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Assurance des œuvres d'art : sinistralité et enjeux de responsabilité
Du 5 au 7 juin 2024, l’objectif de cette formation est de permettre aux professionnels conservant et/ou présentant des collections de faire le point sur le cadre juridique de l’assurance des œuvres d’art, les acteurs de ce marché et les enjeux de responsabilité dans la gestion et le règlement des sinistres.
Les œuvres d’art sont exposées à des risques divers et croissants parfois imprévisibles. Vol, vandalisme, malveillance, incendie, dégât des eaux, dommage lors d’un transport ou pendant une exposition… sont autant d’événements passés ou potentiels qui doivent attirer l’attention des professionnels du patrimoine sur la protection juridique et physique des collections qu’ils conservent et transmettent. Intégrer ces risques dans la politique patrimoniale globale ou de proximité, du musée ou de toute institution culturelle conservant ou présentant des collections est une absolue nécessité, renforcée depuis 2020 en raison de la crise sanitaire et de ses conséquences.
A l’issue de la formation, le stagiaire sera en mesure de :
- évaluer les facteurs de risques dans la politique patrimoniale de son institution (expositions, transports, prêts, réserves, restaurations, sinistres) ;
- déterminer ses besoins en assurance pour ses collections ;
- comprendre les règles juridiques et les mécanismes de l’assurance d’œuvres d’art ;
- connaître la réglementation des contrats d’assurance relatifs aux œuvres et aux expositions ;
- comprendre les rôles et responsabilités des compagnies d’assurances, des experts et des courtiers ;
- mettre en place à titre préventif les moyens de protection requis par les compagnies d’assurance.
Public concerné
Conservateurs du patrimoine et des bibliothèques, chargés d’études documentaires, attachés de conservation, assistants de conservation, régisseurs d’œuvres d’art, restaurateurs, transporteurs, assureurs, responsables de collections patrimoniales, professionnels du patrimoine d’Etat, des collectivités territoriales et du secteur privé
Coordination pédagogique
Sophie Daynes-Diallo, cheffe du département de la production au Musée national Picasso-Paris
Développement durable et conservation du patrimoine
À partir d’apports théoriques, d’études de cas et de retours d’expériences, cette formation a pour objectif de favoriser la recherche de bonnes pratiques et de solutions éco-responsables dans tous les champs du patrimoine culturel.
La définition du développement durable est précisée au Sommet de la Terre à Rio, en 1992, en déterminant trois socles : économie, écologie et social. Le développement durable se veut efficace économiquement, équitable socialement et soutenable écologiquement.
En 2015, l’Inp proposait une première sensibilisation des acteurs du patrimoine aux enjeux du développement durable. Depuis, la conservation du patrimoine est en pleine reconfiguration dans l’optique de concilier l’activité et les pratiques professionnelles aux enjeux liés au développement durable et à l’éco-responsabilité, tout en répondant aux impératifs de la préservation des biens culturels patrimoniaux. La préoccupation éco-responsable des institutions patrimoniales ne concerne pas uniquement le champ énergétique mais également la mise en œuvre de pratiques professionnelles éco-responsables. Cela passe également par l’accompagnement au changement des professionnels du patrimoine.
Quelles sont les recommandations actuelles dans ces domaines ? Comment rendre nos pratiques éco-responsables ? Quels sont les produits et les matériaux disponibles pour changer les modes de consommation en conservation ? L’objectif de cette formation consiste à dresser un bilan de la situation pour envisager des pistes de solutions pour l’avenir, à mi-chemin entre innovations technologiques et révisions de nos pratiques professionnelles.
