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ICOM Prague 2022 : bourses d'ICOM France
Dans le cadre de la 26e Conférence générale d'ICOM à Prague et afin d'inciter des professionnels à participer à cet événement important pour les musées, ICOM France a décidé de soutenir certains de ses membres dont l'institution ne peut prendre en charge les dépenses.
ICOM France octroie 8 bourses couvrant les frais d'inscription à la Conférence générale au tarif préférentiel (350 euros).
Membres d’ICOM France éligibles à ces bourses
- Jeunes professionnels de moins de 40 ans
- Professionnels exerçant dans un musée au budget modeste, non susceptible de financer le voyage (attestation requise)
- Membres d’ICOM France candidats à un poste dans un Bureau de comité international
- Membres d’ICOM France souhaitant délivrer une communication lors de la réunion annuelle d'un comité international
Critères de sélection
- Motivation du candidat pour la thématique du congrès et/ou les activités d'ICOM France
- Implication dans les activités d’un des 30 comités internationaux
Les boursiers s'engagent à suivre la Conférence générale à Prague ainsi que l’Assemblée générale et l’Assemblée générale extraordinaire.
Ne peuvent déposer de demandes que les membres adhérents depuis deux ans au moins, à jour de leur cotisation 2022.
Veuillez adresser votre candidature par courriel à icomfrance[a]wanadoo.fr en indiquant les éléments suivants :
- votre nom, votre prénom
- votre numéro de membre ICOM
- le nom de votre institution
- un CV
- une lettre de motivation répondant aux critères énoncés
Date limite de dépôt de candidature : 31 mai à 23h59.
ICOM Kyoto 2019 : Bourses d'ICOM France
Dans le cadre de la 25e conférence générale d’ICOM à Kyoto et afin d'inciter des professionnels à participer à cet événement important pour les musées, ICOM France a décidé de soutenir certains de ses membres dont l'institution ne peut prendre en charge les dépenses.
Les aides pourront prendre la forme de :
- prise en charge des frais d’inscription à la conférence générale au tarif préférentiel de 330€
ou
- prise en charge des billets d’avion (classe économique)
ou
- prise en charge des frais d'hébergement
Membres d’ICOM France éligibles à ces bourses
- Jeunes professionnels de moins de 40 ans
- Professionnels exerçant dans un musée au budget modeste, non susceptible de financer le voyage (attestation requise)
- Membres d’ICOM France candidats à un poste dans un Bureau de comité international
- Membres d’ICOM France souhaitant délivrer une communication lors de la réunion annuelle d'un comité international
Critères de sélection
- Motivation du candidat pour la thématique du congrès et/ou les activités d'ICOM France
- Implication dans les activités d’un des 30 comités internationaux
- Relations avec le Japon dans la programmation actuelle ou à venir du musée (notamment dans le cadre de la Saison de la France au Japon, prévue en 2021)
Un compte rendu de mission sera demandé à chaque bénéficiaire.
Ne peuvent déposer de demandes que les membres adhérents depuis deux ans au moins, à jour de leur cotisation et membre ou candidat d'un comité international.
Une attention particulière sera portée aux candidats pratiquant le japonais.
Veuillez adresser votre candidature par courriel à icomfrance[a]wanadoo.fr comprenant les éléments suivants :
- votre nom, votre prénom
- votre numéro de membre ICOM
- le nom de votre institution
- un CV
- une lettre de motivation répondant aux critères énoncés ainsi qu'une description d'un projet en cours avec des partenaires japonais.
Date limite de dépôt de candidature : 15 mars 2019
Patrimoine et mémoire de l'esclavage
ICOM France annonce la publication de son dernier ouvrage : Patrimoine et mémoire de l'esclavage, comment exposer les collections liées à cette histoire ?
Comment des musées de types variés, dont les projets scientifiques et culturels, les modes d’approche et les moyens diffèrent, répondent-ils aux questions que pose l’exposition des collections liées à l’histoire de l’esclavage ?
Alors que le ministère de la Culture travaille sur la valorisation de « patrimoines contestés » ; alors que la question de la « décolonisation » des musées, des collections et des modes de fonctionnement de nos établissements est au cœur des réflexions menées par la communauté des professionnels en France comme à l’étranger, notamment au sein de l’ICOM ; alors que la question des droits humains est de plus en plus présente dans nos échanges professionnels, cette soirée-débat a proposé un temps de partage d’expériences et de réflexions de professionnels autour de cette question de fond qui concerne aujourd’hui un large éventail de typologies de musées.
Les intervenants ont souhaité abordé cette thématique non plus en termes historique ou économique mais en humanisant les récits grâce aux traces tangibles parvenues jusqu'à nous (moulages, lettres et archives, artefacts, beaux-arts, témoignages des descendants) afin de redonner une voix, un visage à ces personnes par le biais des collections muséales.
