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Journée internationale des musées - édition 2021
Chaque année depuis 1977, l’ICOM organise la Journée internationale des musées (JIM), événement qui représente un moment unique pour la communauté muséale internationale.
La Journée internationale des musées a pour objectif de sensibiliser la société civile au fait que « les musées sont un moyen important d’échanges culturels, d’enrichissement des cultures, du développement de la compréhension mutuelle, de la coopération et de la paix entre les peuples. » Organisée le 18 mai ou autour de cette même date, les manifestations et activités prévues pour célébrer la Journée internationale des musées peuvent durer une journée, un week-end ou une semaine. La JIM a été célébrée pour la première fois il y a 40 ans. Son objectif est clair : diffuser le message que les musées sont un moyen important d’échanges culturels et d’enrichissement des cultures, et d’encourager la compréhension mutuelle, la coopération et la paix entre les peuples. La Journée internationale des musées fédère de plus en plus de musées à travers le monde. L’année dernière, plus de 37 000 musées ont participé à l’événement dans près de 156 pays.
Journée international des musées 2021 : « L’ Avenir des musées : se rétablir et se réinventer ».
Avec le thème “L’ avenir des musées : se rétablir et se réinventer“, la Journée internationale des musées 2021 invite les musées, leurs professionnels et leurs communautés à développer, imaginer et partager de nouvelles pratiques de (co)création de valeur, de nouveaux modèles commerciaux pour les institutions culturelles et des solutions innovantes pour les défis sociaux, économiques et environnementaux du présent.
Le site internet dédié à la Journée internationale des musées vous fournit toutes les informations, les outils et le matériel nécessaires pour participer à l’édition 2021. Une carte interactive rassemble les événements et les activités qui se dérouleront dans le monde entier tandis que le Kit de communication vous aidera à participer à cette occasion.
Participer à la JIM 2021
Pour assurer le succès de la Journée internationale des musées, l'ICOM international a besoin de votre aide !
Vous êtes les ambassadeurs de la Journée internationale des musées. Grâce aux activités que vous organisez et aux liens solides que vous développez avec votre public, cet événement continue d’être un succès année après année. En plus des activités que vous prévoyez, votre participation à la Journée internationale des musées est l’occasion pour vous de :
- Réaliser des partenariats avec des écoles, des associations, des bibliothèques, d’autres musées, etc. pour promouvoir votre événement et renforcer vos liens avec des organisations ayant des objectifs similaires ;
- Défendre le rôle des musées dans nos sociétés en faisant connaître aux autorités locales, régionales et nationales vos activités et pourquoi elles sont importantes pour le grand public ;
- Diffuser des informations sur la Journée Internationale des Musées à travers la presse locale, vos réseaux sociaux et votre site Web ;
- Gagner en visibilité internationale pour vos activités en partageant des informations sur vos événements de la Journée internationale des musées avec l’ICOM, ce qui nous permet de les diffuser à travers notre réseau et au-delà.
Carte interactive de la JIM 2021 : c’est le moment d’annoncer votre activité !
Avez-vous déjà planifié un événement ou un programme spécial pour la Journée internationale des musées, à l’instar de nombreuses autres institutions culturelles à travers le monde?
Ajoutez la vôtre à la nouvelle carte interactive de l’ICOM, visible partout dans le monde.
Consultez la nouvelle carte interactive
Lien vers le site d'ICOM international

Prenez part à l'actualisation de la définition des musées par l'ICOM !
Chers membres,
Depuis sa création, l’ICOM propose à ses membres une « définition » du musée. Cette définition est inscrite dans ses statuts et son code de déontologie et, ce faisant, est diffusée dans le monde entier.
