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SOMUS - 2ème Conférence Internationale
Après le succès de notre 1ère Conférence à Rio de Janeiro, nous sommes heureux d'annoncer la tenue de la 2ème Conférence Internationale, qui aura lieu à Lisbonne les 13 et 14 février 2025. La conférence se concentrera sur l'élaboration de contributions de Muséologie Sociale pour la révision du Code de déontologie de l’ICOM et aura pour thème « Perspectives de la muséologie sociale pour le Code de déontologie de l’ICOM"
La responsabilité sociale des musées dans la promotion des droits de l'homme doit être incluse. (Recommandations UNESCO 2015) dans les différents domaines d’activité des musées.
La déclaration finale de cette conférence pourrait être très importante pour l'avenir des musées et de la muséologie. C’est pourquoi il est important de se mobiliser pour cette tâche, d’autant que le contexte mondial de régression sociale favorise des positions plus conservatrices et rétrogrades. Il est nécessaire de protéger l’inclusion des défis contemporains, notamment dans les actions des musées dialogiques communautaires, en faveur de la justice cognitive et d e la dignité humaine.
Ci-joint nous envoyons toutes les informations (Programme prévisionnel, Formulaire d'inscription, call à interventions et le projet d'Affiche). Le site SOMUS-ICOM est mis à jour et contient plus d'informations.
Nous comptons sur tous et toutes, dans cette occasion qui sera une conférence historique fondamentale, pour ceux qui croient au pouvoir des musées pour améliorer le monde dans lequel nous vivons.
Mário Moutinho
Président do Comité Internacional da la Museologie Social SOMUS-ICOM
Viticulture d’hier et de demain : l’éclairage des sciences de l’archéologie
Musée de France, le musée du vin de Champagne et d’Archéologie régionale d’Épernay se positionne comme un établissement patrimonial ouvert sur les enjeux sociaux, écologiques et culturels du monde contemporain, notamment ceux en lien avec les deux principaux fonds des collections du musée, l’archéologie d’une part et la vigne et le vin d’autre part.
Principal partenaire scientifique du musée, l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) est également pleinement engagé dans l’étude et le partage de la connaissance du patrimoine archéologique des territoires.
Dans cette perspective, le musée d’Épernay et l’Inrap se sont réunis afin d’initier des journées d’étude transdisciplinaires. Ces dernières se proposent de participer aux réflexions portant sur l’adaptation de l’activité vitivinicole face aux évolutions environnementales. En effet, les sciences étudiant le climat, les sols et la vigne sur un temps long permettent de contextualiser l’impact environnemental sur les activités humaines, notamment agricoles et viticoles, et de mieux comprendre les manières dont les groupes humains ont su s’adapter et apporter des solutions.
Associant une démarche historique et une démarche prospective, ces journées d’étude font dialoguer archéologues, climatologues, historiens, géologues, archéobotanistes et professionnels de la filière champagne.
JOUR 1 - vendredi 21 mars
Lieu : SGV (Syndicat Général des Vignerons de la Champagne)
17 avenue de Champagne, Épernay (sur inscription, voir informations pratiques)
- 9h-9h30 : accueil des participants – pot d’accueil
- 9h30-10h : discours d’accueil
- 10h-13h : communications
Les mouvements de terrain du vignoble champenois : du passé au défi du changement climatique
Nicolas Bollot, docteur en géographie, maitre de conférences au GEGENA (unité de recherche 3795, université de Reims Champagne-Ardenne)
Cépages, modélisation et première vigne : une histoire de la domestication de la vigne et de la viticulture d’après l’archéobotanique
Laurent Bouby, ingénieur de recherche, CNRS- ISEM, & Manon Cabanis, carpologue Inrap-GEOLAB
Histoire des climats et interactions avec les écosystèmes de la vigne
Aurélie Colomb & Agnès Borbon, atmosphériciennes (pollution atmosphérique et climat), laboratoire de météorologie physique LaMP/CNRS/OPGC, université de Clermont Auvergne
- 13h00-14h30 : pause déjeuner // Déjeuner libre
- 14h30-16h30 : table ronde
L’apport des recherches des sciences de la terre et archéologiques aux programmes d’innovation de la filière «vigne et vin»
Avec la participation de :
- Dominique Garcia, président de l’Institut national de recherches archéologiques préventives
- Sébastien Debuisson, directeur technique du Comité Champagne Taran Limousin, ingénieur IFV et ampélographe, en charge du conservatoire du matériel végétal du Beaujolais
- `Laurent Bouby, ingénieur de recherche, CNRS- ISEM
- Modérateur : Laure Ménétrier, directrice-conservatrice du musée du vin de Champagne et d’Archéologie régionale d’Épernay
Échanges avec la salle
- 16h30-17h30 : synthèse et clôture Laure Gasparotto, journaliste au Monde
- 18h30 : dégustation dînatoire des « Champagnes de Vignerons » (sur inscription, voir informations pratiques)
JOUR 2 - samedi 22 mars
Journée découverte (sur inscription, informations pratiques disponibles prochainement)
- 10h-12h : Visite du musée d’Épernay, 13 avenue de Champagne, Épernay. Exposition (sous réserve) au musée d’Épernay, sur l’encépagement en Champagne « Vignes en Champagne : innovations et encépagement, une épopée collective ».
