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Le paysage de la mémoire et de la résistance à travers la musique dans les musées
Les comités internationaux ICMEMOHRI et ICOM MUSIC tiendront des sessions de conférence conjointes (11-13 novembre 2025) sous le thème général du paysage de la mémoire et de la résistance à travers la musique dans les musées.
ICOM Dubaï 2025 est une excellente occasion pour de nombreux comités internationaux et alliances régionales de partager leur expertise dans différentes disciplines.
Propos
Lier le travail des comités internationaux soutient les valeurs et les priorités du plan stratégique de l'ICOM en renforçant nos partenariats internes, en développant l'importance mondiale du secteur muséal et en établissant la confiance entre les comités internationaux en partageant nos recherches en collaboration, en diversifiant nos plateformes en donnant des voix plus importantes aux petits comités et en recherchant activement des contributions de partout dans le monde.
Nos comités internationaux et nos partenaires s'efforcent consciemment de favoriser l'accessibilité, l'inclusion, la diversité et la durabilité.
Les idées thématiques dépassent souvent les frontières des comités internationaux. La musique, souvent considérée comme un patrimoine immatériel, se reflète également dans la culture matérielle que l'on trouve dans de nombreux types de collections muséales. L'omniprésence de la musique dans la vie culturelle, les innombrables façons dont elle enchante et émeut les gens, et sa riche portée culturelle à de nombreux niveaux, font de la musique et de son patrimoine matériel d'importants champs d'investigation et de recherche collaborative. Les instruments de musique peuvent être considérés comme étant au cœur de ces recherches, mais lorsqu'ils sont placés dans des contextes historiques et contemporains, les pratiques musicales peuvent être entrelacées avec d'autres artefacts, tels que les costumes, qui incarnent et expriment également l'identité culturelle, les idées et les valeurs sociales, politiques et spirituelles.
Les meilleures pratiques en matière de travail muséal permettent à la société de voir, d'entendre, d'accéder et de s'engager dans le patrimoine matériel et immatériel, et d'en apprendre davantage sur l'histoire, l'art, l'artisanat et les techniques.
L'importance et la fragilité de ce travail sont directement affectées par les guerres et les conflits actuels, qui suppriment et détruisent le patrimoine culturel matériel et immatériel.
Le paysage de la mémoire et de la résistance à travers la musique dans les musées
Les comités internationaux ICMEMOHRI et ICOM MUSIC tiendront des sessions de conférence conjointes (11-13 novembre 2025) sous le thème général du paysage de la mémoire et de la résistance à travers la musique dans les musées.
ICOM Dubaï 2025 est une excellente occasion pour de nombreux comités internationaux et alliances régionales de partager leur expertise dans différentes disciplines.
Propos
Lier le travail des comités internationaux soutient les valeurs et les priorités du plan stratégique de l'ICOM en renforçant nos partenariats internes, en développant l'importance mondiale du secteur muséal et en établissant la confiance entre les comités internationaux en partageant nos recherches en collaboration, en diversifiant nos plateformes en donnant des voix plus importantes aux petits comités et en recherchant activement des contributions de partout dans le monde.
Nos comités internationaux et nos partenaires s'efforcent consciemment de favoriser l'accessibilité, l'inclusion, la diversité et la durabilité.
Les idées thématiques dépassent souvent les frontières des comités internationaux. La musique, souvent considérée comme un patrimoine immatériel, se reflète également dans la culture matérielle que l'on trouve dans de nombreux types de collections muséales. L'omniprésence de la musique dans la vie culturelle, les innombrables façons dont elle enchante et émeut les gens, et sa riche portée culturelle à de nombreux niveaux, font de la musique et de son patrimoine matériel d'importants champs d'investigation et de recherche collaborative. Les instruments de musique peuvent être considérés comme étant au cœur de ces recherches, mais lorsqu'ils sont placés dans des contextes historiques et contemporains, les pratiques musicales peuvent être entrelacées avec d'autres artefacts, tels que les costumes, qui incarnent et expriment également l'identité culturelle, les idées et les valeurs sociales, politiques et spirituelles.
Les meilleures pratiques en matière de travail muséal permettent à la société de voir, d'entendre, d'accéder et de s'engager dans le patrimoine matériel et immatériel, et d'en apprendre davantage sur l'histoire, l'art, l'artisanat et les techniques.
