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Conférence internationale 2025 pour les professionnels des musées de l'aviation
Network for Aviation Museums est le premier groupe d'intérêt spécial du CIMUSET et a conclu un partenariat de coopération de quatre ans avec NAMOK en septembre 2024. Dans le cadre de ce partenariat, NAMOK co-organisera avec CASM & Ingenium la conférence internationale 2025 pour les professionnels des musées de l'aviation en mai.
La conférence comprendra 6 sessions, avec environ trois présentations par session, ainsi que des ateliers connexes pour présenter un programme très spécialisé pour les professionnels des musées de l'aviation.
Lieu de l'événement :
Musée de l'aviation et de l'espace du Canada (CASM) et Centre Ingenium, Ottawa, CANADA
Conférence internationale 2025 pour les professionnels des musées de l'aviation
Network for Aviation Museums est le premier groupe d'intérêt spécial du CIMUSET et a conclu un partenariat de coopération de quatre ans avec NAMOK en septembre 2024. Dans le cadre de ce partenariat, NAMOK co-organisera avec CASM & Ingenium la conférence internationale 2025 pour les professionnels des musées de l'aviation en mai.
La conférence comprendra 6 sessions, avec environ trois présentations par session, ainsi que des ateliers connexes pour présenter un programme très spécialisé pour les professionnels des musées de l'aviation.
Lieu de l'événement :
Musée de l'aviation et de l'espace du Canada (CASM) et Centre Ingenium, Ottawa, CANADA
Prix Colette Dufresne-Tassé 2025
Créé en 2015, le Prix Coltte Dufresne-Tassé vise à stimuler la recherche chez les membres du CECA
Ce Prix existe maintenant sous deux formes: une forme Junior pour les étudiants, membres de moins de 35 ans, et une forme Sénior pour les membres plus âgés
Description
Le Prix consiste en une contribution de 400 Euros aux coûts d’hébergement de chacun des lauréats et à ses frais d’inscription à la conférence internationale annuelle du CECA. Il implique aussi la présenttion des deux recherches primées à la conférence et leur publication sur le site web du CECA.
Exigences
Soumettre un texte de 35 000 à 70 000 caractères (espaces compris), rédigé dans l’une ou l’autre des langues officielles de l’ICOM, soit l’anglais, le français ou l’espagnol.
Prix Best Practice CECA - 2025
ICOM France relaie l'appel à candidatures pour le prix Best Practice du comité CECA 2025
Ce prix a été initialement organisé pour les raisons suivantes :
- Établir un langage commun entre les membres du CECA dans le monde entier afin qu’ils puissent plus facilement partager leurs expériences ;
- Favoriser la comparaison des programmes organisés dans le monde entier, afin que les membres du CECA puissent plus facilement intégrer les idées exogènes dans leur propre travail ;
- Diffuser les programmes présentés par les membres du CECA dans l’ensemble de la communauté muséale de façon à ce qu’ils puissent inspirer tous les professionnels du domaine.
Cette année 2025, les trois meilleurs programmes recevront à nouveau ce prix, selon les critères présentés ci-dessous.
Les lauréats se verront offrir la possibilité de participer à la conférence annuelle CECA en 2025. Les frais d’inscription à la conférence et une contribution de 400 euros pour leur hébergement seront pris en charge par le CECA (Veuillez noter que les frais de transport ne seront pas couverts).
Conférence annuelle - ICOM CECA
La conférence annuelle de l’ICOM CECA - comité international pour l'éducation et l'action culturel - 2025 aura lieu à Dubaï en novembre
Cette conférence se tiendra conjointement à la Conférence Générale triennale de l’ICOM
Calendrier CECA à retenir :
- Assemblées statutaires, 11 novembre 2025
- Programme scientifique et sessions CECA, 12-13-14 novembre
- Réunion hors site, 15 novembre
- Excursion payante de 3 jours, précisions à venir.
