
Recherche
Résultats de la recherche
2161 résultats trouvés
Le comité SUSTAIN à la 27ème Conférence générale de l'ICOM 2025
Le thème de la 27ème conférence générale de Dubai est : L’avenir des musées au sein de communautés en constante évolution
ICOM-SUSTAIN prévoit de s'associer à ICOM-AVICOM et ICOM-NATHIST pour trois sessions, présentées dans un format hybride.
- 12 novembre 2025. Session A : Format conférence (14:30-16:00) en partenariat avec ICOM-AVICOM.
- 12 novembre 2025 Session B : Format de formation/conférence (16:30-18:00) en partenariat avec ICOM-NATHIST.
- 13 novembre 2025. Session C : Format conférence (14:30-16:00) en partenariat avec ICOM-AVICOM.
SAVE THE DATE Journée ICOM-SUSTAIN et Assemblée générale : 15 novembre 2025
Pour suivre l'actualité d'ICOM SUSTAIN, connectez vous sur le mini-site dédié :
Prenez le pouls de votre public grâce à l’étude Sentomus 2025
Après le grand succès de Sentomus en 2024, l'étude européenne sur le public des musées est de retour en 2025 !
Sentomus est une étude à grande échelle qui permet aux musées d’impliquer leurs visiteurs grâce à un outil d’enquête accessible. Les musées obtiennent des informations précieuses sur leur impact ainsi que sur les différentes facettes de l’expérience et des motivations de leurs visiteurs. Grâce à l’approche européenne, il est possible de comparer les résultats avec des musées similaires dans sept pays.
- Déjà 200 musées ont participé à Sentomus
- Plus de 50 000 visiteurs ont été interrogés
Inscriptions jusqu’au 31 mai 2025
Actuellement disponible en France, en Belgique, en Allemagne, aux Pays-Bas, Autriche, en Espagne et en Italie
Un webinaire avec les résultats de l’édition 2024 est disponible.
Vous trouverez toutes les informations sur l'étude à l'adresse suivante :
SITEM 2025
La 29ème édition SITEM, Salon International des musées, des lieux de culture et de tourisme, est de retour au Carrousel du Louvre les 25 et 26 mars 2025. ICOM France sera présent !
Cette édition sera marquée par de nombreuses nouveautés :
- Un renouvellement du format du salon sur 2 jours, qui proposera une offre enrichie et densifiée, avec une programmation qualitative et de nouveaux pôles afin de renforcer l’offre 360° du SITEM.
- Une offre encore plus complète. Sur 4750 m², plus de 180 exposants (+ 6 % vs 2024) originaires de 14 pays, présenteront leurs dernières innovations et dernières actions. À noter que cette année, les principales institutions et associations du secteur seront présentes pour échanger avec les visiteurs.
- Avec 39 % de nouveaux exposants en 2025, cette nouvelle édition du SITEM vous permettra de découvrir les dernières tendances dédiées aux musées, monuments et lieux de culture
- Une programmation riche et renforcée autour de thématiques fortes axées autour de l’éco-responsabilité, l’attractivité culturelle, l'intelligence artificielle au service des collections muséales, des stratégies de collaborations internationales des institutions culturelles, des nouvelles approches de communication pour un tourisme durable, et comment faire vivre le patrimoine, les nouveaux modèles…
- et près d’une vingtaine d’ateliers, lieux d’échanges entre les institutions et les dernières innovations, sont déjà programmés et accueilleront des intervenants nationaux et internationaux, experts reconnus du secteur.
- De nouveaux espaces à découvrir (espace éco-conception, espace jobdating en partenariat avec Profil Culture…), et espace immersif proposant en libre accès des nouvelles médiations numériques en réalité virtuelles, mixtes ou augmentées.
L’attractivité internationale sera également à l’honneur cette année, avec la deuxième édition de la Paris Museum Week du 24 au 28 mars 2025 (www.parismuseumweek.com), une initiative du groupe Beaux Arts & Cie en association avec Museumweek, ICOM France, Paris Musées, l’OCIM et le Club Innovation Culture.
Les membres d'ICOM France bénéficient d'un code exceptionnel pour participer gratuitement au salon : SITEM25ICOM