Il est important de rappeler que « Musée » n’est pas une appellation contrôlée et qu'il existe d’autres définitions, produites par d’autres organisations professionnelles ou le dictionnaire. La définition du musée par l’ICOM vise à discerner ce qui caractérise un musée pour l’ICOM. Elle tient lieu de norme là où il n’y a pas de textes réglementaires en matière de musées. La définition est garante de l'unité de l'ICOM car elle distingue ce qu’est un musée – par rapport à d’autres lieux culturels – et donc définit qui peut adhérer. On comprend ainsi l’importance de produire et d’adopter un texte qui a le même sens pour tous.
Depuis 1946, cette définition a été modifiée à sept reprises. L'actualiser est un exercice légitime, mais délicat si on le veut rassembleur, car les musées ont évolué de manière parfois très hétérogène à travers le monde. Choisir les mots qui représentent tous les musées de 140 pays ne prend sens que s’il s’agit de renforcer une communauté professionnelle autour de ses enjeux fondamentaux et d’organiser la solidarité en son sein. Surtout après la crise sanitaire, qui a inégalement touché les institutions muséales. La définition doit contenir uniquement ce qui nous est commun, notre plus petit dénominateur commun, en somme.
ICOM avait lancé le chantier de la redéfinition dès 2016. Comme vous vous en souvenez sans doute, la proposition résultant de cette démarche, présentée à Kyoto, a été dénoncée par 70% des membres (dont ICOM France), appelant à poursuivre le travail de consultation. Une autre dynamique, une nouvelle présidence se sont installées en vue de la prochaine conférence générale à Prague en 2022. ICOM DeFine, actuel comité en charge de la production d’une nouvelle définition du musée pour cette échéance, a établi une nouvelle méthodologie et demande à tous les comités nationaux et internationaux de recueillir les avis de leurs membres.

PARTICIPER AU QUESTIONNAIRE
L'économie solidaire entre au Musée
Solidarités, musées : de quoi parle-t-on ?
Avec la Covid-19, certains mots ont pris du poids. Solidarité en est un.
Le confinement, les fermetures de musées, le travail à distance, la précarisation… suscitent des élans de générosité, des désirs d’échange, des espoirs de partage. Concrètement, comment cela se traduit-il ? Est-ce durable ?
ICOM France propose chaque troisième mardi du mois une rencontre-discussion sur la plateforme Zoom de 13h à 14h30 autour du thème "Solidarité" pour vous permettre d'échanger et de transmettre vos expériences entre professionnels de musée.
Mardi 16 mars - séance 5
L'économie solidaire entre au Musée
Exposition durable, éco-conception, mesure d'impact, fin du productivisme...
Comment introduire la solidarité environnementale dans la vie économique des musées ?
Quel impact écologique de l'activité des musées ? Quels indicateurs ?
Le développement durable peut-il générer des bénéfices économiques ?
Comment penser une exposition durable (quels moyens, équipements, budget...) ?
Quelles compétences mobiliser ?
Venez dialoguer et échanger avec :
-
Kimmo Antila, directeur du musée de la Poste finlandais
-
Lydia Labalette, administratrice du Château des ducs de Bretagne - musée d'Histoire de Nantes
-
Laukia Merja, directrice des expositions et des collections du musée des Confluences et Sylvain Beguin, régisseur général du musée des Confluences
-
Térésa Ribeyron, chef de projet itinérance des expositions du MNHN
-
Caitlin Southwick, membre du groupe de travail développement durable d'ICOM et directrice de Ki Culture
Liens vers la séance
ID de réunion : 856 1774 5937
Code secret : 528761
La séance, organisée en direct sur une plateforme numérique, sera modérée par Estelle Guille des Buttes, conservatrice en chef du patrimoine, trésorière adjointe à ICOM France.
Elle se tiendra simultanément en français, en anglais et en espagnol.

Le Cycle "Solidarités, musées : de quoi parle-t-on ?" est une initiative d'ICOM France en partenariat avec ICOM Finlande, ICOM Grèce, ICOM Israël et CIMUSET. Il a obtenu le soutien financier de l'ICOM international.