Les musées face à leurs responsabilités environnementales et sociétales

Le cycle « Les musées face à leurs responsabilités sociales et environnementales : vers un modèle éthique et durable » proposait de créer un espace de discussion et de dialogue dédié à tous les membres de l’ICOM, leur permettant d’échanger, de faire état de leurs doutes et interrogations, d’exprimer des attentes, de présenter des opérations inspirantes.
Soutenu par l’ICOM au titre de l’appel à projets « Solidarités » en 2023, ce projet porté par ICOM France a été coorganisé avec 9 partenaires : ICOM Canada, ICOM Espagne, ICOM Liban, ICOM-CC, ICTOP, NATHIST, ICOM Arabe, ICOM LAC et l'université du Québec à Trois-Rivières (qui a également apporté un soutien financier), chacun prenant le pilotage d’une session.
Élaboré sur la base des objectifs de développement durables de l’Agenda 2030 de l’ONU et répondant au plan stratégique de l’ICOM pour les années 2022-2028, il avait pour ambition de créer une plateforme d’échanges à l’échelle internationale. Il s’agissait de mettre en avant des expériences innovantes et inspirantes de professionnels de musées de différents pays, afin de montrer comment les musées peuvent concrètement s’engager dans leurs actions quotidiennes pour construire un avenir plus durable.
Ce cycle a donc été bâti autour de six thématiques visant à diffuser largement une réflexion neuve et engagée sur les questions des musées et du développement durable compris dans une acception vaste, à la fois environnementale et sociétale.
Retrouvez chacune de ces six séances dans cette publication éditée en français.
La version en anglais est disponible en ligne.
La version en espagnol devrait paraître dans les prochaines semaines.
ICOM France - avril 2024 - (actualisation 4 juin 2024)

Patrimoine et mémoire de l'esclavage

Comment des musées de types variés, dont les projets scientifiques et culturels, les modes d’approche et les moyens diffèrent, répondent-ils aux questions que pose l’exposition des collections liées à l’histoire de l’esclavage ?
Alors que le ministère de la Culture travaille sur la valorisation de « patrimoines contestés » ; alors que la question de la « décolonisation » des musées, des collections et des modes de fonctionnement de nos établissements est au cœur des réflexions menées par la communauté des professionnels en France comme à l’étranger, notamment au sein de l’ICOM ; alors que la question des droits humains est de plus en plus présente dans nos échanges professionnels, cette soirée-débat a proposé un temps de partage d’expériences et de réflexions de professionnels autour de cette question de fond qui concerne aujourd’hui un large éventail de typologies de musées.
Les intervenants ont souhaité aborder cette thématique non plus en termes historique ou économique mais en humanisant les récits grâce aux traces tangibles parvenues jusqu'à nous (moulages, lettres et archives, artefacts, beaux-arts, témoignages des descendants) afin de redonner une voix, un visage à ces personnes par le biais des collections muséales.
Retrouvez les interventions de M’hamed Oualdi (professeur d'histoire de l’Europe et de l’Afrique du Nord du XIXe et XXe siècle à l’Institut universitaire européen), Klara Boyer-Rossol (historienne, chercheuse et curatrice de l’exposition Visages d’ancêtres. Retour à l’Île Maurice pour la collection Froberville), Aly Ndiaye alias Webster (artiste hip-hop et historien indépendant, curateur de l’exposition Fugitifs !), Hanna Pennock (co-présidente du groupe de travail de l’ICOM sur la décolonisation), Dominique Taffin (chargée de mission au ministère de la Culture et ancienne directrice de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage) et Coralie de Souza Vernay (responsable Patrimoine & Recherche de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage).
Ouverture de la rencontre par Charles Personnaz (directrice de l'Institut national du patrimoine) et Emilie Girard (présidente d'ICOM France).
Modération : Nathalie Bondil (directrice du musée et des expositions de l’Institut du monde arabe).

Liste rouge - Brésil

Depuis sa création en 1946, l’ICOM est profondément préoccupé par les mouvements illégaux de biens culturels et s’appuie sur son réseau d’experts pour développer des outils et des bonnes pratiques afin d’aider les professionnels des musées à protéger leur patrimoine.