- Visite du Comité Champagne, rue Henri-Martin.
- Visite du Fort Chabrol, institut de recherche viticole et œnologique Moët et Chandon
Programme complet et informations pratiques ci-contre
Murmures du temps : le patrimoine en tant que récit du changement climatique
ICOM France relaie l'enquête : Murmures du temps : le patrimoine en tant que récit du changement climatique - WRENCH
WRENCH est un projet interuniversitaire qui vise à aborder les effets du changement climatique sur le patrimoine, entendu non seulement comme des bâtiments et des monuments, mais aussi comme des rivières, des montagnes ou d'autres environnements vivants. Il envisage le patrimoine comme quelque chose en danger et quelque chose qui est également capable de raconter une histoire sur le risque que nous courons tous, en interprétant le patrimoine comme un ingrédient clé des identités communautaires.
Cette enquête vise à atteindre les personnes qui, pour différentes raisons (travail, résidence, intérêts, activisme), s'intéressent au patrimoine et à sa conservation.
Si vous vous intéressez au patrimoine et que vous avez quelque chose à dire à ce sujet, merci de répondre au questionnaire ci-dessous !
Faire vivre les monuments : penser l'expérience des publics
Appel à retour d'expériences professionnelles
En parallèle de son volet scientifique, le colloque "Faire vivre les monuments : penser l'expérience des publics" lance un appel à contributions pour recueillir des retours d’expériences innovantes, des observations terrains, dans le domaine de la médiation et de la valorisation des monuments. Cette seconde édition du colloque, co-organisée avec le Centre des monuments nationaux (CMN), vise à rassembler des travaux questionnant les expériences vécues par les publics des monuments.
Thématique et critères de sélection
Les projets soumis devront correspondre à la thématique du colloque et inclure une prise en compte des publics (démarche d’observation ou d’enquête auprès des publics) avant, pendant et/ou après le développement du dispositif de médiation ou de valorisation du site patrimonial. Les expériences partagées peuvent concerner tous types de monuments et sites patrimoniaux. Les contributions seront étudiées selon trois axes principaux :
- L’innovation en médiation
- Médiation numérique : développement d’outils tels que visites virtuelles, dispositifs interactifs, reconstitutions 3D, applications immersives.
- Médiation non numérique : pratiques originales incluant la ludification, la théâtralisation, les expériences sensorielles ou toute approche engageant les publics de manière créative.
- L’accueil de la diversité des publics
- Actions favorisant l’accès des publics éloignés de la culture (jeunes publics, personnes en situation de handicap, publics non francophones, etc.).
- Initiatives visant à diversifier les typologies de visiteurs et à adapter l’offre aux attentes variées des visiteurs des sites patrimoniaux.
- Le rapport au territoire
- Intégration des monuments dans leur environnement local : partenariats avec les acteurs du territoire (offices de tourisme, associations locales, collectivités).
- Perception, identification du monument comme marqueur identitaire d’un territoire.
- Valorisation du patrimoine en tant que moteur de dynamisation culturelle, économique et sociale sur le territoire.
Objectif du colloque
Ce colloque se veut un espace de partage et d’inspiration, favorisant le dialogue entre les professionnels de la culture, les acteurs locaux et les chercheurs. En mettant en lumière des projets concrets, il ambitionne de contribuer à enrichir la réflexion sur l’avenir des monuments et leur rôle dans la société contemporaine.