À propos de Beaux Arts & Cie
Développé autour de Beaux Arts Magazine, le leader de la presse culturelle et artistique française, et de Beaux Arts Éditions, qui publie près de 80 éditions par an, le pôle Media de Beaux Arts & Cie s’est étendu avec la création de beauxarts.com, le rachat du Quotidien de l’Art, premier quotidien professionnel numérique, et le lancement du trimestriel Geste/s consacré aux métiers d’art. Depuis 2017, le groupe s’est diversifié dans le conseil, la création de conférences et rencontres entre professionnels et la médiation avec Point Parole, la référence des guides conférenciers pour les musées.
En 2020, avec le rachat de Museum Experts, les salons professionnels SITEM et MUSEVA ont rejoint les activités du Groupe.
Contacts Le Public Système PR pour Beaux Arts & Cie
Valérie Duthey – 06 22 25 24 91- vduthey@lepublicysteme.fr
Laura Dubois - ldubois@lepublicysteme.fr
Beaux Arts & Cie
Jérôme Buvat - Directeur Beaux Arts Events - 06 08 83 16 57 – jerome.buvat@beauxarts.com
L’enjeu des provenances en France : vers une nouvelle politique du ministère de la Culture
L’enjeu des provenances en France : vers une nouvelle politique du ministère de la Culture
Catherine Chevillot, conservatrice générale du patrimoine et responsable de la préfiguration de la mission "Provenance" du service des musées de France - Ministère de la culture, sera la prochaine invitée de notre session des 52 minutes d'ICOM France le jeudi 27 mars à 12h30, en ligne.
Le ministère décidait en 2023 de porter une politique de recherche de provenance et créait début 2024 une mission de préfiguration ayant plusieurs objectifs :
- Dégager une stratégie de recherche sur la provenance des collections coordonnant les différents acteurs et pilotée par le service des musées de France
- Identifier les compétences nécessaires à la constitution d’une équipe spécialisée au sein du service et esquisser la manière dont elle s’articulera avec les réseaux d’experts
- Créer ou renforcer les cadres méthodologiques de recherche en provenance et définir les outils, référentiels et ressources nécessaires, dans une perspective nationale et internationale
L’intervention permettra à Catherine Chevillot de faire un point d’étape sur la progression de l’action sur ces sujets.
La séance sera modérée par Emilie Girard, présidente d'ICOM France.
Rendez-vous à 12h30 en ligne pour suivre la rencontre
ID de réunion: 862 7386 7463
Code secret: 663289
Qui est Catherine Chevillot ?
Docteure en histoire de l’art contemporain, spécialiste de la sculpture, elle a été adjointe au directeur du musée de Grenoble (1988-1990), conservatrice de la section sculpture du Musée d’Orsay (1990-1996), puis du Centre de recherche et de restauration des musées de France (1999-2003), avant de réintégrer le Musée d’Orsay, d’abord comme cheffe du service de la recherche (2003 à 2008) puis conservateur en chef pour la sculpture. En 2012, elle prend la direction du musée Rodin dont elle mène la rénovation complète, puis est présidente de la Cité de l’architecture (2021-2024).
Elle fait preuve d’une expérience diversifiée au sein des musées de France, dont elle connaît les contextes divers, en collectivité locale, dans les musées nationaux, en service à compétence nationale, enfin en tant que dirigeante. Elle est par ailleurs familière des chantiers de collections ainsi que de la recherche, de la création de documentations et des publications qui y sont attachées, et a lancé des bases de données de références (Monuments publics, Salons). Ayant suivi les évolutions des politiques patrimoniales depuis 35 ans et conduit des politiques d’acquisitions, elle a aussi dans le contexte très particulier du musée Rodin mené à terme des actions significatives contre les fraudes et contrefaçons.