Public concerné
Conservateurs du patrimoine et des bibliothèques, chargés d’études documentaires, attachés de conservation, assistants de conservation, régisseurs d’œuvres d’art, restaurateurs, transporteurs, responsables de collections patrimoniales, responsables de services techniques, professionnels du patrimoine d’Etat, des collectivités territoriales et du secteur privé
Coordination pédagogique
Hélène Vassal, Conservatrice en chef du patrimoine, Directrice du soutien aux collections, Musée du Louvre
Intervenante
Sandrine Beaujard-Vallet, cheffe du service de la régie des œuvres et des expositions, musée national d’art moderne - Centre Georges Pompidou
Informations pratiques
25 places
960 euros
La régie des oeuvres ou le quotidien d'un musée
Du 22 au 24 octobre 2024, s’appuyant sur l’expérience croisée des musées de Strasbourg, cette formation a pour but de donner aux participants des outils et des exemples de bonnes pratiques transposables dans leur quotidien pour fluidifier les opérations de régie.
L’ensemble des tâches et des activités liées à la régie des œuvres est aujourd’hui parfaitement intégré au fonctionnement quotidien des musées nationaux et des collectivités territoriales. En se généralisant dans les établissements, le métier s’est étoffé en termes de compétences mais aussi en termes de responsabilités notamment ces 10 dernières années. La régie des collections et des expositions demande ainsi des connaissances très spécifiques.
La gestion du mouvement des œuvres constitue le socle commun de compétences mais les questions de conservation préventive, de cadre assurantiel, de planification et de méthodes auxquelles s’ajoutent les préoccupations liées au développement durable ou à l’informatique documentaire génèrent la mise en œuvre de savoir-faire particuliers. Qu’en est-il dans le quotidien du musée ? Comment la théorie rejoint-elle la pratique ? Quelles modalités opérationnelles sont mises en place ?
Une alternance entre exposés et rencontres avec des professionnels de la régie ainsi que des mises en situation permettra à chacun de s’approprier les contenus proposés.
Public concerné
Régisseurs d’œuvres d’art, conservateurs du patrimoine et des bibliothèques, chargés d’études documentaires, attachés de conservation, assistants de conservation, responsables de collections patrimoniales, professionnels du patrimoine d’Etat, des Collectivités territoriales et du secteur privé
Coordonnateur pédagogique
Ludovic Chauwin, régisseur des collections, département de la régie des collections, direction des musées, direction de la culture, Ville de Strasbourg
Modalités d'inscription
Lire les conditions d'inscription
Lorsque votre bulletin est complété et signé, il doit impérativement être adressé par courrier électronique à :
Christelle Pietrogiovanna, service de la formation continue des conservateurs du patrimoine
Tél. : 01 44 41 16 54
christelle.pietrogiovanna@inp.fr
L’INP reviendra ensuite vers vous pour vous indiquer la suite donnée à votre demande.
Le parcours de direction
L’Institut national du patrimoine (Inp) crée un nouveau parcours de formation continue destiné à des professionnels français en position de direction d’établissement culturel et patrimonial
Qui peut candidater ?
Les professionnels en position de direction d’un établissement patrimonial (musée, archives, monument, …), ou en recherche de poste de direction d’un établissement patrimonial, ou en direction de plusieurs équipements culturels et patrimoniaux et services mutualisés ou en responsabilité d’un projet d’agrandissement ou de transformation d’un établissement patrimonial.
Sélection des candidatures
Un comité de sélection constitué de 10 personnes qualifiées accompagne l’Inp pour la sélection des candidats. Il évaluera les candidatures et s’entretiendra avec maximum 25 candidats au cours du mois de juillet 2024.
La publication de la liste des 15 candidats sélectionnés pour ce premier parcours de direction est prévue au plus tard le 30 juillet 2024.
Chantier de longue durée ou complexe : la gestion de projet en conservation-restauration
Du 4 au 5 novembre 2024, cette formation abordera dans un premier temps les principes clés et la méthodologie de la gestion de projet avant de proposer des ateliers en groupe mis en place sur des exemples de marchés
Prendre le mandat d‘un chantier impliquant une équipe nombreuse, un matériel ou des installations spécifiques ou sur une longue période nécessite une organisation particulière qui peut décourager au préalable ou bien entrainer un investissement et une charge mentale lourds pour un entrepreneur individuel ou le gérant d’une petite entreprise.
Les compétences déployées dans d’autres domaines pour la gestion de projet peuvent donner des outils et un cadre pour envisager un projet complexe de conservation-restauration.
