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Penser le musée de demain - La décroissance en questions
La journée professionnelle 2024 d’ICOM France, organisée le 27 septembre à la médiathèque Jean Falala de Reims, avait pour thème : « Penser le musée de demain. La décroissance en questions ».
Ces dernières années de crises (sanitaire, énergétique, économique) ont profondément transformé et continuent de transformer notre secteur. Nos musées s’adaptent aux mutations de nos sociétés et mettent en place des stratégies pour répondre au changement : nouvelles responsabilités sociétales et environnementales, enjeux de la diversité et de l’inclusion, défis du numérique...Portés par les injonctions à la démocratisation culturelle et à l'élargissement des publics, les musées ont accru et diversifié leurs offres. Et pourtant, une pression croissante sur les moyens alloués aux institutions impliquent de nouveaux modes de fonctionnement.
Penser le musée de demain, au regard de ces paradigmes, est un véritable défi.
Retrouvez les réflexions et les propositions déjà mises en œuvre dans certains musées en lisant les interventions des professionnel.le.s présent.e.s lors de notre congrès annuel : Anaïs Aguerre, secrétaire générale du Bizot Group ; Robert Blaizeau, directeur des musées de la métropole Rouen Normandie ; Mathieu Boncour, directeur de la Communication et de la RSE, Palais de Tokyo ; Martine Couillard, cheffe des relations gouvernementales et institutionnelles du musée McCord, Montréal ; Valérie Guillaume, directrice du musée Carnavalet Histoire de Paris, Crypte archéologique de l'île de la Cité ; Hélène Lafont-Couturier, directrice du Musée des Confluences de Lyon ; Serge Latouche, professeur émérite d'économie, université de Paris-Sud (XI-Sceaux/Orsay) ; Matylda Levet-Hagmajer, responsable de l'unité Publics - Musée d'ethnographie de Genève ; David Liot, conservateur général et inspecteur des patrimoines, ministère de la Culture ; Georges Magnier, directeur des musées de Reims ; Marie-Claude Mongeon, responsable du secrétariat général et des projets stratégiques du musée d'art contemporain de Montréal ; Agnès Parent, directrice des publics du muséum national d'Histoire naturelle, Paris ; Michela Rota, architecte et consultante en musées et développement durable, membre d'ICOM SUSTAIN ; Pierre Stépanoff, directeur des musées d'Amiens et de la Maison de Jules Verne - Picardie ; Hélène Vassal, directrice du soutien aux collections du musée du Louvre ; et Laurent Védrine, directeur du musée d'Aquitaine de Bordeaux.
La muséologie sociale et le patrimoine populaire en dialogue (perspectives Brésil-France)

ICOM France relaie la parution de l'ouvrage : La muséologie sociale et le patrimoine populaire en dialogue (perspectives Brésil-France)
De Silvia Capanema, Carolina Ruoso, Manuelina Maria Duarte Cândido (dirs.)
Le livre vient d’être publié par le Département de Muséologie de l’Université Lusófona, au Portugal.
La collection dispose d’un comité éditorial international composé de : Adel Pausini, Carolina Ruoso, Giusy Pappalardo, Guido Fackler, Judite Primo, Léontine Meijer van Mensch, Marcelle Nogueira Pereira, Mario Moutinho et Placide Mumbembele Sanger. Le design est signé Bell Lavrati.
Le numéro 5 de cette collection est un volume très particulier : c’est le premier à avoir été produit en partenariat avec une institution universitaire internationale, l’Université Sorbonne Paris Nord. Il résulte d’un appel à projets lancé par le Campus Condorcet, en Seine-Saint-Denis, auquel ont répondu Silvia Capanema et Carolina Ruoso, en proposant un séminaire intitulé :« Pour un musée populaire et participatif à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ».
Ce séminaire, mené en deux temps (2022 et 2023), a réuni enseignant-e-s, chercheur-e-s, acteurs/

Pour une délégation responsable – Musées et externalisation

Retrouvez la captation de notre soirée du 24 mars dédiée à l'externalisation dans les musées.
La rencontre a été modérée par Michèle Antoine, directrice du musée des Arts et Métiers et conclue par Séverine Blenner-Michel, directrice des études et du département des conservateurs de l'Inp.