L'importance et la fragilité de ce travail sont directement affectées par les guerres et les conflits actuels, qui suppriment et détruisent le patrimoine culturel matériel et immatériel.
"Partenariats et collaborations"
Nous avons le plaisir d’annoncer la publication du dernier numéro de Museum International, intitulé « Partnerships & Collaborations ».
Au cours des vingt dernières années, le secteur culturel a été confronté à d’importants défis : de nombreux musées ont été contraints de fermer ou de réduire leurs activités, et de nombreux professionnels de musée et partenaires ont dû faire face à des licenciements. Par conséquent, les musées ont dû explorer de nouvelles sources de financement, étendre leurs services et créer de nouveaux produits, tout en s’ouvrant à de nouvelles formes de partenariats et de collaborations.
Ce numéro aborde les défis qu’incarnent ces partenariats ainsi que les avancées, les limites et les problèmes qui peuvent en découler. Il aborde également les préoccupations financières plus générales des musées et explore des solutions potentielles – tout en tenant compte des dilemmes et des questions éthiques que peuvent soulever ces nouvelles collaborations. Les lecteurs et lectrices de la revue trouveront dans ce numéro des exemples de partenariats entre les musées et de nombreux secteurs, notamment ceux des jeux vidéo, de l’hôtellerie, de la santé, du cinéma, et de l’immobilier.
Le numéro est disponible sur le site web de Taylor and Francis :
Les membres de l’ICOM peuvent accéder gratuitement à l’intégralité du numéro via leur espace membre, sur le site internet de l’ICOM.
ICOM Prague 2022 : bourses d'ICOM France
Dans le cadre de la 26e Conférence générale d'ICOM à Prague et afin d'inciter des professionnels à participer à cet événement important pour les musées, ICOM France a décidé de soutenir certains de ses membres dont l'institution ne peut prendre en charge les dépenses.
ICOM France octroie 8 bourses couvrant les frais d'inscription à la Conférence générale au tarif préférentiel (350 euros).
Membres d’ICOM France éligibles à ces bourses
- Jeunes professionnels de moins de 40 ans
- Professionnels exerçant dans un musée au budget modeste, non susceptible de financer le voyage (attestation requise)
- Membres d’ICOM France candidats à un poste dans un Bureau de comité international
- Membres d’ICOM France souhaitant délivrer une communication lors de la réunion annuelle d'un comité international
Critères de sélection
- Motivation du candidat pour la thématique du congrès et/ou les activités d'ICOM France
- Implication dans les activités d’un des 30 comités internationaux
Les boursiers s'engagent à suivre la Conférence générale à Prague ainsi que l’Assemblée générale et l’Assemblée générale extraordinaire.
Ne peuvent déposer de demandes que les membres adhérents depuis deux ans au moins, à jour de leur cotisation 2022.
Veuillez adresser votre candidature par courriel à icomfrance[a]wanadoo.fr en indiquant les éléments suivants :
- votre nom, votre prénom
- votre numéro de membre ICOM
- le nom de votre institution
- un CV
- une lettre de motivation répondant aux critères énoncés
Date limite de dépôt de candidature : 31 mai à 23h59.
ICOM Kyoto 2019 : Bourses d'ICOM France
Dans le cadre de la 25e conférence générale d’ICOM à Kyoto et afin d'inciter des professionnels à participer à cet événement important pour les musées, ICOM France a décidé de soutenir certains de ses membres dont l'institution ne peut prendre en charge les dépenses.
Les aides pourront prendre la forme de :
- prise en charge des frais d’inscription à la conférence générale au tarif préférentiel de 330€
ou
- prise en charge des billets d’avion (classe économique)
ou
- prise en charge des frais d'hébergement
Membres d’ICOM France éligibles à ces bourses
- Jeunes professionnels de moins de 40 ans
- Professionnels exerçant dans un musée au budget modeste, non susceptible de financer le voyage (attestation requise)
- Membres d’ICOM France candidats à un poste dans un Bureau de comité international
- Membres d’ICOM France souhaitant délivrer une communication lors de la réunion annuelle d'un comité international
Critères de sélection
- Motivation du candidat pour la thématique du congrès et/ou les activités d'ICOM France
- Implication dans les activités d’un des 30 comités internationaux
- Relations avec le Japon dans la programmation actuelle ou à venir du musée (notamment dans le cadre de la Saison de la France au Japon, prévue en 2021)
Un compte rendu de mission sera demandé à chaque bénéficiaire.