Cette nouvelle Liste rouge poursuit ce travail et prend en compte le contexte particulier du Brésil. Le Brésil est un pays extrêmement diversifié, doté d’un riche patrimoine représentatif de ses diverses traditions culturelles et de son histoire. Malgré des lois strictes protégeant ce patrimoine, tant au niveau national qu’international, le patrimoine brésilien est menacé de vol et d’exportation illégale.
Comme dans de nombreux pays, le patrimoine archéologique brésilien est menacé de vol dans les musées et sur les sites archéologiques, ainsi que dans les institutions religieuses et leurs objets d’art liturgique et de service, les documents bibliographiques, les objets des communautés autochtones du Brésil et les fossiles, objets importants sur le plan culturel et scientifique, qui sont très prisés à l’étranger par les collectionneurs et les chercheurs.
“Cette nouvelle liste rouge de l’ICOM pour le Brésil est un outil supplémentaire à la disposition des services de police et des douanes, qui peut nous aider à protéger le patrimoine culturel. Interpol Brésil salue l’inclusion d’une section consacrée aux matériaux paléontologiques et aux fossiles, qui reconnaît le pillage et le trafic illicite de biens culturels spécifiques au Brésil. Cette orientation, associée aux outils existants, tels que l’application ID-ART d’INTERPOL et la base de données sur les œuvres d’art volées, contribuera grandement à la protection du patrimoine au Brésil”.
Scynthia Schettino
Interpol Brésil
L’objectif de cette Liste rouge des biens culturels brésiliens en péril est de contribuer à la protection du patrimoine culturel en recensant les types d’objets les plus menacés par le vol, le pillage et le trafic. Les objets figurant sur cette liste rouge n’ont pas été volés, mais sont des exemples de typologies d’objets à risque. Les musées, les maisons de vente aux enchères, les marchands d’art et les collectionneurs sont instamment priés de ne pas acquérir d’objets similaires à ceux présentés dans cette Liste rouge, sans avoir exercé une vérification minutieuse et approfondie, sans s’être assuré de la provenance des objets et sans avoir examiné toute la documentation légale pertinente.
“Les Listes rouges de l’ICOM sont importantes non seulement parce qu’elles sensibilisent au trafic illicite, mais aussi parce qu’elles constituent un outil précieux pour encourager l’application des procédures de diligence raisonnable et la recherche de la provenance, comme le stipule le Code de déontologie de l’ICOM pour les musées. L’ICOM se réjouit de poursuivre sa collaboration avec ses comités nationaux dans l’établissement de normes et la diffusion de ressources, telles que cette nouvelle Liste rouge – la première à inclure une section sur les fossiles – qui nous rappelle que les objets culturels à risque sont divers et que les musées doivent toujours faire preuve de diligence dans leurs acquisitions.”
Sophie Delepierre
Chef du département de la protection du patrimoine


Conservation et interventions de préservation sur les documents graphiques : manipulation, dépoussiérage, conditionnement
Du 2 au 4 avril 2025, cette formation permet d’améliorer les conditions de conservation des documents graphiques, souvent présents en grande quantité dans les institutions. Après un rappel des notions de conservation- restauration et des gestes de manipulation des documents graphiques, seront abordées les interventions préventives qui peuvent être mises en place avant leur conditionnement. La présentation et la mise en œuvre de différents types de conditionnement clôtureront ces trois jours de stage.
En collaboration avec les archives de France et le centre de conservation du Louvre
Objectifs pédagogiques
Cette formation permet d’améliorer les conditions de conservation des documents graphiques, souvent présents en grande quantité dans les institutions. Les notions de base, préliminaires à toute intervention, seront abordées et permettront de procéder aux interventions nécessaires ou non avant le conditionnement.
Les notions indispensables sur les facteurs et processus d’altération, les fragilités matérielles des documents et les méthodes et techniques qui garantissent leur manipulation sans risques seront rappelées.
Ces considérations préliminaires permettront d’introduire les opérations de dépoussiérage préalable nécessaires ou non avant conditionnement. Pour garantir au mieux la bonne conservation des documents, les différents types de conditionnements seront vus par typologies de documents, en considérant les différents critères qui entrent en jeux lors des choix que nous devons effectuer.