Elle a réuni les interventions de :
- Goranka Horjan, présidente d'INTERCOM (comité international de l'ICOM pour la gestion des musées) ;
- Nathalie Candito, responsable du service Expérience visiteurs, études et qualité, musée des Confluences ;
- Claire Muchir, directrice du musée d’art moderne de Collioure ;
- Gilles Guey, directeur de la culture de Roubaix et président de l'ADAC-GVAF (Association des directeurs des affaires culturelles des grandes villes et agglomérations de France).
Moments forts de la soirée :
« Parler d'externalisation en dit beaucoup sur les valeurs du musée, mais aussi sur les champs de contraintes dans lesquels se débattent les musées. »
Michèle Antoine, directrice du musée des Arts et Métiers
« Derrière chaque musée réussi, il y a un effectif compétent qui travaille ensemble. La manière dans laquelle un musée recrute reflète la priorité professionnelle du travail et des valeurs qui lui sont chères. »
Goranka Horjan, présidente d'INTERCOM (comité international de l'ICOM pour la gestion des musées)
« [Au musée des Confluences] nous pouvons avoir des variations de fréquentation entre 500 visiteurs par jour jusqu'à parfois 8 000. Compte tenu de ces contraintes, de ces formats d'équipe, du volume d'activité, le musée a choisi de déléguer certaines fonctions à des entreprises tierces pour se concentrer sur ces missions de fond. »
« Le musée conserve le contrôle sur l'ensemble de ses missions et de ses fonctions en particulier, c'est lui qui définit les orientations, les contenus et coordonne la mise en œuvre en évaluant vraiment la qualité, mais aussi l'expérience des visiteurs. »
« Une des clés, c'est de penser cette relation dans une optique de collaboration, et d'essayer d'être cohérent entre le projet du musée, ses valeurs, et de les partager avec ses équipes. »
Nathalie Candito, responsable du service Expérience visiteurs, études et qualité, musée des Confluences
« [En externalisant le commissariat d’exposition] on a refusé à l’équipe en interne d’incarner, le plaisir de voir l’incarnation d’un discours dans un parcours. L’équipe ne s’est pas approprié le discours, et le parcours qui lui a été imposé. »
« Une exposition est aussi un outil de management d'une équipe. C'est toute une équipe qui travaille à l'incarnation de ces expositions. »
« L'envie de partager, c’est donc de passer d'une externalisation du commissariat à un partage du commissariat, ce qui est complètement différent. […] Il y a un récit à écrire ensemble. »
Claire Muchir, directrice du musée d’art moderne de Collioure
« Sur cette question de l'externalisation, je dirais qu'il y a deux socles à peu près unanimement respectés. Le premier point c'est la question de la conservation des collections permanentes qui bien sûr reste quelque chose absolument à garder en interne et l'autre sujet est la question de l'externalisation d'un certain nombre de services spécialisés. Nous croyons tous ou presque que d’avoir des restaurants externalisés, c'est vraiment très important. Il est important que les musées soient des lieux de vie, des lieux qui accueillent tout le monde, y compris des gens qui viennent juste pour déjeuner, mais qui vont voir une exposition un autre jour. Il est important d'avoir des boutiques performantes, intéressantes, qui ont une vraie offre qualitative, très en lien avec les expositions qu'on propose. Pour cela, on croit qu'il faut l'externaliser, parce que c'est très spécifique. »
« Sur cette question de l'internalisation et de l'externalisation, nous n'avons pas de position ferme. Cela dépend des moments, des sujets, des façons d'aborder, des priorités qui ont été fixées. »
Gilles Guey, directeur de la culture de Roubaix et président de l'ADAC-GVA
« Il me semble que les débats de ce soir ont permis de redire ce qui est fondamental pour les professionnels des musées. Ils ont permis de redire aussi que cette externalisation des missions fait partie intégrante du fonctionnement de nos musées aujourd'hui, et que ce qui compte, c'est effectivement d'être vigilant sur le cadre d'exercice de ces externalisations. Et d'être toujours prêt, éventuellement, à réajuster, pourquoi pas à modifier les rapports entre les missions externalisées et les missions internalisées. Et puis de laisser aussi aux professionnels cette liberté de pouvoir décider ce qui convient aux modes de fonctionnement de leur établissement. »
Séverine Blenner-Michel, directrice des études et du département des conservateurs de l'Inp
Captation en version originale
Captation en anglais
Captation en espagnol

L’ICOM lance PRISM, un programme financé par l’UE pour lutter contre le trafic d’objets culturels
L’ICOM est fier d’annoncer le lancement du nouveau projet PRISM (Prevention, Research, Investigation and Security in Museums), une initiative financée par l’UE pour lutter contre le trafic illicite de biens culturels.