Cette formation abordera les principes clés et la méthodologie de la gestion de projet, avant de proposer des ateliers en groupe mis en place sur des exemples de marchés qui seront choisis en fonction des spécialités des participants.
Les ateliers seront accompagnés et animés par une restauratrice ayant suivi une formation de 3 jours sur la gestion de projet et adapté certains des outils proposés à des cas de chantiers en sculpture monumentale notamment. La 2ème partie de la formation fera l’objet d’une restitution des ateliers et d’échanges avec les encadrants avant de se conclure par un rappel et un retour au cadre général pour les acquis.
Public concerné
Professionnels de la conservation-restauration.
Coordination
Amélie Méthivier, adjointe au directeur des études, chargée de la formation initiale département des restaurateurs, Inp
Intervenantes
Mathilde Toyon, directrice de projets dans le domaine digital (sous réserve) ; Fanny Grué conservatrice-restauratrice de sculptures.
Modalités d'inscription
Lire les conditions d'inscription
Lorsque votre bulletin est complété et signé, il doit impérativement être adressé par courrier électronique à :
Céline Jabin, service de la formation continue des restaurateurs du patrimoine
Tél. : 01 49 46 57 16
celine.jabin@inp.fr
L’INP reviendra ensuite vers vous pour vous indiquer la suite donnée à votre demande.
- 18 places
- 640 euros
Développement durable : les nouveaux matériaux de conditionnement, les découvrir et les tester
Du 4 au 5 décembre 2024, ce stage, théorique et pratique, propose tout d’abord d’éclaircir les critères qui permettent de parler ou non de matériaux écologiques et ceux qui nous permettraient de les utiliser dans le domaine de la conservation en fonction des collections concernées et des contextes.
Les plastiques constituent à ce jour une part très importante de nos matériaux de conditionnement. De leur production à leur destruction, ils ont malheureusement un impact environnemental et toxicologique que l’on ne peut plus négliger et qu’il faut prendre en compte dans nos pratiques.
Si nous pouvons essayer de réemployer au maximum les matériaux existants, nous devons également songer à les remplacer.
Aujourd’hui de nouveaux matériaux biosourcés et biodégradables sont proposés et arrivent sur le marché, mais ils n’ont pas encore fait leurs preuves dans le domaine de la conservation-restauration.
Ce stage, théorique et pratique, propose tout d’abord d’éclaircir les critères qui permettent de parler ou non de matériaux écologiques et ceux qui nous permettraient de les utiliser dans le domaine de la conservation en fonction des collections concernées et des contextes.
Au regard de ces premiers critères de sélection, nous mettrons en place des tests simples qui permettront de faire avancer la connaissance dans le domaine, notamment de comprendre certaines des caractéristiques physico-chimiques des matériaux proposés. Ainsi, pourront être mis en œuvre des tests, à l’échelle de l’atelier ou de l’institution, qui permettent d’évaluer leur pH, leur solubilité ou leur porosité, et vérifier leur innocuité chimique pour les matériaux constitutifs des biens culturels.
Public concerné
Professionnels de la conservation-restauration
Coordination
Nathalie Palmade-Le Dantec, Maroussia Duranton
Intervenantes (à confirmer)
Maroussia Duranton, ingénieure d’études au département de la conservation préventive, C2RMF ; Kim Kraczon, conservatrice-restauratrice spécialisée en matériaux modernes et contemporains et en développement durable, directrice du secteur matériaux chez Ki Culture, en collaboration avec Gallery Climate Coalition ; Nathalie Palmade-Le Dantec, restauratrice, consultante en conservation préventive, adjointe au directeur des études du département des restaurateurs, chargée de la formation continue, Inp ; Sylvie Ramel-Rouzet, conservatrice-restauratrice de matériaux contemporains, consultante en conservation préventive ; Anaïs Perrichon, assistante de la réagie des œuvres, Louis Vuitton ; Elena Joulin, restauratrice de peinture.