Accompagner une filière économique - Quelle place pour les musées ?
Accompagner une filière économique - Quelle place pour les musées ?
L’exemple du musée du vin de Champagne et d’Archéologie régionale
Laure ménétrier, directrice et conservatrice du musée du vin de Champagne et d’Archéologie régionale à Epernay, viendra échanger avec nous le 27 février prochain à 12h30, dans notre cycle : Les 52 minutes d'ICOM France. La rencontre se tiendra en ligne.
Ce rendez-vous d’ICOM France propose de s'interroger sur le rôle social des musées possédant des collections liées au monde agricole et notamment vitivinicole. Le musée peut-il et doit-il se positionner comme un lieu de débat et de réflexion face aux enjeux sociétaux, économiques et écologiques actuels de ce secteur d’activité ?
Comment créer et tisser du lien entre des collections anciennes et les problématiques contemporaines liées à la décarbonation de ces filières et aux nouveaux modes de consommation des concitoyens ? Comment sensibiliser les publics et les impliquer dans ces interrogations ?
L’exemple du partenariat entre le musée du vin de Champagne et d’Archéologie régionale et l’interprofession du champagne, incarné notamment par la création d’une exposition itinérante sur l’encépagement et l’innovation, offrira l’une des réponses qui peuvent être formulées afin de répondre à ces questions.
La séance sera modérée par Emilie Girard, présidente d'ICOM France.
Rendez-vous à 12h30 en ligne pour suivre la rencontre
ID de réunion: 894 5384 7426
Code secret: 668635
Qui est Laure Ménétrier ?
Diplômée de l'École du Louvre et de l'université de Bourgogne, historienne de l'art, Laure Ménétrier dirige le musée du vin de Champagne et d'Archéologie régionale à Epernay depuis février 2020. Ses travaux de recherche portent essentiellement sur la patrimonialisation et la valorisation des cultures viticoles.


Baisse des financements publics ? Une réponse mondiale des musées - ENG

DECREASE IN PUBLIC FUNDING ? A worldwide answer from Museums est la nouvelle publication menée par l’Alliance internationale de recherche sur le financement public des musées (IRAPFM).
Elle met en évidence le déclin persistant du financement public dans le monde et apporte une contribution importante à la compréhension globale des modèles de financement des musées et de leur adaptation à divers contextes régionaux et culturels.
En juillet 2022, le Conseil académique et de programmation de l’ICOM-IMREC a sélectionné le projet IRAPFM, dirigé par l’Université du Québec à Montréal (UQAM), comme la proposition gagnante de l’appel à la recherche ciblée sur le financement public des musées. L’équipe de l’IRAPFM est composée de chercheurs et d’institutions de premier plan du monde entier, parmi lesquels :
- UQAM, Canada (Pr Yves Bergeron, Pr Lisa Baillargeon, et Me Michèle Rivet, C.M.)
- Musée National des Beaux-Arts du Québec, Canada (Me Marc Lajoie)
- Te Herenga Waka Victoria University of Wellington, Nouvelle-Zélande (Pr. Conal McCarthy)
- Université de Barcelone, Espagne (Pr. Xavier Roigè)
- Universidade Federal Do Est Ado do Rio de Janeiro, Brésil (Dra Luciana M. de Carvalho)
- Des chercheurs supplémentaires de l’Inde (Pr. Ambika Patel) et de l’Afrique du Sud (Mme Catherine Snel).
L’étude de l’IRAPFM a utilisé une méthodologie solide comprenant une enquête quantitative distribuée à tous les comités nationaux de l’ICOM, fournissant un aperçu global des tendances en matière de financement public. Elle a été complétée par une enquête qualitative auprès de musées sélectionnés en Afrique, en Asie, en Europe, en Amérique latine et dans les Caraïbes, en Amérique du Nord et en Océanie, qui a mis en évidence les pratiques de financement innovantes et les défis à relever. En outre, la recherche a intégré une analyse documentaire complète, qui a fourni une analyse contextuelle à travers une vaste collection d’articles, de rapports et d’ouvrages universitaires.
Ce rapport final représente une étude complète de l’état global du financement public des musées. Il lance un appel clair à l’action aux parties prenantes du monde entier pour qu’elles donnent la priorité à des solutions de financement durables.