Retrouvez les interventions de M’hamed Oualdi (professeur d'histoire de l’Europe et de l’Afrique du Nord du XIXe et XXe siècle à l’Institut universitaire européen), Klara Boyer-Rossol (historienne, chercheuse et curatrice de l’exposition Visages d’ancêtres. Retour à l’Île Maurice pour la collection Froberville), Aly Ndiaye alias Webster (artiste hip-hop et historien indépendant, curateur de l’exposition Fugitifs !), Hanna Pennock (co-présidente du groupe de travail de l’ICOM sur la décolonisation), Dominique Taffin (chargée de mission au ministère de la Culture et ancienne directrice de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage) et Coralie de Souza Vernay (responsable Patrimoine & Recherche de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage).
Ouverture de la rencontre par Charles Personnaz (directrice de l'Institut national du patrimoine) et Emilie Girard (présidente d'ICOM France).
Modération : Nathalie Bondil (directrice du musée et des expositions de l’Institut du monde arabe).
Faux et fausses histoires
A vos agendas ! La conférence internationale du comité ICMEMOHRI - Comité international des musées commémoratifs et des droits de l'homme aura lieu à Paris du 1er au 5 juin 2025
Propos
À l'heure où l'agitation politique à travers le monde peut être fondée sur des « fake news », nous nous penchons sur le rôle des musées dans ce domaine, alors que nos propres collections et interprétations sont parfois remises en question.
On a souvent tenté d'attirer l'attention en recourant à diverses stratégies pour parer le faux des atours de l'authenticité. Partout où la vérité est importante, les faux abondent et l'histoire est déformée. La création, la déformation, la manipulation ou la reconstruction d'objets et de leurs informations culturelles et historiques façonnent et remettent en question notre identité et notre expérience du monde.
La provenance, c'est-à-dire l'historique de la propriété d'un artefact ou d'une œuvre d'art, est considérée comme la norme pour déterminer l'authenticité et le statut juridique de l'objet. Cependant, la provenance est souvent mise de côté, ou une définition fluide de la provenance est adoptée lorsque l'objet fait partie du marché commercial, lorsque sa biographie supposée est convaincante, ou lorsqu'il correspond à un récit désiré plutôt qu'à une vérité historique. Notre vision du monde et notre désir de le présenter tel que nous le croyons se reflètent dans le travail des mémoriaux et des musées.
PROGRAMME CI-CONTRE
Faux et fausses histoires
A vos agendas ! La conférence internationale du comité ICMEMOHRI - Comité international des musées commémoratifs et des droits de l'homme aura lieu à Paris du 1er au 5 juin 2025
Propos
À l'heure où l'agitation politique à travers le monde peut être fondée sur des « fake news », nous nous penchons sur le rôle des musées dans ce domaine, alors que nos propres collections et interprétations sont parfois remises en question.
On a souvent tenté d'attirer l'attention en recourant à diverses stratégies pour parer le faux des atours de l'authenticité. Partout où la vérité est importante, les faux abondent et l'histoire est déformée. La création, la déformation, la manipulation ou la reconstruction d'objets et de leurs informations culturelles et historiques façonnent et remettent en question notre identité et notre expérience du monde.
La provenance, c'est-à-dire l'historique de la propriété d'un artefact ou d'une œuvre d'art, est considérée comme la norme pour déterminer l'authenticité et le statut juridique de l'objet. Cependant, la provenance est souvent mise de côté, ou une définition fluide de la provenance est adoptée lorsque l'objet fait partie du marché commercial, lorsque sa biographie supposée est convaincante, ou lorsqu'il correspond à un récit désiré plutôt qu'à une vérité historique. Notre vision du monde et notre désir de le présenter tel que nous le croyons se reflètent dans le travail des mémoriaux et des musées.
PROGRAMME CI-CONTRE
ICOM Dubai 2025
Tous les trois ans, l'ICOM organise sa Conférence générale, un événement phare qui rassemble des professionnels des musées du monde entier pour engager un dialogue sur les problèmes les plus urgents auxquels le secteur des musées est confronté.
Le thème principal choisi pour la Conférence générale, « L'avenir des musées dans des communautés en évolution rapide », résume le paysage dynamique en constante évolution dans lequel évoluent aujourd'hui les communautés et les musées du monde entier, avec trois sous-thèmes interconnectés qui inviteront à des discussions approfondies sur la sauvegarde du patrimoine immatériel, le pouvoir des jeunes et l'essor des nouvelles technologies.
S'appuyant sur la riche scène culturelle de Dubaï et des Émirats arabes unis, la conférence proposera également une gamme d'événements sociaux et culturels pour une expérience améliorée pour tous les participants.
