
Recherche
Résultats de la recherche
24 résultats trouvés
Face aux "risques", comment les musées peuvent-ils améliorer leur organisation ?

Organisée par ICOM France et l’Institut national du patrimoine en partenariat avec le comité français du Bouclier Bleu, la soirée-débat déontologie du 8 novembre 2018 proposait d'éclairer la notion même de risque (en amont la prévention, en aval la résilience) et d'aborder, de manière réaliste, ce qui est "soutenable", à la fois efficace et finançable.
La soirée-débat se veut un temps de dialogue entre des témoins qui ont une expérience du risque et des professionnels confrontés à sa menace.
Retrouvez l’intégralité de cette rencontre en vidéos : captations

Face aux "risques", comment les musées peuvent-ils améliorer leur organisation ?

Organisée par ICOM France et l’Institut national du patrimoine en partenariat avec le comité français du Bouclier Bleu, cette soirée-débat proposait d'éclairer la notion même de risque (en amont la prévention, en aval la résilience) et d'aborder, de manière réaliste, ce qui est "soutenable", à la fois efficace et finançable.
La soirée-débat se veut un temps de dialogue entre des témoins qui ont une expérience du risque et des professionnels confrontés à sa menace.
Retrouvez l’intégralité de cette rencontre en vidéos ci-dessous :
Qu'est-ce qu'être, aujourd'hui, un "professionnel de musée" en Europe ?

Organisée par ICOM France et l’Institut national du patrimoine en partenariat avec ICOM Europe et le comité international ICTOP, cette soirée-débat déontologie du 5 juin 2018 a permis de parler de celles et ceux qui font vivre les musées, en examinant la situation actuelle des professionnels de musée, les tendances et évolutions récentes des métiers comme les perspectives et surtout les impacts en termes de compétences pour les années à venir.
En cette année européenne du patrimoine culturel, des représentants européens d’ICOM ont été conviés à débattre de leurs perceptions et préoccupations - communes et distinctes - de professionnels de musée sur les métiers et leur environnement respectif. Un regard additionnel d'invités venus d'Asie et d'Amérique a permis de mettre en lumière d'éventuelles spécificités européennes et de compléter l’échange.
La rencontre s'est tenue en anglais et en français grâce au soutien de la Délégation générale à la langue française et des langues de France.
Retrouvez l’intégralité de cette soirée-débat en vidéos : captations

Le sens de l'objet

Retrouvez l’intégralité de la soirée-débat déontologie organisée sur le thème "Le sens de l'objet", par ICOM France et l’Institut national du patrimoine le 29 janvier 2020 :
Les réserves sont-elles le cœur des musées ?

Organisée par ICOM France et l’Institut national du patrimoine, cette soirée-débat sur les réserves de musées s'est déroulée autour de trois questions :
- Les innovations professionnelles et techniques, notamment en matière de sécurité des collections, de conditions de conservation et restauration, de capacité de travail scientifique sur les objets, de principes organisationnels
- Les aspects économiques : quelles sont les composantes du coût de conception et de rénovation de réserves, les enjeux de mutualisation et d’externalisation...
- Les aspects culturels et sociaux : les projets en cours, des sites architecturaux à part entière ? Pour quels publics ? Quel outil/rôle pédagogique pour des futurs professionnels, comment associer des partenaires ? Quelle médiation pour les réserves ? Comment sensibiliser des élus à ces investissements ?

Accès à la déontologie : bilan et perspective des formations en France

Cette première soirée-débat déontologie organisée par ICOM France et l'Institut national du patrimoine devait procéder à un état des lieux des formations en déontologie.
De plus en plus de personnels intègrent les effectifs des musées sans avoir acquis au préalable une formation spécifique «musée ».
Des fonctions telles que les finances, les RH, l’événementiel, la recherche de mécénat, l’accueil et la sécurité, les développements web et réseaux reposent sur des compétences élevées acquises en formations supérieures ou grandes écoles et sont applicables sans formations complémentaires aux missions actuelles de « gestion » des musées. Ces missions prennent de plus en plus de poids dans les établissements, sous l’influence du besoin d’améliorer le ratio recettes/dépenses, d’augmenter la fréquentation, de renforcer la sécurité des visiteurs...
C’est un enrichissement humain en même temps qu’un changement substantiel dans les qualifications des personnels de musées, qu’on aurait pu jusqu’à récemment décrire comme des métiers où l’on conserve, enrichit, restaure des collections patrimoniales pour les rendre visibles aux publics. Telle est en substance la définition du musée par l’ICOM. Cette définition est assortie d’un « code de déontologie » dont la lecture convainc qu’au-delà de principes : il exprime les valeurs qui lient entre eux tous les intervenants de la chaîne qui va de l’objet au visiteur et en constitue, ce faisant, la culture commune.
Force est de constater que les professionnels formés dans un cadre non spécialisé n’accèdent pas tous à cette culture commune et n’ont pas tous bénéficié d’un cursus de déontologie. À tous les étages de la hiérarchie d’un musée, on croise des agents qui n’ont pas connaissance du « code de déontologie », ni même de son existence, ni même de l’existence de la loi Musée qui, pourtant, les oblige.
Jusqu’à quel point ce constat se vérifie-t-il, est-ce dommageable ? Et si oui, que faire pour y remédier ?
Retrouvez l'intégralité de la soirée-débat déontologie en vidéos ci-dessous :
Le Sens de l'objet