Ne peuvent déposer de demandes que les membres adhérents depuis deux ans au moins, à jour de leur cotisation et membre ou candidat d'un comité international.
Une attention particulière sera portée aux candidats pratiquant le japonais.
Veuillez adresser votre candidature par courriel à icomfrance[a]wanadoo.fr comprenant les éléments suivants :
- votre nom, votre prénom
- votre numéro de membre ICOM
- le nom de votre institution
- un CV
- une lettre de motivation répondant aux critères énoncés ainsi qu'une description d'un projet en cours avec des partenaires japonais.
Date limite de dépôt de candidature : 15 mars 2019
Patrimoine et mémoire de l'esclavage
ICOM France annonce la publication de son dernier ouvrage : Patrimoine et mémoire de l'esclavage, comment exposer les collections liées à cette histoire ?
Comment des musées de types variés, dont les projets scientifiques et culturels, les modes d’approche et les moyens diffèrent, répondent-ils aux questions que pose l’exposition des collections liées à l’histoire de l’esclavage ?
Alors que le ministère de la Culture travaille sur la valorisation de « patrimoines contestés » ; alors que la question de la « décolonisation » des musées, des collections et des modes de fonctionnement de nos établissements est au cœur des réflexions menées par la communauté des professionnels en France comme à l’étranger, notamment au sein de l’ICOM ; alors que la question des droits humains est de plus en plus présente dans nos échanges professionnels, cette soirée-débat a proposé un temps de partage d’expériences et de réflexions de professionnels autour de cette question de fond qui concerne aujourd’hui un large éventail de typologies de musées.
Les intervenants ont souhaité abordé cette thématique non plus en termes historique ou économique mais en humanisant les récits grâce aux traces tangibles parvenues jusqu'à nous (moulages, lettres et archives, artefacts, beaux-arts, témoignages des descendants) afin de redonner une voix, un visage à ces personnes par le biais des collections muséales.
Retrouvez les interventions de M’hamed Oualdi (professeur d'histoire de l’Europe et de l’Afrique du Nord du XIXe et XXe siècle à l’Institut universitaire européen), Klara Boyer-Rossol (historienne, chercheuse et curatrice de l’exposition Visages d’ancêtres. Retour à l’Île Maurice pour la collection Froberville), Aly Ndiaye alias Webster (artiste hip-hop et historien indépendant, curateur de l’exposition Fugitifs !), Hanna Pennock (co-présidente du groupe de travail de l’ICOM sur la décolonisation), Dominique Taffin (chargée de mission au ministère de la Culture et ancienne directrice de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage) et Coralie de Souza Vernay (responsable Patrimoine & Recherche de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage).
Ouverture de la rencontre par Charles Personnaz (directrice de l'Institut national du patrimoine) et Emilie Girard (présidente d'ICOM France).
Modération : Nathalie Bondil (directrice du musée et des expositions de l’Institut du monde arabe).
Faux et fausses histoires
A vos agendas ! La conférence internationale du comité ICMEMOHRI - Comité international des musées commémoratifs et des droits de l'homme aura lieu à Paris du 1er au 5 juin 2025
Propos
À l'heure où l'agitation politique à travers le monde peut être fondée sur des « fake news », nous nous penchons sur le rôle des musées dans ce domaine, alors que nos propres collections et interprétations sont parfois remises en question.
On a souvent tenté d'attirer l'attention en recourant à diverses stratégies pour parer le faux des atours de l'authenticité. Partout où la vérité est importante, les faux abondent et l'histoire est déformée. La création, la déformation, la manipulation ou la reconstruction d'objets et de leurs informations culturelles et historiques façonnent et remettent en question notre identité et notre expérience du monde.
La provenance, c'est-à-dire l'historique de la propriété d'un artefact ou d'une œuvre d'art, est considérée comme la norme pour déterminer l'authenticité et le statut juridique de l'objet. Cependant, la provenance est souvent mise de côté, ou une définition fluide de la provenance est adoptée lorsque l'objet fait partie du marché commercial, lorsque sa biographie supposée est convaincante, ou lorsqu'il correspond à un récit désiré plutôt qu'à une vérité historique. Notre vision du monde et notre désir de le présenter tel que nous le croyons se reflètent dans le travail des mémoriaux et des musées.