Découvrez le site internet de la 27ème Conférence générale de l'ICOM
La conférence ICOM Dubaï 2025 sera hybride, permettant une participation mondiale
Des intervenants visionnaires, parmi lesquels des professionnels de musée renommés et des leaders d'opinion culturels, partageront leurs réflexions sur l'avenir des musées. Les participants participeront à des masterclasses animées par des experts et à des opportunités de réseautage, offrant ainsi une plateforme dynamique de collaboration et d'échange d'idées.
Journée d’étude annuelle AFNOR-BnF sur la culture du risque
Dans un contexte où les cyberattaques contre les services publics se multiplient, où les menaces terroristes obligent à maintenir une vigilance constante et où les aléas climatiques, comme récemment à Mayotte, se multiplient, endommageant gravement habitations privées et structures publiques, on assiste désormais à un accroissement des risques sur notre territoire même, s’ajoutant aux évènements plus habituels comme incendies ou vols. Dans cet environnement multifactoriel, la traditionnelle distinction entre sécurité et sûreté tend à s’effacer, rendant indispensable de penser la préservation du patrimoine plus globalement autour d’une problématique de gestion de risque.
Suite au constat dressé par l’Inspection générale de l’Enseignement supérieur et de la recherche (IGESR), cette nécessité d’anticiper le risque via des PSBC, quelle que soit la structure ou le territoire, a été réaffirmée comme une priorité interministérielle. La norme ISO 21110 sur les plans d’urgence, vient étayer ces dispositifs réglementaires.
Mais normes et règlements, pour être efficients, impliquent une appropriation collective et la collaboration de différents corps de métiers, engagés dans la préservation du patrimoine.
Au-delà des enjeux et de l’état des lieux sur les outils, cette journée AFNOR-BnF entend illustrer comment se construit collectivement une culture du risque au service et – parfois- au secours du patrimoine.
La participation est gratuite mais l’inscription obligatoire jusqu’au 22 juin 2025
NFORMATIONS PRATIQUES
Entrée gratuite – Réservation obligatoire.
Il est recommandé de se présenter en avance (jusqu’à 30 minutes avant la manifestation).
A distance, la retranscription se fera en direct sur la chaîne YouTube de la BnF.
ACCÈS
François-Mitterrand – Petit auditorium
Quai François-Mauriac – Paris 13e
Entrée Est face à la rue Émile Durkheim
Pour une délégation responsable – Musées et externalisation
Retrouvez la captation de notre soirée du 24 mars dédiée à l'externalisation dans les musées.
La rencontre a été modérée par Michèle Antoine, directrice du musée des Arts et Métiers et conclue par Séverine Blenner-Michel, directrice des études et du département des conservateurs de l'Inp.
Elle a réuni les interventions de :
- Goranka Horjan, présidente d'INTERCOM (comité international de l'ICOM pour la gestion des musées) ;
- Nathalie Candito, responsable du service Expérience visiteurs, études et qualité, musée des Confluences ;
- Claire Muchir, directrice du musée d’art moderne de Collioure ;
- Gilles Guey, directeur de la culture de Roubaix et président de l'ADAC-GVAF (Association des directeurs des affaires culturelles des grandes villes et agglomérations de France).
Moments forts de la soirée :
« Parler d'externalisation en dit beaucoup sur les valeurs du musée, mais aussi sur les champs de contraintes dans lesquels se débattent les musées. »
Michèle Antoine, directrice du musée des Arts et Métiers
« Derrière chaque musée réussi, il y a un effectif compétent qui travaille ensemble. La manière dans laquelle un musée recrute reflète la priorité professionnelle du travail et des valeurs qui lui sont chères. »
Goranka Horjan, présidente d'INTERCOM (comité international de l'ICOM pour la gestion des musées)
« [Au musée des Confluences] nous pouvons avoir des variations de fréquentation entre 500 visiteurs par jour jusqu'à parfois 8 000. Compte tenu de ces contraintes, de ces formats d'équipe, du volume d'activité, le musée a choisi de déléguer certaines fonctions à des entreprises tierces pour se concentrer sur ces missions de fond. »
« Le musée conserve le contrôle sur l'ensemble de ses missions et de ses fonctions en particulier, c'est lui qui définit les orientations, les contenus et coordonne la mise en œuvre en évaluant vraiment la qualité, mais aussi l'expérience des visiteurs. »
« Une des clés, c'est de penser cette relation dans une optique de collaboration, et d'essayer d'être cohérent entre le projet du musée, ses valeurs, et de les partager avec ses équipes. »
Nathalie Candito, responsable du service Expérience visiteurs, études et qualité, musée des Confluences
« [En externalisant le commissariat d’exposition] on a refusé à l’équipe en interne d’incarner, le plaisir de voir l’incarnation d’un discours dans un parcours. L’équipe ne s’est pas approprié le discours, et le parcours qui lui a été imposé. »