Public visé
Cet appel à retour d’expérience s’adresse aux :
- Professionnels des monuments et du patrimoine (responsables, médiateurs, conservateurs).
- Acteurs de la médiation culturelle et des sciences sociales.
- Partenaires locaux impliqués dans la valorisation des monuments.
Modalités de soumission
Les professionnels souhaitant présenter leur projet sont invités à soumettre un résumé comprenant :
- Une description du monument et du contexte du projet.
- Les objectifs du projet et la méthodologie utilisée (observation ou enquête auprès des publics).
- Les résultats obtenus et leurs impacts sur l’expérience des publics ou sur la structure culturelle.
- Une analyse des apprentissages et des recommandations pour des initiatives futures.
Les propositions (maximum 1 500 mots) doivent être envoyés en format PDF à l’adresse suivante :
- Oliver Hû : olivier.hu@univ-angers.fr
- Sophie Arphand : sophie.arphand@monuments-nationaux.fr
Calendrier
- 14 février 2025 : Date limite de soumission
- 10 mars 2025 : Notification d'acceptation
Cartographie des membres institutionnels d'ICOM France
Le site d'ICOM France propose une nouvelle rubrique dédiée à ses membres
Cartographie de nos membres institutionnels
Cette catégorie est présentée sous la forme d'une cartographie permettant d'identifier par région puis par ville tous les musées membres institutionnels du réseau d'ICOM France.
Cette partie propose une présentation sociologique de la composition de ses membres individuels et une présentation de ses membres institutionnels.
Bonne découverte !
Les 52 minutes d'ICOM France
Cette année, ICOM France propose aux professionnels des musées de se retrouver autour de formats brefs et réguliers destinés à présenter une initiative d'un membre de l'association ou du monde des musées, pour ouvrir le débat et favoriser les échanges.
Il s'agira de mettre un coup de projecteur sur des projets qui répondent aux problématiques contemporaines auxquels les musées ont à faire face : renouvellement des publics, relecture des collections, financements alternatifs, nouveaux rôles et missions des musées, écoresponsabilité...
Le format des 52 minutes, de plus en plus utilisé par les magazines, émissions, documentaires ou fictions est emprunté au monde de l'audiovisuel.
Nous nous retrouverons donc à 12h30, tous les derniers jeudis du mois en ligne.
Revoir les séances de 2024
Séance 1 - Jeudi 29 février
Les musées et l'open content - Wikimédia France
Séance 2 - Vendredi 29 mars 2024
La semaine de l'esprit critique - Universcience
Séance 3 - Jeudi 25 avril
Des outils pour le bilan carbone - Paris musées
Séance 4 - Jeudi 30 mai
"Patrimoines déchaînés" - Fondation pour la mémoire de l'esclavage
Séance 5 - Jeudi 27 juin
Les comités internationaux : pourquoi et comment y participer ?
Séance 6 - Mercredi 25 septembre
La lutte contre les trafics et la criminalité organisée avec l'OCBC
Séance 7 - Jeudi 31 octobre
Le musée qui soigne, du care au cure : la muséothérapie
Séance 8 - Jeudi 28 novembre
Musées de société, musées engagés ?
Séance 8 - Jeudi 19 décembre
La transition écologique au cœur des politiques du ministère de la Culture

La transition écologique au cœur des politiques du ministère de la Culture

La transition écologique au cœur des politiques du ministère de la Culture
Depuis plusieurs années, le secteur culturel s'est résolument engagé dans une mutation écoresponsable. En cette fin d'année 2024, Karine Duquesnoy, haute fonctionnaire à la transition écologique et au développement durable du ministère de la Culture, propose de faire le point sur les actions menées par le ministère en faveur de la transition environnementale. Cette séance a été l'occasion de présenter les outils mis à disposition des acteurs du secteur muséal, telle la boussole écologique de la culture BouTure, ou des dispositifs légaux qui peuvent être utilisés par les musées (décret Tertiaire)...
La séance a été modérée par Laure Ménétrier, secrétaire d'ICOM France.
Revoir la séance
Qui est Karine Duquesnoy ?