Étude des leviers juridiques facilitant l’inscription des activités culturelles dans l’économie circulaire

Le ministère de la Culture publie une étude proposant des solutions juridiques afin de favoriser le réemploi et la mutualisation dans les filières culturelles.
Dans leur travail commun de transition écologique de la culture, les incertitudes ou difficultés juridiques figurent au premier plan des sujets évoqués entre les professionnels des différentes filières et le ministère. Aussi ce dernier a-t-il engagé deux grands chantiers autour du droit. Le premier, en cours, est porté par le Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique (CSPLA) pour identifier en quoi ce champ juridique interagit avec les enjeux de durabilité. Le deuxième chantier a été mené par le ministère, avec l’appui d’écoconseillers et de juristes, et en lien avec les professions concernées : il portait sur l’économie circulaire et la mutualisation.
Plusieurs questions juridiques sont en effet soulevées de façon récurrente, qu’il s’agisse de réemployer un décor, mutualiser un équipement ou un matériel, ou encore donner une deuxième vie à une scénographie. Le ministère de la Culture a ainsi piloté pendant une année un travail, nourri des retours et observations du terrain et étayé d’analyses juridiques. La phase de diagnostic a fait l’objet d’une présentation publique à l’occasion de l’édition 2024 du forum Entreprendre dans la culture, organisé par le ministère. Les pistes de solution ayant donné lieu à un échange avec l’ensemble des parties prenantes au projet.
C’est donc à la suite de ce chantier participatif et itératif que le ministère de la Culture en publie les premières conclusions dans une étude qui propose des pistes de solutions pour quatre thématiques majeures :
- sécuriser les investissements partagés ;
- favoriser la demande d’une subvention au bénéfice de plusieurs partenaires ;
- créer un cadre favorable à la mutualisation (par exemple d’un équipement) ;
- favoriser le réemploi des matériaux dans le respect des règles, notamment de sécurité.
Ce travail de fond débouchera en complément, dans le second semestre 2025 sur des fiches pratiques, très opérationnelles, et fera également l’objet dans le printemps d’échanges avec les autres administrations publiques concernées par certains points juridiques spécifiques.

Conférence internationale 2025 pour les professionnels des musées de l'aviation
Network for Aviation Museums est le premier groupe d'intérêt spécial du CIMUSET et a conclu un partenariat de coopération de quatre ans avec NAMOK en septembre 2024. Dans le cadre de ce partenariat, NAMOK co-organisera avec CASM & Ingenium la conférence internationale 2025 pour les professionnels des musées de l'aviation en mai.
La conférence comprendra 6 sessions, avec environ trois présentations par session, ainsi que des ateliers connexes pour présenter un programme très spécialisé pour les professionnels des musées de l'aviation.
Lieu de l'événement :
Musée de l'aviation et de l'espace du Canada (CASM) et Centre Ingenium, Ottawa, CANADA
Conférence internationale 2025 pour les professionnels des musées de l'aviation
Network for Aviation Museums est le premier groupe d'intérêt spécial du CIMUSET et a conclu un partenariat de coopération de quatre ans avec NAMOK en septembre 2024. Dans le cadre de ce partenariat, NAMOK co-organisera avec CASM & Ingenium la conférence internationale 2025 pour les professionnels des musées de l'aviation en mai.
La conférence comprendra 6 sessions, avec environ trois présentations par session, ainsi que des ateliers connexes pour présenter un programme très spécialisé pour les professionnels des musées de l'aviation.
Lieu de l'événement :
Musée de l'aviation et de l'espace du Canada (CASM) et Centre Ingenium, Ottawa, CANADA
Prix Colette Dufresne-Tassé 2025
Créé en 2015, le Prix Coltte Dufresne-Tassé vise à stimuler la recherche chez les membres du CECA
Ce Prix existe maintenant sous deux formes: une forme Junior pour les étudiants, membres de moins de 35 ans, et une forme Sénior pour les membres plus âgés
Description
Le Prix consiste en une contribution de 400 Euros aux coûts d’hébergement de chacun des lauréats et à ses frais d’inscription à la conférence internationale annuelle du CECA. Il implique aussi la présenttion des deux recherches primées à la conférence et leur publication sur le site web du CECA.
Exigences
Soumettre un texte de 35 000 à 70 000 caractères (espaces compris), rédigé dans l’une ou l’autre des langues officielles de l’ICOM, soit l’anglais, le français ou l’espagnol.