« Une exposition est aussi un outil de management d'une équipe. C'est toute une équipe qui travaille à l'incarnation de ces expositions. »
« L'envie de partager, c’est donc de passer d'une externalisation du commissariat à un partage du commissariat, ce qui est complètement différent. […] Il y a un récit à écrire ensemble. »
Claire Muchir, directrice du musée d’art moderne de Collioure
« Sur cette question de l'externalisation, je dirais qu'il y a deux socles à peu près unanimement respectés. Le premier point c'est la question de la conservation des collections permanentes qui bien sûr reste quelque chose absolument à garder en interne et l'autre sujet est la question de l'externalisation d'un certain nombre de services spécialisés. Nous croyons tous ou presque que d’avoir des restaurants externalisés, c'est vraiment très important. Il est important que les musées soient des lieux de vie, des lieux qui accueillent tout le monde, y compris des gens qui viennent juste pour déjeuner, mais qui vont voir une exposition un autre jour. Il est important d'avoir des boutiques performantes, intéressantes, qui ont une vraie offre qualitative, très en lien avec les expositions qu'on propose. Pour cela, on croit qu'il faut l'externaliser, parce que c'est très spécifique. »
« Sur cette question de l'internalisation et de l'externalisation, nous n'avons pas de position ferme. Cela dépend des moments, des sujets, des façons d'aborder, des priorités qui ont été fixées. »
Gilles Guey, directeur de la culture de Roubaix et président de l'ADAC-GVA
« Il me semble que les débats de ce soir ont permis de redire ce qui est fondamental pour les professionnels des musées. Ils ont permis de redire aussi que cette externalisation des missions fait partie intégrante du fonctionnement de nos musées aujourd'hui, et que ce qui compte, c'est effectivement d'être vigilant sur le cadre d'exercice de ces externalisations. Et d'être toujours prêt, éventuellement, à réajuster, pourquoi pas à modifier les rapports entre les missions externalisées et les missions internalisées. Et puis de laisser aussi aux professionnels cette liberté de pouvoir décider ce qui convient aux modes de fonctionnement de leur établissement. »
Séverine Blenner-Michel, directrice des études et du département des conservateurs de l'Inp
Captation en version originale
Captation en anglais
Captation en espagnol
Les collections agricoles, un avenir à inventer
Journée organisée par Les Neufs de Transilie, Grand Paris Sud, la Fédération des écomusées et musées de société (FEMS) en partenariat avec la Fédération des musées d’agriculture et du patrimoine rural (AFMA), se déroulera à Lieusaint (Seine-et-Marne) dans les réserves de la collection de l’ancien écomusée de Savigny-le-Temple (navette dédiée mise en place depuis la gare de Lieusaint-Moissy).
Au programme :
- Deux tables rondes pour explorer la mise en valeur des collections agricoles oubliées et leur rôle à l’ère du développement durable, de la transition écologique et des innovations technologiques.
- Deux ateliers pratiques à partir des collections de l’ancien écomusée de Savigny-le-Temple.
Cet événement sera l’occasion d’échanger sur des questions clés : comment réinventer l’attractivité des collections agricoles ? Comment les intégrer dans les grands enjeux actuels comme la transition écologique ou l’intelligence artificielle ?
Date limite pour s’inscrire : 8 mai 2025
Renouer avec le vivant – Musées en transition
Depuis le début du 19ème siècle, les extinctions d’espèces sont 10 à 1000 fois plus rapides que le rythme naturel. Nous vivons actuellement une disparition des animaux et des plantes à un rythme encore inégalé, une 6ème extinction de masse causée par l’espèce humaine. La France est le 6ème pays hébergeant le plus grand nombre d’espèces menacées. Nous avons donc collectivement un rôle à jouer face à cela, notamment au sein des musées.
Le 22 mai, Bretagne musées poursuit avec cette journée construite en partenariat avec le CNFPT et le musée Mathurin Méheut, son cycle consacré aux « musées en transition », développé notamment à propos de la limitation des externalités environnementales négatives des structures (émissions de carbone, déchets etc.).
Cette nouvelle journée souhaite explorer un autre aspect du rôle pouvant être joué par les musées pour une « transition » vers un monde désirable : celui de favoriser une reconsidération de nos rapports défectueux au vivant.
Les lieux culturels et muséaux peuvent en effet tenir un rôle positif et fertile face aux enjeux écologiques et sociétaux actuels : en mettant en perspective les relations de nos sociétés avec le vivant, en se positionnant comme des lieux de déconstruction des poncifs de nos sociétés consuméristes destructrices, en favorisant la connaissance, l’émerveillement et l’ouverture, en permettant la fabrication d’imaginaires et de futurs enviables. L’objectif de cette journée est de donner des pistes de réflexion et d’actions afin de penser le rôle que peuvent jouer les musées en la matière.