Haute fonctionnaire à la transition écologique et au développement durable du ministère de la Culture depuis 2023, Karine Duquesnoy a occupé de multiples postes au ministère de la Culture (directrice régionale adjointe des affaires culturelles d'île de France ; conseillère sociale et chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes du cabinet de la ministre Audrey Azoulay...)


Numérique et conservation-restauration : apports, objectifs et enjeux
Organisées par la direction générale des Patrimoines et de l’Architecture du ministère de la Culture, en partenariat avec la Cité de l'architecture & du patrimoine, l’Institut national du patrimoine et la Fondation des sciences du patrimoine, les 14èmes Journées professionnelles de la conservation-restauration se donnent pour objectif en 2025 de faire un bilan et d’ouvrir des perspectives sur l’usage du numérique dans le domaine de la conservation-restauration des biens culturels pour l’étude, l’identification, le diagnostic, la documentation et la diffusion.
Si l’omniprésence du numérique au sein des professions de la conservation et de la restauration est avérée, elle ne doit pas nous dispenser de réfléchir à ses apports, à ses potentiels, à ses limites ainsi qu’à ses éventuels dangers. Trente ans après l’arrivée de l’Internet en France et de l’ouverture du champ des possibles qui en a résulté, le groupe de travail Conservation-restauration des biens culturels du ministère de la Culture a souhaité poser la question de la place du numérique dans la conservation-restauration aujourd’hui.
Qu’il s’agisse du numérique en tant que nouveau patrimoine (archives, images, etc.) ou de l’apport des technologies nouvelles, le domaine est très vaste et les problématiques nombreuses, dont celle, essentielle, de la structuration des données produites dans les différents domaines patrimoniaux, avec plusieurs enjeux de taille comme l’interopérabilité, le croisement et le partage de données hétérogènes. L’accroissement exponentiel de ce matériel numérique, qu’il soit natif ou issu de la numérisation, pose aussi la question de son stockage, de son classement, de la conservation des fichiers, de l’obsolescence des supports, mais aussi de l’impact carbone de cette activité.
Ces préoccupations rejoignent certes celles de bien d’autres domaines comme l’industrie ou l’aérospatial, mais avec des spécificités liées notamment à la dimension patrimoniale de ces données numériques. Spécificités qui demandent d’instaurer un dialogue serré avec les ingénieurs et les chercheurs en sciences du numérique.
Outils de connaissance et de documentation, les technologies du numérique, qu’elles soient mobilisées pour l’aide à la décision ou pour l’évaluation des traitements, nous obligent à penser les interfaces et les vocabulaires partagés, la structuration des données, l’interopérabilité des systèmes, toutes questions conditionnant le développement de la recherche. Par ailleurs, la mobilité des dispositifs les plus récents ouvre de grandes perspectives pour l’analyse et le travail sur le terrain : où en sommes-nous des outils actuels, qu’ils soient opérationnels ou en voie de développement ? De même, dans le contexte de la science ouverte, la diffusion et le partage des données numériques produites par ces outils sont-ils un enjeu majeur. Enfin, se pose la question de l’intelligence artificielle, des perspectives qu’elle ouvre, des dangers qu’elle peut présenter.
Mêlant professionnels, scientifiques, représentants des administrations de l’État et des collectivités territoriales, tables rondes et communications permettront aux acteurs de tous les domaines des patrimoines (archives, bibliothèques, musées, archéologie, monuments historiques et patrimoine naturel) d’échanger sur ces enjeux lors de deux journées qui, pour la première fois, seront aussi accessibles en ligne.
Informations pratiques :
Institut national d’histoire de l’art
Auditorium Jacqueline Lichtenstein // 2 rue Vivienne // 75002 Paris
Horaires : 9 h-18 h, accueil à partir de 8 h 30 et en ligne.
Modalités d'inscription (à partir de janvier 2025) :
Accès en présence libre et gratuit dans la limite des places disponibles.
Accès à distance libre et gratuit.
Musées sans frontières. Redéfinir les récits muséographiques et l'inclusivité
En 2025, le titre prestigieux de capitale européenne de la culture sera partagé entre Chemnitz en Allemagne et une collaboration transfrontalière sans précédent entre les villes de Nova Gorica en Slovénie et Gorizia, en Italie. Ce partenariat constitue la première capitale européenne de la culture « sans frontières », symbole d'une union culturelle inédite. Sous le slogan « GO ! Borderless », Nova Gorica et Gorizia s'uniront pour créer une expérience culturelle innovante qui transcende les frontières, invitant tout un chacun à explorer et à célébrer le riche patrimoine entrelacé des deux villes. Cette région, qui était autrefois un exemple de coexistence pacifique, de multilinguisme et de multiculturalisme, a été dévastée par la Première et la Seconde Guerre mondiale.
