoire pour disposer des informations liées à ces événements ; et enfin de traiter une série de questionnements sur cette thématique :
- Comment les musées collectent, réunissent, étudient et interprètent les collections d’objets pour aider à la compréhension du sujet ?
- Comment face à ces tragédies, les musées s’impliquent dans les travaux de mémoire, de quête de reconnaissance ou de justice pour les héritiers de ces traumatismes ?
- Comment des expositions permettent d’entretenir le souvenir pour des communautés blessées ?
- Comment exposer sans créer de stress et de traumatisme chez les visiteurs ? - Comment les musées et institutions assimilées peuvent contribuer à la construction et à l’engagement communautaire après avoir vécu ces crises ?
La rencontre de Dakar sera pour l’ICMAH l’occasion de mener une introspection sur les crises sanitaires, qui ont paralysé des communautés humaines depuis la préhistoire : une réflexion indispensable pour que l’archéologie et l’histoire soient de concert avec d’autres spécialités (médecine légale, par exemple) pour soutenir notre travail muséal.
Appel à contribution
Date limite de soumission de candidature : 30 juin
Présenter un extrait de 200 mots
Programme complet et dossier de candidature à l'appel à contribution
La spoliation des instruments de musique en Europe, 1933-1945
Colloque les 7, 8 et 9 avril 2021
Ce colloque s’inscrit dans la dynamique des études concernant les biens culturels spoliés (résultant de saisies, pillages, ventes sous la contrainte, etc.). Un travail conséquent a été mené dans diverses institutions, dont les musées, sur les œuvres d’art, et plus récemment sur les livres. La Philharmonie de Paris et en son sein le musée de la Musique et son équipe de Conservation-Recherche, souhaitent contribuer au développement des recherches sur les spoliations dans le domaine musical : recherches en provenance, marché et circulation des instruments, connaissance des acteurs et de leurs réseaux, etc.
L'histoire de la musique pendant la période nazie en France et en Europe a fait l'objet de nombreuses études et travaux au cours de la dernière décennie. Par exemple, le colloque "La musique à Paris sous l'Occupation" (Cité de la musique, 13-14 mai 2013, Fayard, 2013) s'est intéressé à l'activité des compositeurs et musiciens durant cette période. La journée d'étude "La musique spoliée" (Sciences Po, janvier 2020) a exposé les différents aspects du sujet (histoire de la spoliation des instruments, des livres et partitions de musique, démarche mémorielle). Ce colloque international est consacré spécifiquement à l'instrument de musique en tant que patrimoine et bien culturel.
Axes thématiques :
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Histoire de la spoliation des instruments de musique entre 1933 et 1945 ; histoire de leur recherche et de leur restitution après 1945
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Les sources à utiliser pour enquêter sur les spoliations
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Recherche de provenances dans les musées
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Sources du commerce des instruments de musique
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Le marché de l'art et les spoliations
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Historique des collections
Le colloque se tiendra du 7 au 9 avril 2022 à la Philharmonie de Paris (Musée de la musique) et en ligne.
La participation au colloque est gratuite et la réservation obligatoire.
Conférence annuelle de CIPEG Journal : "Egypte, Soudan et ailleurs"
Le CIPEG Journal : Ancient Egyptian & Sudanese Collections and Museums est une revue en ligne évaluée par des pairs, consacrée exclusivement à la recherche scientifique sur les collections et les musées de l'Égypte ancienne et du Soudan dans le monde.
Le CIPEG Journal publie les comptes-rendus des réunions annuelles du CIPEG et des ateliers associés - y compris les articles axés sur le thème annuel et ceux basés sur le travail général des musées et les fouilles archéologiques menées par des missions dirigées par des musées. Le "travail muséal général" comprend, sans s'y limiter, l'histoire des collections et des collectionneurs égyptiens et soudanais, la recherche sur les objets et leur provenance, les traitements de conservation, les expositions d'art égyptien et nubien, la conception de galeries et l'interprétation des collections égyptiennes et soudanaises, le développement de programmes muséaux utilisant l'art et les collections égyptiennes et soudanaises, ainsi que la pratique et la politique muséales générales dans les musées possédant de telles collections. Les contributions qui n'ont pas été présentées lors des réunions ou ateliers annuels mais qui sont liées à ces mêmes travaux de recherche sont également les bienvenues.
Le Journal du CIPEG étant soumis à un examen par les pairs, lorsque vous soumettez une contribution pour examen, veillez à ce que tous les documents soient identifiés par le titre de l'article proposé plutôt que par votre nom. Dans l'article, veuillez vous désigner comme "l'auteur" et éviter les références directes à vos propres publications. Veuillez également supprimer les informations personnelles identifiantes dans les propriétés des fichiers des documents soumis afin de garantir l'anonymat pendant l'examen par les pairs (système en double aveugle).
Appel à contribution
Les articles doivent comporter un maximum de 5000 mots, y compris les notes de bas de page, mais sans la bibliographie, les tableaux et les figures. Les illustrations sont les bienvenues. Les contributions doivent inclure un résumé de 250 mots maximum. (Le nombre de mots minimum pour le texte principal est de 1000 mots, sans compter les notes de bas de page, la bibliographie, les tableaux et les figures).
Les manuscrits peuvent être rédigés en anglais, en français ou en allemand. Nous demandons aux locuteurs non natifs de faire relire leur contribution par un locuteur natif avant de la soumettre.
Les contributions doivent être envoyées à cipeg.journal(a)gmail.com.