Modalités d'inscription
Lire les conditions d'inscription
Lorsque votre bulletin est complété et signé, il doit impérativement être adressé par courrier électronique à :
Céline Jabin, service de la formation continue des restaurateurs du patrimoine
Tél. : 01 49 46 57 16
celine.jabin@inp.fr
L’INP reviendra ensuite vers vous pour vous indiquer la suite donnée à votre demande.
- 14 places
- 780 euros
Le soclage des oeuvres : entre conservation et présentation
Du 23 au 25 octobre 2024, l’objectif de cette formation est de comprendre les enjeux inhérents au soclage par une approche théorique dans un premier temps, des séquences pratiques d’études de cas et la mise en application par la conception et la réalisation d’un ou deux socles par les participants
Le cours apportera des connaissances et des réponses adaptées aux typologies concernées, aux matériaux constitutifs et à l’état de conservation des collections. Les propositions envisagées devront également s’adapter aux contraintes, comme par exemple l’adaptation à des vitrines existantes, et également au contexte dans lequel le soclage doit être réalisé (exposition temporaire ou permanente, muséographie particulière, soutien pour une mise en réserve…).
Les objectifs de cette formation sont :
- Comprendre les enjeux inhérents au soclage par une approche théorique suivie de séquences pratiques.
- Comprendre les risques liés au soclage.
- Connaître les matériaux à privilégier selon les natures de pièces à socler.
- Adapter le soclage aux conditions d’exposition ou de rangement.
- Connaître les termes spécifiques, les techniques et les matériaux pour s’adresser à des socleurs et commander un soclage adapté.
Public concerné
Professionnels de la conservation-restauration, professionnels du patrimoine d'Etat et des collectivités territoriales
Coordonnatrice pédagogique
Nathalie Le Dantec, restauratrice, consultante en conservation préventive, adjointe au directeur des études du département des restaurateurs, chargée de la formation continue, Inp
Intervenants
Yves Morel, socleur, designer produits et metteur en scène d’objets ; Lucile Gaydon, restauratrice d’objets 3D (à confirmer)
Modalités d'inscription
Lire les conditions d'inscription
Lorsque votre bulletin est complété et signé, il doit impérativement être adressé par courrier électronique à Aurélie Tanaqui, service de la formation continue des restaurateurs du patrimoine
aurelie.tanaqui@inp.fr
Tél. : 01 49 46 57 92
L’INP reviendra ensuite vers vous pour vous indiquer la suite donnée à votre demande.
- 14 places
- 960 euros
Le musée est dans le pré - Musée et "ruralité"
Propos de la rencontre
A la suite du plan « France ruralités » présenté à l’été dernier par le Gouvernement, la Ministre de la Culture, Rachida Dati, a appelé à la mobilisation des acteurs culturels autour de la question de la « ruralité ». Le « Printemps de la ruralité », concertation nationale portant sur l’offre culturelle dans les territoires ruraux, est alors lancée en janvier dernier.
Ce concept de « ruralité », apparu à la fin des années 1990 et réactivé périodiquement depuis une bonne dizaine d’années par différents plans d’actions, trouve aujourd’hui une nouvelle actualité. Mais comment le définir au juste? Le monde rural recouvre des réalités hétérogènes, en fonction de la géographie ou de l’histoire qui a façonné ces territoires. Le terme revêt aujourd’hui une acception anthropologique, caractérisant un mode de vie spécifique, voire une dimension politique, largement relayée par les médias. Comment objectiver cette notion ? Selon l’INSEE, les territoires ruraux sont définis par la faible densité de population. Jusqu’en 2020, l’organisme définissait le rural comme l’ensemble des communes n’appartenant pas à une unité urbaine, définie par le regroupement de plus de 2 000 habitants. Depuis 2021, la définition a évolué pour rompre avec cette approche centrée sur la ville. La ruralité désigne désormais l’ensemble des communes peu denses ou très peu denses d’après la grille communale de densité. Ces territoires réunissent l’immense majorité des communes françaises (88 % des communes en 2017) et un tiers de la population, soit 22 millions de personnes.
Le « Printemps de la ruralité » s’appuie sur un postulat : les opportunités culturelles sont plus limitées dans les territoires ruraux que pour le reste de la population, les communes rurales accueillent 16% des équipements culturels à l’échelle nationale selon l’INSEE.