Recherche et musées

Les liens entre recherche et musées sont complexes. Avec la pandémie, de nouvelles questions ont été soulevées.
Pourquoi et comment le musée s'est-il posé comme garant du savoir et du "vrai" ?
Qu'est ce que la recherche pour un musée ?
Comment s'organisent les relations de travail entre chercheurs et (autres) professionnels de musée ? Qui fait quoi et comment les uns et les autres articulent-ils leurs travaux ?
ICOM France a invité le 9 mars 2021 onze professionnels de musée et/ou chercheurs à en débattre.
La rencontre a mis en évidence la place de l'esprit scientifique dans la pratique et dans la formation aux métiers des musées. Elle a été modérée par Juliette Raoul-Duval - présidente d'ICOM France - Hélène Vassal - secrétaire d'ICOM France - et Laurence Isnard - cheffe du bureau des acquisitions, restauration, conservation préventive et recherche du service des musées de France.
Ouvertures officielles suivies de l'introduction de la soirée par Etienne Klein, physicien et philosophe des sciences.
Partie 1. Place de la recherche dans les musées en France et à l'international
Avec Eric de Chassey, directeur de l’Institut national d’Histoire de l’Art ; Christian Hottin, directeur des études de l‘Institut national du patrimoine ; Roland May, directeur du Centre Interdisciplinaire de Conservation et de Restauration du Patrimoine ; Pascal Liévaux, Délégation à l’inspection, à la recherche et à l’innovation, direction générale des patrimoines et Steph Scholten, directeur de la Hunterian, université de Glasgow - vice-président d’UMAC
Partie 2. La recherche dans les musées à l’épreuve des questions vivantes
Avec Ariane James-Sarazin, directrice adjointe du musée de l’Armée ; Francis Duranthon, paléontologue - directeur des musées de la ville de Toulouse ; Anne-Catherine Robert-Hauglustaine, directrice du musée de l’Air et de l’Espace et André Delpuech, directeur du musée de l’Homme
Recherche et musées - captations
Les liens entre recherche et musées sont complexes. Avec la pandémie, de nouvelles questions ont été soulevées.
Pourquoi et comment le musée s'est-il posé comme garant du savoir et du "vrai" ?
Qu'est ce que la recherche pour un musée ?
Comment s'organisent les relations de travail entre chercheurs et (autres) professionnels de musée ? Qui fait quoi et comment les uns et les autres articulent-ils leurs travaux ?
ICOM France a invité le 9 mars 2021 onze professionnels de musée et/ou chercheurs à en débattre.
La rencontre a mis en évidence la place de l'esprit scientifique dans la pratique et dans la formation aux métiers des musées. Elle a été modérée par Juliette Raoul-Duval - présidente d'ICOM France - Hélène Vassal - secrétaire d'ICOM France - et Laurence Isnard - cheffe du bureau des acquisitions, restauration, conservation préventive et recherche du service des musées de France.
Ouvertures officielles suivies de l'introduction de la soirée par Etienne Klein, physicien et philosophe des sciences.
Partie 1. Place de la recherche dans les musées en France et à l'international
Avec Eric de Chassey, directeur de l’Institut national d’Histoire de l’Art ; Christian Hottin, directeur des études de l‘Institut national du patrimoine ; Roland May, directeur du Centre Interdisciplinaire de Conservation et de Restauration du Patrimoine ; Pascal Liévaux, Délégation à l’inspection, à la recherche et à l’innovation, direction générale des patrimoines et Steph Scholten, directeur de la Hunterian, université de Glasgow - vice-président d’UMAC
Partie 2. La recherche dans les musées à l’épreuve des questions vivantes
Avec Ariane James-Sarazin, directrice adjointe du musée de l’Armée ; Francis Duranthon, paléontologue - directeur des musées de la ville de Toulouse ; Anne-Catherine Robert-Hauglustaine, directrice du musée de l’Air et de l’Espace et André Delpuech, directeur du musée de l’Homme
10e journées professionnelles de la conservation-restauration des biens culturels
À l’heure où les enjeux environnementaux et les effets du changement climatique remettent en cause nos comportements et conditionnent les nouvelles politiques publiques, qu’en est-il dans le domaine particulier de la conservation-restauration des biens culturels ?