Pour envoyer des fichiers plus volumineux, nous recommandons l'utilisation de www.wetransfer.com, ou d'un service gratuit similaire.
Toutes les contributions dérivées des articles présentés lors de la réunion annuelle doivent être reçues avant le 1er mai de l'année suivante (par exemple : les contributions présentées lors de la réunion annuelle virtuelle de 2020 doivent être soumises au plus tard le 1er mai 2021).
Recueillir les traces du COVID
Retrouvez l'enregistrement de la séance portant sur la collecte des traces du Covid par les musées
Entre objets et idées, comment les musées ont-ils collecté les traces du Covid ?
Comment cette pandémie est-elle observée, vécue et racontée par les musées ?
La pandémie a-t-elle mis en lumière le rôle éducatif des musées face aux « fake news » ?
Quelle place accorder au digital et aux témoignages numériques ?
Quelles conséquences sur les collections des musées et leurs professionnels ?
Avec les témoignages de :
- Foteini Aravani, conservatrice de la collection digitale du musée de Londres
- Emilie Girard, directrice scientifique et des collections du Mucem (Marseille)
- Elisabeth Ioannides, conservatrice au musée national d'art contemporain d'Athènes (EMST) & art-thérapeute
- Maria Ollila, conservatrice au musée national de Finlande (Helsinki) & secrétaire du réseau finlandais TAKO pour la collecte et la documentation contemporaine
- Corinne Thépaut-Cabasset, présidente d'ICOM Costume, Mode & Textiles
- Jacob Thorek Jensen, membre du conseil d'administration du CIMUSET & conservateur au musée national des sciences et de la technologie du Danemark (Elseneur)
La séance a été modérée par Estelle Guille des Buttes, conservateur en chef du patrimoine, trésorière adjointe à ICOM France.
Vidéo de la séance
Podcast in English
Grabación sonora en español
Le Cycle "Solidarités, musées : de quoi parle-t-on ?" est une initiative d'ICOM France en partenariat avec ICOM Finlande, ICOM Grèce, ICOM Israël et CIMUSET. Il a obtenu le soutien financier de l'ICOM international.
Recueillir les traces du COVID : comment les musées témoigneront-ils de cette page d’histoire mondiale ?

Retrouvez l'enregistrement de la séance portant sur la collecte des traces du Covid par les musées
Entre objets et idées, comment les musées ont-ils collecté les traces du Covid ?
Comment cette pandémie est-elle observée, vécue et racontée par les musées ?
La pandémie a-t-elle mis en lumière le rôle éducatif des musées face aux « fake news » ?
Quelle place accorder au digital et aux témoignages numériques ?
Quelles conséquences sur les collections des musées et leurs professionnels ?
Avec les témoignages de :
- Foteini Aravani, conservatrice de la collection digitale du musée de Londres
- Emilie Girard, directrice scientifique et des collections du Mucem (Marseille)
- Elisabeth Ioannides, conservatrice au musée national d'art contemporain d'Athènes (EMST) & art-thérapeute
- Maria Ollila, conservatrice au musée national de Finlande (Helsinki) & secrétaire du réseau finlandais TAKO pour la collecte et la documentation contemporaine
- Corinne Thépaut-Cabasset, présidente d'ICOM Costume, Mode & Textiles
- Jacob Thorek Jensen, membre du conseil d'administration du CIMUSET & conservateur au musée national des sciences et de la technologie du Danemark (Elseneur)
La séance a été modérée par Estelle Guille des Buttes, conservateur en chef du patrimoine, trésorière adjointe à ICOM France.
Vidéo de la séance
Podcast in English
Grabación sonora en español
Le Cycle "Solidarités, musées : de quoi parle-t-on ?" est une initiative d'ICOM France en partenariat avec ICOM Finlande, ICOM Grèce, ICOM Israël et CIMUSET. Il a obtenu le soutien financier de l'ICOM international.
Les techniques d'exposition des musées archéologiques dans un monde numérique
La pandémie de Covid-19 a touché toute la vie culturelle, y compris celle des musées. De nombreux musées n'étaient pas prêts à perdre le contact avec leur "monde réel". Les musées ont été fermés, le personnel a commencé à travailler à domicile, il n'y a plus de visiteurs, plus d'activités publiques, éducatives, scientifiques...
L'adaptation à la nouvelle situation a pris un temps relativement court. Les pratiques culturelles ont changé grâce au monde numérique pendant la crise. D'une certaine manière, il a permis de développer de nouvelles opportunités et de nouvelles compétences pour que les musées reprennent contact avec leur indispensable public. Les normes ont été modifiées, de même que les perceptions de l'espace et du temps. Les musées, comme d'autres institutions, ont redécouvert le potentiel du monde numérique grâce au télétravail, aux réunions vidéo et audio, aux expositions virtuelles et aux activités en ligne, aux webinaires et aux ateliers.
La crise est toujours d'actualité. Pendant cette période, nous avons appris davantage sur la connexion virtuelle, la solidarité entre les musées et la créativité dans la communication. ICMAH garde l'actualité du sujet et utilise la situation comme une opportunité pour réaliser des événements en ligne avec des parties du monde des musées.
Pour discuter de ces sujets, nous vous invitons à une conférence qui sera organisée en collaboration avec ICOM Russia et le Musée-Réserve de l'île-ville de Sviyazhsk, cet événement marquera un souvenir de ces jours de pandémie.
La conférence sur le zoom se tiendra le 21 juin, à 14 heures, heure de Paris, avec traduction simultanée anglais-russe.