Qu’en est-il de nos musées ? La question de l’accessibilité du plus grand nombre irrigue la réflexion des professionnels de musées depuis longtemps. L’implantation du musée au cœur des territoires est par exemple l’un des piliers de l’écomuséologie, pensée dans les années 1960. Si la question de la répartition des institutions culturelles sur le territoire et de leur accessibilité est toujours un sujet de questionnement, c’est sans doute qu’elle témoigne aussi des tensions qui irriguent aujourd’hui nos sociétés.
Quel rôle les musées ont-ils à jouer pour répondre à un objectif d’équité territoriale et de démocratisation culturelle, et comment peuvent-ils contribuer à « faire société », au plus près de chacun ? Les projets scientifiques élaborés, les actions culturelles menées, dans et hors les murs, les projets itinérants, la mise en réseau des établissements, les partenariats faisant travailler ensemble musées et acteurs associatifs ou structures éducatives, la mise en place de résidences sont autant de pistes de travail pour faire du musée un lieu de vitalisation des liens sociaux qui répond aux grandes missions fixées dans la définition du musée. Dans la période de crises contemporaines que nous traversons, comment réaffirmer cet engagement des professionnels de musée?
Emilie Girard, présidente d'ICOM France
La session sera modérée par Annabelle Ténèze, directrice du musée du Louvre-Lens
Modalités
Session sur plate-forme numérique
ID : 828 4164 7999 // Code : 595698
Rencontre simultanément traduite en anglais, espagnol et français avec le soutien du ministère de la Culture

Le plan d'urgence en cas de sinistre
Du 12 au 14 juin 2024, cette formation théorique et pratique a pour objectif d’aider les institutions à rédiger et mettre en place leur plan d’urgence
Une introduction générale permettra de présenter les actions et les réalisations menées par deux instances de référence dans ce domaine. Elles encadreront les participants tout au long du stage lors des développements théoriques, des ateliers et de la mise en place d’exercices.
Les différentes étapes permettant l’élaboration d’un plan d’urgence seront détaillées et appuyées de fiches techniques et de recommandations ayant fait leurs preuves sur le terrain.
Des exercices pratiques permettront de mettre en œuvre les préconisations de manipulations et d’interventions appropriées (traitement d’objets / documents sinistrés ; cellule de crise).
Public concerné
Professionnels de la conservation-restauration, professionnels du patrimoine d'Etat et des collectivités territoriales
Coordination pédagogique
Nathalie Palmade-Le Dantec, restauratrice, consultante en conservation préventive, adjointe au directeur des études du département des restaurateurs, chargée de la formation continue, Inp
Intervenantes
Nelly Cauliez, conseillère pour la conservation du patrimoine, Direction du département de la culture et de la transition numérique, Genève ; Emilie Vaudant, attachée de direction, chargée de projet, Bibliothèque de Genève ; Mylène Florentin, consultante en conservation préventive, spécialisée dans les plans de sauvegarde des biens culturels BBF.
Modalités d'inscription
Lire les conditions d'inscription
Lorsque votre bulletin est complété et signé, il doit impérativement être adressé par courrier électronique à Aurélie Tanaqui, service de la formation continue des restaurateurs du patrimoine
aurelie.tanaqui@inp.fr
Tél. : 01 49 46 57 92
L’INP reviendra ensuite vers vous pour vous indiquer la suite donnée à votre demande.
- 15 places
- 960 euros
Peut-on tout exposer ? Les musées au cœur du débat contemporain
Publication ICOM France
Comment exposer des œuvres, objets, thématiques ou artistes dont on connait (ou suppose) la capacité à déranger, à choquer ?
Si nous, professionnels de musée, sommes convaincus de devoir tout exposer, la question du "comment" est au cœur de nos interrogations. Comment faire face au risque de l’autocensure ? Quel appareil discursif les musées doivent-ils mettre à disposition des publics pour mieux contextualiser, mieux expliquer et répondre aux contradictions ?
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