Financé par la Direction générale de l’Education, de la Jeunesse, du Sport et de la Culture de la Commission européenne, PRISM développera des outils opérationnels pour favoriser une meilleure compréhension du trafic illicite de biens culturels en Europe et contribuer à sa prévention.
Le projet, d’une durée de trois ans, sera dirigé par le département de Protection du Patrimoine de l’ICOM, situé au Secrétariat international à Paris. Les partenaires du projet représentent les institutions représentatives et membres de l’ICOM dans sept pays d’Europe : ICOM Estonie, ICOM Hongrie, ICOM Lettonie, ICOM Lituanie, le Musée national d’histoire de Roumanie, ICOM Slovaquie et ICOM Ukraine.
Objectifs
Le projet a deux objectifs principaux. Le premier est le développement d’un outil qui rend l’expertise disponible, facilement accessible et transnationale. Cela implique l’amélioration de la plateforme en ligne de L’Observatoire international du trafic illicite des biens culturels, ainsi que des réunions régulières pour faciliter l’échange actif d’informations, de connaissances et de bonnes pratiques entre les experts. L’ICOM s’appuiera sur la plateforme déjà existante en tirant parti de ses qualités tout en introduisant de nouvelles technologies.
Le deuxième objectif est le développement de mesures préventives pour sécuriser les collections. Cet objectif sera atteint grâce à un large éventail d’activités qui amélioreront la compréhension et la sensibilisation de divers publics. Les activités comprendront également de la documentation et des recherches dans divers musées, ainsi qu’une meilleure connaissance du trafic illicite de biens culturels dans les pays respectifs des sept partenaires.
Chaque partenaire national a choisi de développer un projet conçu pour répondre aux besoins les plus pressants de son pays en matière de trafic illicite de biens culturels, afin de garantir une réponse adaptée et un impact maximal. Plusieurs partenaires mettront particulièrement l’accent sur la promotion de l’échange de connaissances et d’expertise entre les professionnels des musées, les services de police, les agences gouvernementales et autres autorités, ainsi que le grand public.
Début du projet et son nom
La réunion de lancement du projet PRISM a eu lieu le 21 février 2025, réunissant pour la première fois les huit partenaires avec beaucoup d’enthousiasme pour le déploiement des projets prévus. Sophie Delepierre, Chef du Département Protection du Patrimoine au Secrétariat International de l’ICOM et coordinatrice du projet, a souhaité la bienvenue aux partenaires en déclarant : « Avec le projet PRISM, l’UE offre à l’ICOM l’opportunité de faire bouger les lignes en matière de lutte contre le trafic illicite du patrimoine culturel dans les pays participants. Certains sont déjà très impliqués dans cette lutte, et nous nous appuierons là-dessus. D’autres ne sont pas encore suffisamment mobilisés contre ce trafic, les musées ont donc un rôle clair à jouer en termes de sensibilisation et de prévention. Pour ce projet, l’ICOM s’appuiera sur sa plus grande force : son réseau ».
Le nom du projet, PRISM (‘prisme’), rappelle la clarté et la transparence du verre, tandis que le spectre des couleurs représente la riche diversité du paysage culturel de l’Europe.
Les premières activités du projet débuteront au cours du premier semestre 2025. Des mises à jour sur le projet seront publiées sur le site web de l’ICOM, dans sa lettre d’information et sur ses réseaux sociaux.
Pour plus d’informations : heritage.protection@icom.museum
Financé par l’Union européenne. Les points de vue et opinions exprimés n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement ceux de l’Union européenne ou de la Commission européenne. Ni l’Union européenne ni l’autorité chargée de l’octroi des subventions ne peuvent en être tenues pour responsables.