Comment conjuguer la préservation du patrimoine et la protection de l’environnement ?
Comment adapter les pratiques, afin de mieux répondre à l’ardente obligation du développement durable ?
Quelles éventuelles contradictions se dessinent et comment les résoudre ?
Autant de questions que cette 10e édition anniversaire des journées professionnelles abordera.
Organisées par la Direction générale des patrimoines et de l’architecture du ministère de la Culture en partenariat avec la Cité de l’architecture & du patrimoine et l’Institut national du patrimoine, les dixièmes journées professionnelles de la conservation-restauration rassembleront une trentaine d’intervenants qui feront état de leur réflexion et de réalisations récentes, dans tous les champs patrimoniaux (archéologie, archives, musées, bibliothèques, monuments historiques) tant sur le patrimoine ancien que contemporain.
Colloque à suivre en ligne
Stratégie « décoloniale » helvète et collections coloniales
La Suisse coloniale, sans colonies. Telle est la réalité historique mêlée d’esclavagisme, d’impérialisme, d’économie prédatrice et de prosélytisme religieux, dénoncée depuis quelques décennies par la recherche académique helvète. La mobilisation des musées suisses conservant des collections « extra-occidentales » s’articule autour de la recherche en provenance et la multiplication d’expositions à portée décoloniale. La numérisation des inventaires et des archives, la création de réseaux de collaborations intercantonaux offrent la perspective d’une cartographie nationale des collections et de leur documentation biographique. La récente exposition Exotic ? Regarder l’ailleurs en Suisse au siècle des Lumières (Lausanne, Palais de Rumine) et son colloque Provenance globale en ont d’ailleurs témoigné.
Intervenantes
Floriane Morin (musée d’Ethnographie de Genève)
Marie Perrier (musée des Confuences, Lyon)
Avec la modération d’Émilie Salaberry (musée d’Angoulême)
À propos de ce séminaire
Les collections dites « extra-occidentales » conservées dans des musées publics ou des collections privées, disséminées tant dans des musées d’art, d’ethnologie que dans des muséums d’histoire naturelle, sont encore trop peu connues. Leur étendue est souvent beaucoup plus grande que ce que les œuvres exposées au public ne laissent supposer, mais elles sont aussi souvent peu documentées, ce qui laisse place à l’incertitude et bien souvent à un malaise quant à leur provenance. La nécessité d’engager un programme d’études spécifique sur ces collections, si elle était bien présente dans les projets de responsables scientifiques de collections et chercheurs, devient dans le contexte actuel une priorité scientifique, culturelle et politique. Ce séminaire a pour objectif de faire état de travaux de recherche aboutis ou en cours, en France et en Europe, sur des typologies de collections variées tant par leur nature que par leurs provenances. Il a par ailleurs vocation à offrir outils méthodologiques et données aux conservateurs, aux chercheurs et aux étudiants qui ont engagé ou veulent s’engager dans cet effort nécessaire d’une connaissance affinée de ces collections.
Cent/Mille ans : généalogies et perspectives du musée national de Damas
Cette journée d’études s’inscrit dans la suite des ateliers menés par les chercheurs du programme « Observatoire : Globalisation, art et prospective » notamment sur le patrimoine en danger dans les pays arabes. Consacré au patrimoine du musée national de Damas, son histoire, ses mutations et son devenir, le programme des interventions vise à articuler contributions scientifiques et artistiques.