L'attribution du titre de Capitale européenne de la culture à ces deux villes frontalières, longtemps divisées par l'histoire, leur permet de renouer avec leurs racines communes et leurs gloires passées. Au cœur de cette initiative se trouve la création de l'EPIC (Plate-forme européenne pour l'interprétation du XXe siècle), un musée participatif conçu pour promouvoir le dialogue culturel et les valeurs démocratiques partagées. Conçu comme un centre culturel dynamique, l'EPIC utilisera des méthodologies participatives pour permettre aux communautés frontalières locales de partager leurs histoires, leurs expériences et leurs points de vue. Il s'éloigne des récits conflictuels du passé et se concentre sur l'amplification des différents points de vue au sein de la communauté. Plus qu'un simple espace culturel, l'EPIC se veut un phare de l'unité, créant un musée participatif pour le peuple, façonné par le peuple.
Cette conférence vise à explorer et à redéfinir les récits racontés par les musées, en mettant l'accent sur l'inclusion. Elle examinera comment les musées peuvent s'écarter des modèles traditionnels pour devenir des espaces éducatifs véritablement inclusifs, favorisant la compréhension et la collaboration à l'échelle mondiale. Notre objectif est de promouvoir l'échange d'idées, de bonnes pratiques et d'expertise entre les professionnels des musées issus de divers horizons. Cette conférence internationale mettra en lumière le potentiel d'un changement de paradigme, qui valorise les récits personnels et aborde des sujets souvent omis, effacés ou difficiles à discuter dans les sociétés contemporaines.
Nous examinerons comment les récits nationaux devraient être reconsidérés, qui donne la parole aux personnes non entendues et vulnérables, et nous réfléchirons à la manière dont les rencontres personnelles peuvent être essentielles pour comprendre notre monde en évolution rapide. Ceci est particulièrement important alors que nous assistons à la résurgence de l'antisémitisme, des préjugés raciaux, des stéréotypes et des discours de haine.
Thèmes de la conférence
- Échange de bonnes pratiques : Les musées en tant que plateformes de connaissance sans frontières
- L'éthique dans les musées : Rôles et dilemmes des conservateurs
- Musées au service de leurs communautés : Les musées au service de leurs communautés : créer des liens-Frontières cachées : Des communautés plurielles qui réfléchissent à l'histoire et façonnent l'avenir
- Collaboration transnationale et transfrontalière entre musées : Forces, faiblesses, défis et opportunités
- Les musées et la capitale européenne de la culture : Partage d'expériences et de bonnes pratiques
Frais de participation à la conférence
Le comité d'organisation est heureux d'accueillir tous les membres de la communauté pour participer à la conférence. Bien qu'il ne soit pas nécessaire d'être membre de l'ICOM, les frais d'inscription sont basés sur la structure tarifaire de l'ICOM pour assurer l'équité, reflétant les capacités économiques des différents pays. Les billets sont vendus entre €65 et €115. Tous les billets comprennent le déjeuner et le café pendant la conférence, la réception du premier jour et le transport pour les visites hors site.
- Intervenants de la conférence - 65 €
- ICOM Slovénie, ICOM Italie, ICOM Europe et membres de l'ICOM SEE - 90 €
- Early birds (jusqu'au 31 mars 2025) - 75 €
- Admission générale pour les pays des niveaux 1 et 2 de l'ICOM - 115 €
- Admission générale pour les pays des niveaux 3, 4 et 5 de l'ICOM - 95 €
- Jeunes Professionnels et Étudiants - 70 €
Musées sans frontières. Redéfinir les récits muséographiques et l'inclusivité
En 2025, le titre prestigieux de capitale européenne de la culture sera partagé entre Chemnitz en Allemagne et une collaboration transfrontalière sans précédent entre les villes de Nova Gorica en Slovénie et Gorizia, en Italie. Ce partenariat constitue la première capitale européenne de la culture « sans frontières », symbole d'une union culturelle inédite. Sous le slogan « GO ! Borderless », Nova Gorica et Gorizia s'uniront pour créer une expérience culturelle innovante qui transcende les frontières, invitant tout un chacun à explorer et à célébrer le riche patrimoine entrelacé des deux villes. Cette région, qui était autrefois un exemple de coexistence pacifique, de multilinguisme et de multiculturalisme, a été dévastée par la Première et la Seconde Guerre mondiale.