L’ICOM à la pointe de l’innovation technologique contre le trafic illicite via ANCHISE
Depuis sa fondation en 1946, l’ICOM est profondément engagé dans la lutte contre le trafic illicite de biens culturels. Grâce à de nombreuses initiatives, projets et outils – dont les emblématiques Listes rouges – l’ICOM a joué un rôle clé dans la protection du patrimoine culturel. Aujourd’hui, cet engagement entre dans une nouvelle phase en adoptant des technologies innovantes pour renforcer la protection du patrimoine (voir l’article L’ICOM et la lutte contre le trafic de biens culturels : entre tradition et innovation).
Les musées comme laboratoires d’expérimentation dans ANCHISE
En tant qu’organisation et réseau de professionnels des musées, l’ICOM participe activement au projet ANCHISE – Applying New solutions for Cultural Heritage protection by Innovative, Scientific, social and economic Engagement – avec 14 organisations partenaires, dont des universités, des centres de recherche, des groupes high-tech et des organismes chargés de l’application de la loi, sous la coordination de l’École française d’Athènes (EFA).
ANCHISE est unique par son approche globale d’application de solutions innovantes face à la réalité changeante du trafic illicite du patrimoine culturel. Grâce à son approche multidisciplinaire, le projet intègre les sciences sociales et humaines afin de fournir une compréhension du contexte servant de base au développement technologique des outils. De plus, les outils en cours de développement bénéficient directement des connaissances des communautés professionnelles qui seront amenés à les utiliser : archéologues, forces de l’ordre et professionnels des musées.
Grâce à cette approche, ANCHISE cherche à développer des méthodes et des outils pouvant être répliqués, et à mettre en relation les professionnels du patrimoine culturel avec les technologies de pointe. En associant les besoins spécifiques de la protection du patrimoine culturel à des solutions innovantes, ANCHISE vise à créer des outils pratiques qui renforceront les efforts de lutte contre le trafic illicite.
L’une des particularités d’ANCHISE est que les six outils technologiques développés dans le cadre du projet sont testés dans différents environnements : sites archéologiques, postes frontières (pour les forces de l’ordre) et musées, et que les professionnels concernés fournissent un retour d’information crucial à chaque étape. Ce processus itératif permet d’affiner continuellement les outils et de s’assurer qu’ils répondent aux besoins pratiques des professionnels impliqués dans la lutte contre le trafic illicite du patrimoine culturel. Tous les outils, à l’exception de la boîte à outils de suivi ICONEM – destinée aux archéologues – pourraient être utiles aux professionnels des musées et, pour cette raison, sont testés dans des phases de démonstration impliquant des professionnels de ce secteur venant de différents horizons (en termes de position, de pays, de spécialité et de typologie de musée).
Patrimoine et développement durable dans le champ muséal
Formation continue / Département des conservateurs
En 2022 L’ICOM proposait une nouvelle définition du musée qui incluait les enjeux de durabilité au même titre que ceux de diversité ou d’inclusivité. Depuis, la conservation du patrimoine est en pleine reconfiguration dans l’optique de concilier l’activité et les pratiques professionnelles aux enjeux liés au développement durable et à l’éco-responsabilité, tout en répondant aux impératifs de la préservation des objets de musées. Le musée dans ses missions fondamentales - acquérir, conserver et diffuser -peut-il survivre à la crise climatique ? Quelles sont ses capacités d’adaptation et de résilience ? En imposant sa logique de réduction des impacts et d’une plus grande sobriété dans les pratiques de conservation, l’éco-transition instaure un nouveau rapport aux valeurs prônées par le musée “conservatoire”. Dans ce contexte les normes de climat communément admises tendent à s’assouplir et les pratiques architecturales évoluent dans le sens d’une plus grande frugalité et de l’adaptation. De même les programmations d’expositions et les règles en matière de prêts opèrent leur mue. L'approche durable érige désormais le professionnel du patrimoine en garant des ressources indispensables à la préservation de ce même patrimoine et, tout autant, en acteur conscient de son impact culturel sur la société. Réduction de la consommation énergétique, analyse d’impact en matière de mobilité et de transport, recours à des matériaux bio-sourcés, réflexion sur la conservation du patrimoine naturel, intérêt pour un numérique plus sobre, ré-écriture du projet scientifique et culturel, politique d’acquisitions raisonnées sont autant de signes d’une mutation professionnelle en marche.
- Quels sont les freins et les leviers pour amorcer puis implanter un « musée durable » ? Et donc une gestion durable des collections ?