PROGRAMME CI-CONTRE
Journée d’étude annuelle AFNOR-BnF sur la culture du risque
Dans un contexte où les cyberattaques contre les services publics se multiplient, où les menaces terroristes obligent à maintenir une vigilance constante et où les aléas climatiques, comme récemment à Mayotte, se multiplient, endommageant gravement habitations privées et structures publiques, on assiste désormais à un accroissement des risques sur notre territoire même, s’ajoutant aux évènements plus habituels comme incendies ou vols. Dans cet environnement multifactoriel, la traditionnelle distinction entre sécurité et sûreté tend à s’effacer, rendant indispensable de penser la préservation du patrimoine plus globalement autour d’une problématique de gestion de risque.
Suite au constat dressé par l’Inspection générale de l’Enseignement supérieur et de la recherche (IGESR), cette nécessité d’anticiper le risque via des PSBC, quelle que soit la structure ou le territoire, a été réaffirmée comme une priorité interministérielle. La norme ISO 21110 sur les plans d’urgence, vient étayer ces dispositifs réglementaires.
Mais normes et règlements, pour être efficients, impliquent une appropriation collective et la collaboration de différents corps de métiers, engagés dans la préservation du patrimoine.
Au-delà des enjeux et de l’état des lieux sur les outils, cette journée AFNOR-BnF entend illustrer comment se construit collectivement une culture du risque au service et – parfois- au secours du patrimoine.
La participation est gratuite mais l’inscription obligatoire jusqu’au 22 juin 2025
NFORMATIONS PRATIQUES
Entrée gratuite – Réservation obligatoire.
Il est recommandé de se présenter en avance (jusqu’à 30 minutes avant la manifestation).
A distance, la retranscription se fera en direct sur la chaîne YouTube de la BnF.
ACCÈS
François-Mitterrand – Petit auditorium
Quai François-Mauriac – Paris 13e
Entrée Est face à la rue Émile Durkheim
Les collections agricoles, un avenir à inventer
Journée organisée par Les Neufs de Transilie, Grand Paris Sud, la Fédération des écomusées et musées de société (FEMS) en partenariat avec la Fédération des musées d’agriculture et du patrimoine rural (AFMA), se déroulera à Lieusaint (Seine-et-Marne) dans les réserves de la collection de l’ancien écomusée de Savigny-le-Temple (navette dédiée mise en place depuis la gare de Lieusaint-Moissy).
Au programme :
- Deux tables rondes pour explorer la mise en valeur des collections agricoles oubliées et leur rôle à l’ère du développement durable, de la transition écologique et des innovations technologiques.
- Deux ateliers pratiques à partir des collections de l’ancien écomusée de Savigny-le-Temple.
Cet événement sera l’occasion d’échanger sur des questions clés : comment réinventer l’attractivité des collections agricoles ? Comment les intégrer dans les grands enjeux actuels comme la transition écologique ou l’intelligence artificielle ?
Date limite pour s’inscrire : 8 mai 2025
Renouer avec le vivant – Musées en transition
Depuis le début du 19ème siècle, les extinctions d’espèces sont 10 à 1000 fois plus rapides que le rythme naturel. Nous vivons actuellement une disparition des animaux et des plantes à un rythme encore inégalé, une 6ème extinction de masse causée par l’espèce humaine. La France est le 6ème pays hébergeant le plus grand nombre d’espèces menacées. Nous avons donc collectivement un rôle à jouer face à cela, notamment au sein des musées.
Le 22 mai, Bretagne musées poursuit avec cette journée construite en partenariat avec le CNFPT et le musée Mathurin Méheut, son cycle consacré aux « musées en transition », développé notamment à propos de la limitation des externalités environnementales négatives des structures (émissions de carbone, déchets etc.).
Cette nouvelle journée souhaite explorer un autre aspect du rôle pouvant être joué par les musées pour une « transition » vers un monde désirable : celui de favoriser une reconsidération de nos rapports défectueux au vivant.
Les lieux culturels et muséaux peuvent en effet tenir un rôle positif et fertile face aux enjeux écologiques et sociétaux actuels : en mettant en perspective les relations de nos sociétés avec le vivant, en se positionnant comme des lieux de déconstruction des poncifs de nos sociétés consuméristes destructrices, en favorisant la connaissance, l’émerveillement et l’ouverture, en permettant la fabrication d’imaginaires et de futurs enviables. L’objectif de cette journée est de donner des pistes de réflexion et d’actions afin de penser le rôle que peuvent jouer les musées en la matière.