L'attribution du titre de Capitale européenne de la culture à ces deux villes frontalières, longtemps divisées par l'histoire, leur permet de renouer avec leurs racines communes et leurs gloires passées. Au cœur de cette initiative se trouve la création de l'EPIC (Plate-forme européenne pour l'interprétation du XXe siècle), un musée participatif conçu pour promouvoir le dialogue culturel et les valeurs démocratiques partagées. Conçu comme un centre culturel dynamique, l'EPIC utilisera des méthodologies participatives pour permettre aux communautés frontalières locales de partager leurs histoires, leurs expériences et leurs points de vue. Il s'éloigne des récits conflictuels du passé et se concentre sur l'amplification des différents points de vue au sein de la communauté. Plus qu'un simple espace culturel, l'EPIC se veut un phare de l'unité, créant un musée participatif pour le peuple, façonné par le peuple.
Cette conférence vise à explorer et à redéfinir les récits racontés par les musées, en mettant l'accent sur l'inclusion. Elle examinera comment les musées peuvent s'écarter des modèles traditionnels pour devenir des espaces éducatifs véritablement inclusifs, favorisant la compréhension et la collaboration à l'échelle mondiale. Notre objectif est de promouvoir l'échange d'idées, de bonnes pratiques et d'expertise entre les professionnels des musées issus de divers horizons. Cette conférence internationale mettra en lumière le potentiel d'un changement de paradigme, qui valorise les récits personnels et aborde des sujets souvent omis, effacés ou difficiles à discuter dans les sociétés contemporaines.
Nous examinerons comment les récits nationaux devraient être reconsidérés, qui donne la parole aux personnes non entendues et vulnérables, et nous réfléchirons à la manière dont les rencontres personnelles peuvent être essentielles pour comprendre notre monde en évolution rapide. Ceci est particulièrement important alors que nous assistons à la résurgence de l'antisémitisme, des préjugés raciaux, des stéréotypes et des discours de haine.
Thèmes de la conférence
- Échange de bonnes pratiques : Les musées en tant que plateformes de connaissance sans frontières
- L'éthique dans les musées : Rôles et dilemmes des conservateurs
- Musées au service de leurs communautés : Les musées au service de leurs communautés : créer des liens-Frontières cachées : Des communautés plurielles qui réfléchissent à l'histoire et façonnent l'avenir
- Collaboration transnationale et transfrontalière entre musées : Forces, faiblesses, défis et opportunités
- Les musées et la capitale européenne de la culture : Partage d'expériences et de bonnes pratiques
Appel à communications jusqu'au 14 novembre 2024
Veuillez soumettre votre résumé (250 à 300 mots maximum) et une courte biographie (100 mots maximum) avant le 14 novembre 2024.
Les propositions approuvées seront annoncées le 30 novembre 2024, et les présentateurs présélectionnés devront confirmer leur participation avant le 20 janvier 2025.
Appel à communication ci-contre.
Frais de participation à la conférence
Le comité d'organisation est heureux d'accueillir tous les membres de la communauté pour participer à la conférence. Bien qu'il ne soit pas nécessaire d'être membre de l'ICOM, les frais d'inscription sont basés sur la structure tarifaire de l'ICOM pour assurer l'équité, reflétant les capacités économiques des différents pays. Les billets sont vendus entre €65 et €115. Tous les billets comprennent le déjeuner et le café pendant la conférence, la réception du premier jour et le transport pour les visites hors site.
- Intervenants de la conférence - 65 €
- ICOM Slovénie, ICOM Italie, ICOM Europe et membres de l'ICOM SEE - 90 €
- Early birds (jusqu'au 31 mars 2025) - 75 €
- Admission générale pour les pays des niveaux 1 et 2 de l'ICOM - 115 €
- Admission générale pour les pays des niveaux 3, 4 et 5 de l'ICOM - 95 €
- Jeunes Professionnels et Étudiants - 70 €