- Comment faire émerger les conditions d’un éco-système soutenable ? Produire mieux avec moins ?
- Comment inventer une politique pro-active des collections ?
- Quelles sont les recommandations actuelles dans ces domaines ?
L’objectif de cette formation sera de dresser un bilan de la situation pour envisager des pistes de solutions pour l’avenir, à mi-chemin entre innovations technologiques et révisions de nos pratiques professionnelles.
A partir d’apports théoriques, d’études de cas et de retours d’expériences, cette formation a pour objectif de favoriser la recherche de bonnes pratiques et de solutions éco-responsables.
Journées coordonnées par Hélène Vassal, directrice du soutien aux collections, musée du Louvre
En savoir plus ci-contre
Les récits parallèles dans les musées de maisons historiques
Préparez-vous pour la prochaine édition des Entretiens ouverts DEMHIST ! En juin 2025, nous explorerons le thème : Les récits parallèles dans les musées de maisons historiques.
Ensemble, nous explorerons les récits parallèles, c'est-à-dire la coexistence de plusieurs histoires, parfois concurrentes, au sein d'un même musée de maison historique. Des interprétations changeantes au fil du temps aux mémoires contestées et aux voix oubliées, nous étudierons comment les musées peuvent embrasser la complexité plutôt que de l'effacer. Le thème et l'appel à communications peuvent être téléchargés ci-dessous et nous attendons avec impatience vos propositions de présentation - à la fois pour les communications et les visites virtuelles. Restez à l'écoute pour plus de détails, y compris le programme de l'événement et le processus d'inscription. En attendant, visitez la page de l'événement pour des mises à jour.
Tailler des identités
Tailler des identités : la longue histoire de la masculinisation de la mode féminine
L'évolution de la relation entre la mode et l'identité est étroitement liée à la masculinisation des vêtements féminins, un phénomène façonné par des paradigmes culturels, sociaux et esthétiques changeants. Du XVe siècle au XXe siècle en Europe, les vêtements féminins ont de plus en plus intégré des éléments de l'habillement masculin, remettant en question les normes rigides et redéfinissant les frontières du genre et de l'apparence.
Organisé par le Palais Galliera et la chaire de recherche Patrimoine de la mode de l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne/HiCSA dans le cadre d'un projet de recherche pour une exposition à venir, "TAILORING IDENTITIES" vise à examiner de manière critique cette transformation et les différentes pratiques vestimentaires et de travestissement qui y sont liées.
Vous trouverez ici l'appel à contribution complet et les instructions pour la soumission en anglais et en français.
Date limite de soumission : 7 avril 2025
Agir autrement : la transition écologique dans les musées

ICOM France relaie la dernière publication de l'AGCCPF
Cette revue est payante. Les membres de l'AGCCPF bénéficient d'un tarif réduit.


Les systèmes de traitement de l'air dans les réserves et magasins conservant des collections : perceptions et pratiques des professionnels
ICOM France relaie un questionnaire établit dans le cadre d'un mémoire en conservation préventive à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
L'étudiant étudie l’impact du décret Éco Énergie Tertiaire (DEET) sur les établissements culturels et les leviers d’optimisation énergétique des systèmes de traitement climatique et de ventilation de l'air dans les espaces de conservation (réserves, magasins).
Cette enquête s'adresse à l'ensemble du personnel des établissements culturels disposant d'espaces de conservation ayant un lien direct ou indirect avec la gestion des systèmes de traitement de l'air. Ceci inclut notamment les chefs d'établissement, responsables de bâtiment ou responsables technique, régisseurs, conservateurs, préventeurs et autres professionnels concernés. Plusieurs personnels d'un même établissement peuvent répondre à l'enquête.
L'enquête vise à mieux comprendre la perception et l’usage des systèmes de traitement de l’air dans les établissements conservant des collections. Elle s’intéresse aux niveaux de connaissance et de maîtrise des équipements, aux contraintes spécifiques de leur gestion, ainsi qu’aux attentes et besoins des professionnels.
Les réponses collectées permettront d’établir un état des lieux global et d’identifier des pistes d’amélioration adaptées aux enjeux de conservation et de performance énergétique.
Ce questionnaire sera clôturé le 18 avril 2025.