Fondé en 1919 par l’Académie arabe, ce musée, riche de collections qui vont de l’Antiquité orientale tardive à l’époque panarabe moderne, est installé depuis 1936 dans une architecture réalisée par Michel Écochard et prolongé dans les années 1960 par un bâtiment dédié aux collections arabo-islamiques surmonté d’un étage pour les collections modernes. Ses collections comptent plus de 80 000 objets et artefacts. À la suite de la fermeture de 2012, ces objets déplacés en vue de leur préservation ne reviennent au musée qu’en 2018 pour sa réouverture partielle – processus qui soulève aujourd’hui de nombreuses interrogations.
Nourri de ces questionnements, cet atelier envisage d’abord la constitution d’un réseau de partenaires scientifiques au Liban et en Syrie, en les réunissant à Paris pour partager et confronter leurs savoirs et expériences sur l’histoire méconnue du musée national de Damas et de ses collections.
Comité scientifique
Samir Abdulac (ICOMOS)
Sawssan Alachkar (INHA)
Michel Almaqdissi (musée du Louvre)
Mathilde Ayoub (université de Cergy - Institut national du patrimoine)
Morad Montazami (Zamân Books & Curating)
Zahia Rahmani (INHA)
Comité d’organisation
Mathilde Ayoub (Cergy Paris Université / INP)
Vivian Braga Dos Santos (INHA)
Morad Montazami (Zamân Books & Curating)
Intervenants
Samir Abdulac (ICOMOS)
Maamoun Abdulkarim (université de Damas)
Michel Almaqdissi (musée du Louvre)
Lamis Bakjaji ( musée national de Damas)
Sabine Boghossian et Valentine Gouget (artistes)
Rima Khawam (musée national de Damas)
Abdalrazzaq Moaz (Fondation Gerda Henkel, Düsseldorf)
Juliette Nier (artiste) et Bassem Salloum (journaliste)
Sébastien Rémy (artiste)
Le Musée une histoire mondiale. Présentation.
Des accumulations des tombeaux égyptiens ou chinois et des trésors royaux jusqu’à notre Louvre d’aujourd’hui, entre autres lieux, il faudra du temps pour que le musée trouve sa forme et sa fonction de conservation, d’étude et d’exposition des objets. Or, une histoire mondiale des musées, à la fois politique, sociale et culturelle, n’a encore jamais été écrite. La voici : Le Musée, une histoire mondiale, en trois tomes qui paraîtront sur deux ans. Le premier volume, Du trésor au musée, part d’un passé éloigné pour arriver à la création de l’institution appelée « musée », inventée en Italie à la fin du XVe siècle, gagnant toute l’Europe au XVIIIe. Le second volume traite de L'ancrage européen des musées, de la Révolution française aux années 1850, et le troisième, du musée A la conquête du monde, de la Révolution industrielle à nos jours.
Intervenant
Krzysztof Pomian (CNRS)
À propos de ce séminaire
Le vase grec est depuis le XVIIIe siècle au moins un objet d’étude central de l’histoire de l’art antique ; il a été représenté, dessiné, photographié, réuni en séries au sein des collections privées et publiques, et publié en corpus de plus en plus raisonnés dans la littérature scientifique. À l’heure du numérique, les images de la céramique grecque sont toujours parmi les plus présentes dans les bases de collections ou de recherche ; un vase, avec ses multiples images qui se déploient dans la profondeur, est pourtant un objet particulièrement compliqué à représenter. Ce séminaire souhaite interroger la manière dont on peut aujourd’hui aborder ces œuvres et leurs images, en prenant en compte leur insertion dans des corpus physiques et numériques. Il s’agit donc de recontextualiser l’image non seulement au moment de sa création et de sa réception antique, mais aussi dans les conditions de son étude aujourd’hui. Chaque séance mensuelle est organisée autour d’un invité et d’une collection, à partir de l’analyse d’exemples emblématiques.