La sixième soirée-débat d'ICOM France, organisée avec l’Institut national du patrimoine le 29 janvier 2020, a porté sur le sens de l'objet.
Pour des professionnels de musée, le mot d’objet revêt un sens singulier : il désigne de manière générale ce que le musée conserve, qu’il s’agisse d’une institution muséale de beaux-arts, d’histoire, d’histoire naturelle, de sciences et techniques, d’art contemporain.
Il revient aux professionnels de musée de donner un sens, un langage, une interprétation à l'objet qu'ils conservent ; l'objet est un témoin préservé, pour transmettre la mémoire des arts, des sciences, des sociétés.
Le conserver est la mission première, qui pose néanmoins un certain nombre de questions :
- L’objet a-t-il un sens en lui-même ?
- À quelles conditions restaure-t-on le sens de l'objet ?
- Le sens de l’objet est-il séparable de son contexte ?
- Le sens de l’objet est-il « durable » ?
- ...
Le débat a proposé des approches techniques, scientifiques, mais aussi philosophiques.

Qu'est-ce qu'être aujourd'hui un "professionnel de musée" en Europe ?

Organisée par ICOM France et l’Institut national du patrimoine en partenariat avec ICOM Europe et le comité international ICTOP, cette soirée-débat déontologie a permis de parler de celles et ceux qui font vivre les musées, en examinant la situation actuelle des professionnels de musée, les tendances et évolutions récentes des métiers comme les perspectives et surtout les impacts en termes de compétences pour les années à venir.
En cette année européenne du patrimoine culturel, des représentants européens d’ICOM ont été conviés à débattre de leurs perceptions et préoccupations - communes et distinctes - de professionnels de musée sur les métiers et leur environnement respectif. Un regard additionnel d'invités venus d'Asie et d'Amérique a permis de mettre en lumière d'éventuelles spécificités européennes et de compléter l’échange.
La rencontre s'est tenue en anglais et en français grâce au soutien de la Délégation générale à la langue française et des langues de France.
Retrouvez l’intégralité de cette soirée-débat en vidéos ci-dessous :
Les réserves sont-elles le cœur des musées ?

Organisée par ICOM France et l’Institut national du patrimoine, cette soirée-débat sur les réserves de musées s'est déroulée autour de trois questions :
- Les innovations professionnelles et techniques, notamment en matière de sécurité des collections, de conditions de conservation et restauration, de capacité de travail scientifique sur les objets, de principes organisationnels
- Les aspects économiques : quelles sont les composantes du coût de conception et de rénovation de réserves, les enjeux de mutualisation et d’externalisation...
- Les aspects culturels et sociaux : les projets en cours, des sites architecturaux à part entière ? Pour quels publics ? Quel outil/rôle pédagogique pour des futurs professionnels, comment associer des partenaires ? Quelle médiation pour les réserves ? Comment sensibiliser des élus à ces investissements ?
Retrouvez l’intégralité de cette rencontre en vidéos ci-dessous :
Qu'est-ce qu'être, aujourd'hui, un "professionnel de musée" ?

Depuis une quinzaine d’années, les musées ont connu une évolution sans précédent. Des moyens d’investissement considérables ont permis un formidable essor de la fréquentation, même si celle-ci connaît un certain ralentissement depuis les attentats de 2015. Dès lors, on porte un regard beaucoup plus exigeant sur leur gestion, mesurée par de nombreux critères que les établissements « culturels » utilisaient peu auparavant : courbes de fréquentation, ratio ressources propres/budget de fonctionnement, atteintes d’objectifs pédagogiques, diversification des publics …
Désormais « managés », les musées gèrent leurs ressources (humaines, financières, patrimoniales…) avec un souci de performance qui impacte toutes les fonctions :
- En interne, coexistent à tous les niveaux de la hiérarchie, des fonctionnaires et des contractuels qui co-construisent de nouvelles manières d’exercer,
- Sous cet effet notamment, des pans entiers d’activité sont externalisés sous forme de sous-traitance, marchés publics, délégations de services publics voire portage salarial, y compris dans des missions qu’on aurait auparavant qualifiées de régaliennes.
- De nouveaux métiers se développent : mécénat, web, réseaux sociaux, résidences d’artistes…
- De nouvelles activités ajoutent de la valeur : boutiques, cafés et restaurants, locations d’espaces.
Tous, parmi ces nouveaux praticiens, sont-ils des « professionnels de Musée » ?
Dans le même temps, de nouveaux acteurs apparaissent : les fondations rattachées à des grands collectionneurs ou parfois issues de mondes tout à fait exogènes, comme l’industrie du luxe. Ces acteurs offrent au grand public des expositions de qualité, conçues par des professionnels bien souvent issus des grands musées nationaux. Animations, médiation, ateliers pour enfants, accessibilité aux visiteurs en difficulté… l’offre est en de nombreux points comparables à celle des « Musées de France ».
Inscrite dans un cycle sur la déontologie des musées, cette soirée-débat devait apporter un éclairage prospectif : qu’est-ce qu’être, aujourd’hui, un professionnel de musée ? Il s’agissait tout autant de poser la question du statut des personnels que celle du lien entre culture et intérêt public : la « mission de service public culturel » du musée n’est-elle garantie que si l’institution est elle-même une institution publique ? A quelles conditions ces changements sont-ils un enrichissement, tout à la fois pour les publics et pour les professionnels ?
Retrouvez l'intégralité de cette soirée-débat déontologie en vidéos ci-dessous :