
Recherche
Résultats de la recherche
2222 résultats trouvés
Les services des publics rendus obligatoires par la loi Musées, quel bilan ?
Afin de célébrer le centenaire de l’association ainsi que le 20ème anniversaire de la loi Musées, l’AGCCPF a décidé de lancer une grande enquête qui se déroulera sur les années 2020 – 2021– 2022.
L’un des axes de cette enquête porte sur la politique des musées et des publics. Dans ce cadre, la journée d’études consacrée aux services des publics des Musées de France est l’occasion de dresser un bilan de l’avancée majeure de la loi Musées que sont les services des publics.
Cette journée prendra la forme de plusieurs tables rondes. Elles aborderont quatre points principaux :
- les métiers et fonctions des services des publics (formation, statuts…),
- l’organisation des services des publics (mutualisation, place dans l’organigramme…),
- les actions menées par les services des publics,
- l’élargissement du périmètre d’activité des services des publics (actions de diffusion, de commercialisation, mécénat…).
Informations pratiques
Programme complet en pièce jointe
Les inscriptions se font via les deux liens d’inscription ci-dessous.
Inscription pour le matin
Inscription pour l’après midi
Mutualiser, est-ce solidaire ?
Solidarités, musées : de quoi parle-t-on ?
Avec la Covid-19, certains mots ont pris du poids. Solidarité en est un.
Le confinement, les fermetures de musées, le travail à distance, la précarisation… suscitent des élans de générosité, des désirs d’échange, des espoirs de partage. Concrètement, comment cela se traduit-il ? Est-ce durable ?
ICOM France propose chaque troisième mardi du mois une rencontre-discussion sur la plateforme Zoom de 13h à 14h30 autour du thème "Solidarité" pour vous permettre d'échanger et de transmettre vos expériences entre professionnels de musée.
Mardi 19 janvier - séance 3
Mutualiser, est-ce solidaire ?
Jusqu'où partager compétences, contenus, innovations, budgets ... ?
Venez dialoguer et échanger avec :
- Maud Boissac, directrice des affaires culturelles de la ville de Cannes
- Richard Dagorne, directeur du palais des ducs de Lorraine - musée lorrain et de Nancy-musées
- Diana Pardue, présidente du comité international de l'ICOM pour les musées résilients aux catastrophes - DRMC et directrice du programme des musées de la statue de la Liberté et d'Ellis Island (New York)
- Pierre Pénicaud, inspecteur des patrimoines - collège musées - Direction générale des patrimoines du ministère de la Culture et co-auteur du rapport sur l'organisation des musées de France au regard des réformes territoriales
- Sophie Warlop, directrice des musées de Dunkerque
La séance, organisée en direct sur une plateforme numérique, sera modérée par Juliette Raoul-Duval, présidente d'ICOM France.
Elle se tiendra simultanément en français et en anglais.
Liens vers la séance
ID de réunion : 826 8875 9012
Code secret : 789540
De quoi musée est-il le nom ?

Pourquoi redéfinir les musées ? L'actualité nous invite à ce questionnement. En deux décennies, leur nombre s'est considérablement accru et leur place dans la construction du lien social est devenue majeure. Mais les visions de leurs missions sont nombreuses et parfois divergentes : place de l'objet, du numérique, interpellation du discours sur la "décolonisation", universalité, démocratisation etc...
ICOM France a invité le 26 novembre 2020 sept responsables de grands musées français et des acteurs internationaux à en débattre.
Le débat a été modéré par Juliette Raoul-Duval - présidente d'ICOM France - et Hélène Vassal - secrétaire d'ICOM France.
Retrouvez les interventions Charles Personnaz, directeur de l'Institut national du patrimoine ; Yannick Lintz, directrice du département des Arts de l'Islam du musée du Louvre ; Bruno Brulon-Soares, président d'ICOFOM.
Ecoutez l'intervention de Nathalie Bondil, vice-présidente du Conseil des Arts du Canada
Suivez les interventions d'Emmanuel Kasarhérou, président du musée du quai Branly - Jacques Chirac et Ariane James-Sarazin, directrice adjointe du musée de l'Armée et la conclusion de la soirée proposée par Christian Hottin, directeur des études de l'Inp.
Rapport sur l'organisation des musées de France au regard des réformes territoriales

Rapport paru en juin 2020, rédigé par Bruno Saunier (Conservateur général du patrimoine) et Pierre Pénicaud (Conservateur général du patrimoine), inspecteurs des patrimoines à la direction générale des patrimoines du ministère de la Culture.