L’UNESCO réunit les musées du monde entier pour réfléchir à leur avenir
« Évoquer les répercussions de la crise sanitaire sur les musées dans le monde ainsi que la façon dont ces derniers relèvent les défis et préparent leur établissement pour demain », tel est l’objectif du débat en ligne organisé par l’Unesco le 18/03/2021. Ce dernier fait suite à la publication du « Rapport sur les musées dans le monde face à la pandémie de Covid-19 » le 18/05/2020.
Parmi les 12 invités figurent Tristram Hunt, directeur du Victoria & Albert Museum à Londres (Royaume-Uni), Barbara Jatta, directrice du Musée du Vatican à Rome (Italie), Xudong Wang, directeur du Palace Museum à Beijing (Chine), ou encore Juliana Restrepo, directrice du Musée national de Colombie à Bogota.
Le débat est divisé en deux tables rondes.
La première porte « sur les répercussions concrètes de la crise sanitaire sur les musées » et la seconde sur « la façon dont les musées relèvent les défis du présent et préparent leur avenir ».
La rencontre sera inaugurée par Lazare Eloundou Assomo, directeur de la Culture et des urgences, UNESCO et Alberto Garlandini, président de l'ICOM
« Nous avons plus que jamais besoin des musées. La pandémie a mis en avant leur rôle capital pour la cohésion sociale mais également le soutien à l’économie et la créativité. La crise est profonde. Nous devons tout mettre en œuvre afin que les musées restent ces lieux de rencontre, d’inspiration, de partage et de médiation culturelle si importants », déclare Ernesto Ottone R., sous-directeur général pour la culture de l’Unesco.
Poursuivre la lecture sur le site de l'UNESCO
Débat « Réflexion sur l’avenir des musées »
Ouvertures :
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Lazare Eloundou Assomo, directeur de la Culture et des urgences, UNESCO
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Alberto Garlandini, président de l'ICOM
Table ronde 1 : les répercussions concrètes de la crise sanitaire
La première table ronde sur les répercussions concrètes de la crise sanitaire sur les musées sera modérée par Laurella Yssap-Rinçon, Directrice du Mémorial ACTe (Pointe à Pitre).
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Barbara Helwing, directrice du Vorderasiatisches Museum à Berlin (Allemagne)
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Xudong Wang, directeur du Palace Museum à Beijing (Chine)
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Juliana Restrepo, directrice du Musée national de Colombie à Bogota
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Tristram Hunt, directeur du Victoria & Albert Museum à Londres (Royaume-Uni)
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Ahmed Farouk Ghoneim, directeur exécutif du Musée national de la civilisation égyptienne au Caire (Égypte)
Table ronde 2 : préparer les défis du présent et l’avenir
La seconde table ronde sur la façon dont les musées relèvent les défis du présent et préparent leur avenir sera modérée par Emmanuel Kasarherou, Président du Musée du Quai Branly-Jacques Chirac.
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Antonio Saborit, directeur du Musée national d’anthropologie à Mexico (Mexique)
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Hamady Boucum, directeur du Musée des civilisations noires à Dakar (Sénégal)
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Barbara Jatta, directrice du Musée du Vatican à Rome (Italie)
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Mikhaïl Piotrovski, directeur du musée de l’Hermitage à Saint-Pétersbourg (Russie)
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Deborah Lynn Mack (à confirmer), directrice du Musée national d’art africain à Washington (États-Unis)
Clôture du débat:
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Ernesto Ottone R., sous-Directeur général pour la culture, UNESCO
Ce débat s’inscrit dans le cadre des activités de l’UNESCO pour soutenir les musées et leurs professionnels dans une situation sans précédent. Il découle également de l’effort de l’UNESCO pour promouvoir la Recommandation de l’UNESCO de 2015 concernant la protection et la promotion des musées et des collections, leur diversité et leur rôle dans la société et du Rapport sur les musées dans le monde face à la pandémie de COVID-19, publié en mai 2020.