Public concerné
Professionnels de la conservation-restauration, professionnels du patrimoine de l’Etat et des collectivités territoriales.
Coordination
Caroline Marchal, conservatrice-restauratrice d’arts graphiques, consultante en conservation préventive ; Marie-Lys Margueritte, Directrice déléguée, centre de conservation du Louvre direction du soutien aux collections.
Intervenants
Caroline Marchal ; Corinne Cheng, conservatrice-restauratrice en arts graphiques et livres en poste à l’atelier de restauration, reliure et dorure (A2RD) des archives nationales ; autres intervenants à déterminer.
Modalités d'inscription
Lire les conditions d'inscription
Lorsque votre bulletin est complété et signé, il doit impérativement être adressé par courrier électronique à : Céline Jabin, service de la formation continue des restaurateurs.
Tel. : 01 49 46 57 16 - celine.jabin@inp.fr
Le service de formation reviendra ensuite vers vous pour vous indiquer la suite donnée à votre demande.
Culture et Handicap, pour des postes à responsabilité inclusifs et accessibles
Cette journée d’étude organisée par l’association des Élèves Conservateurs Stagiaires du Patrimoine (ECSPat) propose d’aborder les enjeux d'accès des personnes en situation de handicap aux postes à responsabilité dans le secteur culturel.
En 2025, la Loi Handicap fête ses vingt ans et des progrès ont pu être notés dans la mise en accessibilité d’une partie des structures culturelles et patrimoniales aux personnes en situation de handicap. Cependant, si cette avancée est indéniable, elle masque une autre problématique souvent ignorée : celle de leur accès à l'emploi, et plus particulièrement aux postes à responsabilité et de cadres dans le secteur culturel.
Ce constat nous amène à interroger les mécanismes de l’encadrement dans le secteur culturel. En effet, les efforts d'accessibilité se concentrent souvent sur l'accueil du public et sur les questions d’aménagements matériels (rampe d'accès, dispositifs d'aide à la communication, etc.), alors que l'accès à l'emploi et à la carrière au sein des institutions culturelles reste un sujet largement délaissé. Cette situation suggère l'existence de barrières structurelles et d’un manque de visibilité des personnes en situation de handicap dans les processus de formation, de recrutement et d’évolution de carrière.
Cela soulève une question fondamentale : les politiques d’accessibilité qui visent l’inclusion sont-elles suffisantes si elles ne permettent pas l'accès des personnes handicapées à des fonctions décisionnelles au sein des institutions culturelles ?
En abordant ces questions, cette journée d'étude ambitionne d’ouvrir un espace de réflexion et d'échange sur les moyens de promouvoir une culture de l'inclusion, et de permettre ainsi à tous les professionnels de trouver leur place, quels que soient leurs handicaps.
Cette journée d’étude est organisée par l’association des Élèves Conservateurs Stagiaires du Patrimoine (ECSPat) avec le soutien de l’Institut national des Études territoriales (INET) et de l’Institut national du patrimoine (Inp).
Pour contacter les organisateurs : ecspat.inp@gmail.com
Quelques chiffres…
Le manque de représentation des personnes handicapées dans les fonctions managériales reflète un problème plus général de l'emploi en France. Une étude de la DARES de 20221 révèle que seulement 38 % des personnes ayant une reconnaissance administrative de handicap sont en emploi, un taux presque deux fois inférieur à celui de la population générale. Cette sous-représentation est particulièrement flagrante dans les postes à responsabilité : seulement 8 % des personnes en situation de handicap accèdent à une position de cadre, contre 17 % pour l'ensemble de la population.
(1) 2022, Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, Ministère du Travail : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/publication/le-taux-de-chomage-des-personnes-reconnues-handicapees-recule-nettement-entre-2015-et
Informations pratiques
La journée d'études aura lieu à l'auditorium Jacqueline Lichtenstein, Institut national d’histoire de l’art (INHA), 2 rue Vivienne 75002