Mutualiser, est-ce solidaire ?
Solidarités, musées : de quoi parle-t-on ?
Avec la Covid-19, certains mots ont pris du poids. Solidarité en est un.
Le confinement, les fermetures de musées, le travail à distance, la précarisation… suscitent des élans de générosité, des désirs d’échange, des espoirs de partage. Concrètement, comment cela se traduit-il ? Est-ce durable ?
ICOM France propose chaque troisième mardi du mois une rencontre-discussion sur la plateforme Zoom de 13h à 14h30 autour du thème "Solidarité" pour vous permettre d'échanger et de transmettre vos expériences entre professionnels de musée.
Mardi 19 janvier - séance 3
Mutualiser, est-ce solidaire ?
Jusqu'où partager compétences, contenus, innovations, budgets ... ?
Venez dialoguer et échanger avec :
- Maud Boissac, directrice des affaires culturelles de la ville de Cannes
- Richard Dagorne, directeur du palais des ducs de Lorraine - musée lorrain et de Nancy-musées
- Diana Pardue, présidente du comité international de l'ICOM pour les musées résilients aux catastrophes - DRMC et directrice du programme des musées de la statue de la Liberté et d'Ellis Island (New York)
- Pierre Pénicaud, inspecteur des patrimoines - collège musées - Direction générale des patrimoines du ministère de la Culture et co-auteur du rapport sur l'organisation des musées de France au regard des réformes territoriales
- Sophie Warlop, directrice des musées de Dunkerque
La séance, organisée en direct sur une plateforme numérique, sera modérée par Juliette Raoul-Duval, présidente d'ICOM France.
Elle se tiendra simultanément en français et en anglais.
Liens vers la séance
ID de réunion : 826 8875 9012
Code secret : 789540
La domanialité publique des collections
Cette table ronde fait suite à la journée d'étude portant sur le thème des « Musées fermés » organisée le 14 novembre 2019, au Musée d'Histoire de Marseille.
Le sujet sous-jacent à la question de la fermeture des musées et du retrait de l'appellation « musée de France » concerne le statut des collections, la perte de leur qualité patrimoniale et les conséquences.
Cette table ronde est pilotée par Madame Béatrice Vigié, présidente de l'association Musées Méditerranée, attachée principale de conservation du patrimoine, musée d'Histoire de Marseille et Madame Lucienne Del'Furia, vice-présidente de Musées Méditerranée, conservateur en chef, chef d'établissement, musée Ziem à Martigues.
Intervenants
- Claire Chastanier, adjointe au sous-directeur des collections, service des musées de France, direction générale des Patrimoines, ministère de la Culture
Modalités de sortie du domaine public et impact du retrait de l'appellation "musée de France" sur le statut des collections - Alfred Recours, ancien député, rapporteur du projet de loi sur les musées en 2001
Présentation du projet de loi - Luc Moreau, avocat spécialisé en droit public
La domanialité publique des collections - Fanny Tarlet, professeur de droit public à l'université de Montpellier
La perte d'intérêt général pour les collections publiques françaises
Avec les participations de Pierre Pénicaud, conservateur général du patrimoine, direction générale des Patrimoines, ministère de la Culture et Lionel Bergatto, conservateur du patrimoine, conseiller pour les musées, DRAC Auvergne Rhône-Alpes.
Modalités de préinscriptions
Les personnes intéressées pour participer à cette table ronde sont invitées à se préinscrire en ligne d’ici le 20 janvier 2021 via ce lien :
Pour toute information
Association Musées Méditerranée
Email : contact
Téléphone : 06 34 04 02 72
Comment la pandémie continue à affecter les musées
NEMO partage les conclusions et les recommandations de sa deuxième enquête - à laquelle ont répondu 600 musées de 48 pays entre le 30 octobre et le 29 novembre 2020 - portant sur la manière dont les musées ont été touchés par la pandémie.
Cette enquête fait suite aux principaux thèmes qui sont ressortis à l’issue de la première enquête : conséquences des pertes, offres numériques et adaptation de l'organisation.
Conséquences des pertes
Les musées continuent de perdre des revenus et NEMO demande un soutien financier adéquat pour la période de fermeture ainsi que pour les années suivantes afin d'assurer la survie du secteur et d'aider les musées à explorer de nouvelles façons de se connecter avec leur public.
Offres numériques
Un soutien approprié est nécessaire pour que les musées puissent tirer parti de leur élan numérique. Presque tous les musées proposent des activités en ligne, mais une majorité écrasante admet avoir réellement besoin d'aide pour leur transition numérique et pour améliorer la culture numérique du personnel.
Adaptation de l’organisation
NEMO recommande que les musées restent ouverts en ces temps difficiles afin d'offrir aux gens un lieu de repos et de récupération émotionnelle. Aucun cas de point chaud d'infection n'a été signalé dans les musées. Au contraire, la plupart des musées sont très bien équipés pour permettre aux visiteurs et aux employés de vivre l'expérience Covid-19 en toute sécurité.
Plus d'information : consulter le site de NEMO
Comment la pandémie continue à affecter les musées

NEMO partage les conclusions et les recommandations de sa deuxième enquête - à laquelle ont répondu 600 musées de 48 pays entre le 30 octobre et le 29 novembre 2020 - portant sur la manière dont les musées ont été touchés par la pandémie.
Cette enquête fait suite aux principaux thèmes qui sont ressortis à l’issue de la première enquête : conséquences des pertes, offres numériques et adaptation de l'organisation.
Conséquences des pertes
Les musées continuent de perdre des revenus et NEMO demande un soutien financier adéquat pour la période de fermeture ainsi que pour les années suivantes afin d'assurer la survie du secteur et d'aider les musées à explorer de nouvelles façons de se connecter avec leur public.
Offres numériques
Un soutien approprié est nécessaire pour que les musées puissent tirer parti de leur élan numérique. Presque tous les musées proposent des activités en ligne, mais une majorité écrasante admet avoir réellement besoin d'aide pour leur transition numérique et pour améliorer la culture numérique du personnel.
Adaptation de l’organisation
NEMO recommande que les musées restent ouverts en ces temps difficiles afin d'offrir aux gens un lieu de repos et de récupération émotionnelle. Aucun cas de point chaud d'infection n'a été signalé dans les musées. Au contraire, la plupart des musées sont très bien équipés pour permettre aux visiteurs et aux employés de vivre l'expérience Covid-19 en toute sécurité.

Lettre d'information d'ICAMT
Aide à la mobilité de recherche en France
L’Institut national d’histoire de l’art offre plusieurs bourses pour soutenir les séjours de recherche en France d'historiennes et d’historiens de l'art. Cette aide prend la forme de remboursement de frais de mission sur justificatifs à hauteur de 600 euros maximum pour des déplacements à partir d'avril 2021 jusque décembre 2021 inclus.
Conditions de candidatures
Etre titulaire d'un doctorat en Histoire de l'art et avoir une activité de chercheur ou de chercheuse dans un cadre professionnel (enseignants-chercheurs) ou bien être professionnelle ou professionnel du patrimoine (conservateurs du patrimoine, attachés de conservation, chargés de collections...) sans condition de nationalité.
Les dossiers seront évalués en fonction de la qualité de la présentation du sujet de recherche, de son caractère novateur, de la justification d’un déplacement en France et enfin du degré de préparation de ce déplacement (identification des ressources ou sources à consulter et budget correctement évalué).
Composition du dossier de candidature
Le dossier de demande comprendra :
- une lettre de motivation adressée à la directrice du département des études et de la recherche de l'INHA. Ce courrier détaillera le projet scientifique, les motifs de la recherche en France (en précisant les institutions et les fonds qui seront fréquentés), les lieux, la durée et la période envisagées ;
- un curriculum vitae ;
- budget prévisionnel.
Date limite de candidature : 18 février 2021
Dépôt de dossier et informations complémentaires : site de l'INHA